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Les employés de la société tunisienne du sucre bloquent le pont de Bizerte
L’accès névralgique de la ville de Bizerte, le pont mobile, a été bloqué, mardi matin 3 janvier 2023, par les employés de la société tunisienne du sucre, paralysant de ce fait l’accès à la ville et provoquant un énorme embouteillage à son entrée. C’est ce qu’a rapporté la radio régionale Oxygene Fm, une vidéo en direct à l’appui.
Selon cette même source, les employés réclament la réouverture de l’usine et la régularisation de leur situation, n’ayant pas reçu leurs dus depuis six mois. Le trafic a repris suite à l'intervention des forces de l'ordre.
I.N
Commentaires
raoudha gasmi
Sucre
a posté le 03-01-2023 à 20:16
Mohamed Jerbi, il s'agit de l'usine de Bizerte. On lui impose d'écouler seulement 30% de la production sur le marché local, le reste doit être exporté. Le repreneur lybien s'est déjà plaint des bâtons dans les roues. Des familles entières se retrouvent sur la dèche. Business news devrait s'en rapprocher.
Tunisino
Rien n'est possible
a posté le 03-01-2023 à 13:46
Rien n'est possible sans un plan qui tient compte du passé, du présent, et du futur pour sensibiliser et impliquer les tunisiens afin de sauver la Tunisie. La priorité a été toujours, et elle restera, au volet technique, le volet politique ne doit que suivre, sauf que les politiciens tunisiens sont des imbéciles. Ils sont des littéraires borgnes qui ne veulent que s'emmerder et emmerder. Une simple question à Zakafouna, tout a montré que vous êtes un nul, alors pourquoi ne pas quitter en douceur? Une questions aux fonctionnaires de Zakafouna, tout a montré que le régime de votre patron est nul, alors pourquoi ne pas quitter et le laisser en suspension? Aucun patriotisme, tout le monde n'essaye que de profiter de la situation, qui se terminerait en un cauchemar cauchemardesque!
Mohamed Djerbi
la société tunisienne du sucre se trouve à Bejà
a posté le 03-01-2023 à 12:55
Pourquoi manifester à Bizerte quand le lieu de travail se trouve à Baja
Raoudha gasmi
Usine de sucre
a posté le à 20:11
Mohamed Jerbi il s'agit de l'usine de Bizerte. A qui on exige d'écouler seulement 30% de la production sur le marché local. Le reste doit être exporté. Le repreneur lybien s'est déjà plaint des bâtons dans les roues. Laissons les gens travailler. Ce sont des familles entières qui se retrouvent sur la dèche
