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La Société Générale nomme un Tunisien pour mettre de lâEUR(TM)ordre dans sa division actions
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A la suite du scandale de ce qui est communément appelé affaire Jérôme Kerviel, la banque française « Société Générale » a décidé de mettre de l’ordre dans la direction de la division Global Equities and Derivatives Solutions de sa filiale SGCIB (Société Générale Corporate & Investment Banking).
C’est dans cette direction que travaillait le jeune trader Jérôme Kerviel, actuellement en détention au quartier VIP de la prison de la Santé à Paris.
Un Tunisien a ainsi été nommé il y a une vingtaine de jours à de hautes fonctions au sein de la SGCIB. Sofiène Haj Taïeb, de son nom, occupera un poste de responsabilité au sein de la division Global Equities and Derivatives Solutions, en plus de sa responsabilité sur l’Ingénierie Financière, comprenant Lyxor. Le poste qu’occupera Haj Taïeb est une toute une nouvelle fonction, a précisé une porte-parole de la banque, créée suite à l’affaire Kerviel et la perte de 4,9 milliards d'euros.
Christophe Mianné, qui avait été promu en décembre responsable des activités de marché de la Société Générale, était redevenu fin janvier directeur du pôle en remplacement de Luc François, contraint au départ.
Concernant notre jeune compatriote Sofiène Haj Taïeb, c’est un brillant polytechnicien (X-ENSAE 1995) qui a rejoint la Société Générale, il y a plus de 10 ans et a grimpé un a un les échelons jusqu'à devenir responsable de l’ingénierie financière au sein de la banque.
Sa nomination a été très bien accueillie par les milieux financiers qui reconnaissent le talent et la compétence d’une élite de Tunisiens opérant sur les marchés de Paris, Londres, New-York et Tokyo. En effet, près de 200 jeunes Tunisiens, ingénieurs polytechniciens, centraliens et issus d’autres grandes écoles occupent actuellement des positions de très haut niveau dans la recherche modélisation, le contrôle et le trading. Parmi les aînés, on pourra citer Moncef Kaâbi, le spécialiste mondial des cours des matières premières, notamment l’énergie et plus spécialement le pétrole. Dans la catégorie des Quadra, nous retrouvons Nadhem Meziou (Polytechnicien, X-ENSTA, Madison) Head Of Quantitative Research chez Natexis, en tête de peloton d’une pléiade d’excellences.
Et puis viennent les « jeunes » conduits par Omar Mechri (centralien), Mourad Daoud, très actifs à Londres et une longue liste de vrais talents. Plus chercheurs que traders, les Tunisiens se sont fait une renommée précieuse sur les places financières européennes.
Comme nous l’écrivions dans l’article relatif aux César gagnés par notre autre jeune compatriote Abdellatif Kechiche, on ne compte vraiment plus les Maghrébins qui font la fierté de la France et qui ne font hélas pas les Unes des 20 Heures. Ces Tunisiens qui font gagner la France méritent vraiment de sortir de l’ombre et de montrer une autre image des ressortissants de la Tunisie, du Maroc et de l’Algérie en Europe.
C’est dans cette direction que travaillait le jeune trader Jérôme Kerviel, actuellement en détention au quartier VIP de la prison de la Santé à Paris.
Un Tunisien a ainsi été nommé il y a une vingtaine de jours à de hautes fonctions au sein de la SGCIB. Sofiène Haj Taïeb, de son nom, occupera un poste de responsabilité au sein de la division Global Equities and Derivatives Solutions, en plus de sa responsabilité sur l’Ingénierie Financière, comprenant Lyxor. Le poste qu’occupera Haj Taïeb est une toute une nouvelle fonction, a précisé une porte-parole de la banque, créée suite à l’affaire Kerviel et la perte de 4,9 milliards d'euros.
Christophe Mianné, qui avait été promu en décembre responsable des activités de marché de la Société Générale, était redevenu fin janvier directeur du pôle en remplacement de Luc François, contraint au départ.
Concernant notre jeune compatriote Sofiène Haj Taïeb, c’est un brillant polytechnicien (X-ENSAE 1995) qui a rejoint la Société Générale, il y a plus de 10 ans et a grimpé un a un les échelons jusqu'à devenir responsable de l’ingénierie financière au sein de la banque.
Sa nomination a été très bien accueillie par les milieux financiers qui reconnaissent le talent et la compétence d’une élite de Tunisiens opérant sur les marchés de Paris, Londres, New-York et Tokyo. En effet, près de 200 jeunes Tunisiens, ingénieurs polytechniciens, centraliens et issus d’autres grandes écoles occupent actuellement des positions de très haut niveau dans la recherche modélisation, le contrôle et le trading. Parmi les aînés, on pourra citer Moncef Kaâbi, le spécialiste mondial des cours des matières premières, notamment l’énergie et plus spécialement le pétrole. Dans la catégorie des Quadra, nous retrouvons Nadhem Meziou (Polytechnicien, X-ENSTA, Madison) Head Of Quantitative Research chez Natexis, en tête de peloton d’une pléiade d’excellences.
Et puis viennent les « jeunes » conduits par Omar Mechri (centralien), Mourad Daoud, très actifs à Londres et une longue liste de vrais talents. Plus chercheurs que traders, les Tunisiens se sont fait une renommée précieuse sur les places financières européennes.
Comme nous l’écrivions dans l’article relatif aux César gagnés par notre autre jeune compatriote Abdellatif Kechiche, on ne compte vraiment plus les Maghrébins qui font la fierté de la France et qui ne font hélas pas les Unes des 20 Heures. Ces Tunisiens qui font gagner la France méritent vraiment de sortir de l’ombre et de montrer une autre image des ressortissants de la Tunisie, du Maroc et de l’Algérie en Europe.


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