
L’épouse de Seïf Eddine Makhlouf, Hela Makhlouf a indiqué, lundi 13 février qu’elle avait été interdite de voir son mari en tant qu’avocate.
Hela Makhlouf assure : « Ce matin, je me suis rendue au tribunal militaire, et j’ai eu une autorisation de visite en tant qu’avocate. En me rendant à la prison et après des tergiversations et des heures d’attente, j’étais interdite de visiter Seïf. Ils m’ont informé que Seïf purgeait sa peine et que les avocats n’avaient plus le droit de lui rendre visite. Comment ? Pourquoi? C’est comme ça! », indique Hela Makhlouf, soulignant que les responsables lui ont demandé de voir avec le tribunal militaire ou la direction générale des prisons pour obtenir une autorisation spéciale.
L’ancien député, avocat et leader de la Coalition Al karama, Seif Eddine Makhlouf, avait écopé de sept mois de prison. Il s’agit d’une sentence prononcée en appel par le tribunal militaire permanent de Tunis dans le cadre de « l’affaire de l’aéroport ».
Le 20 janvier 2023, la chambre criminelle près la cour d’appel militaire avait condamné l’ancien député à quatorze mois de réclusion. Makhlouf a été arrêté, tard dans la soirée de vendredi à samedi 21 janvier 2023. Près de quinze policiers en civil se sont rendus à son domicile tard la nuit séparant le 20 et 21 janvier afin de procéder à son interpellation. Son avocate, Ines Harrath était sur place et avait transmis en direct l’instant de son arrestation.

S.H

Qu'il creve lui et sa secte de criquets qui ont detruit notre patrie ***!
Ils crachaient sur les gens (chambre des députés), les insultaient (Assemblée nationale + affaire de l'aéroport), les frappaient (Assemblée nationale)), les humiliaient (affaire de l'aéroport), les arnaquaient, les escroquaient (la mère qui a son enfant détenu au qatar et que markhouf était censé défendre, et qui ne fit absolument rien, hormis un voyage en première classe et quelques nuits dans un palace), etc...
Réveillez-vous, et comportez-vous comme des citoyens lambda, comme à l'époque de ZABA.
Finis les privilèges ainsi que leurs dépassements, finie l'impunité, fini le t'guou3ir.
En bref, fini le dolce vitae !
Vous n'avez pas accordé le moindre respect envers votre prochain et voilà que maintenant vous réclamez, avec force et fracas, des droits que vous vous attribuez selon votre bon vouloir.
Vous avez outrepassé et pulvérisé les limites du raisonnable.
Bye bye les privilèges et la couverture illimitée de votre sid'kom él chikh.
Bienvenue sur terre avec sa dure réalité.
Khafou méne Rabi ya néss.