
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, mardi 14 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Monem Belati et le secrétaire d’État en charge des ressources hydrauliques. Selon un communiqué de la présidence, la rencontre a traité de l’importance de l’eau « comme le dit le Tout-puissant "Nous avons fait de l’eau toute chose vivante" ».
Après la citation religieuse, le président a attaqué les choses de ce bas monde, notamment les textes de loi promulgués en Tunisie au 20e siècle, mais qui, selon lui, n’ont pas été appliqués.
« Le torrent de textes ne s’est pas tari, tandis que les barrages se sont asséchés et que les Tunisiens ont commencé à souffrir de soif même dans les régions où les sources d’eau sont disponibles ».
Le président de la République a par ailleurs évoqué les négligences qui « s’élèvent au rang de crime », notamment dans l’entretien des barrages : « La capacité de remplissage de certains barrages ne dépasse pas le un tiers. D’autres n’ont plus de capacité du tout comme celui d’Oued Akhmas dans lequel la boue s’est accumulée », s’est indigné Saïed.
Le chef de l’État a tenu à rappeler l’appel qu’il a lancé lors de sa participation au sommet USA-Afrique, qui s’est tenu récemment à Washington, concernant l’organisation d’une conférence mondiale sur l’eau, « puisqu’il s’agit d’une question qui concerne toute l’humanité ».
La Tunisie fait les frais des effets du réchauffement climatique. Durant les dernières années, notamment en 2022 et début 2023, les barrages ont enregistré des baisses historiques. Le pays est en stress hydrique.
I.L
Il faut intervenir les militaires le plus tôt possible.
Le mal ronge le pays partout.
Et les milicesnsont partout, à commencer par les traîtres chauffeurs de taxis à Tunis qui forment un réseau de mafia.
Politiciens, hommes d'affaires, journalistes et médias, juges et avocats, tous, tous, tous, ils l'ont appris à leur dépens, ce que vaut cette liberté et cette vraie démocratie, dont ils avaient trahies par mauvaise foi. Demandez-le à ceux qui n'ont accroché des postes ministériels que par leurs mensonges contre ceux d'Ennahdha, à l'image de Samir Taïeb, Mahdi Ben Gharbia, Yassine Ayari et tant d'autres, qui ont compris tard, le piège des ennemis de l'Islam, parmi eux beaucoup se sont repentis et ont mis la main dans la main avec ceux d'Ennahdha pour restituer le vrai paradis démocratique qu'ils ont perdu tous ensemble, au profit des ennemis étrangers de la Tunisie.
Donc, ce qui m'intéresse le plus, ce ne sont pas ces discours concaves du président Kaïs Saïed, auxquels, il est presque impossible de commenter objectivement, puisqu'ils ne passent plus chez personne. Mais ce qui m'intéresse sans faille, c'est de voir le peuple tunisien prendre leçon de cette douleur, qui frappe au moins 95% de la population tunisienne.
Allah yostir Tounes.
Parole d'ingenieur barragiste... Qui te dis que le probleme des barrages date depuis plus de 40 ans... et tu sais pourquoi?