
Après s’en être pris à ses opposants, Kaïs Saïed s’en prend maintenant à ses soutiens. Il a limogé quatre hauts cadres de l’État cette semaine et s’isole de plus en plus. Sur le plan international, cela ne va pas mieux, ses très rares soutiens européens ont été épinglés par les députés de Bruxelles.
Le président tunisien est de plus en plus seul et il ne peut en vouloir qu’à lui-même. Mardi 12 mars, il a limogé les ministres des Affaires culturelles et du Transport. Mercredi 13 mars, il a limogé les gouverneurs de Mahdia et de Monastir. Les quatre hauts cadres de l’État font partie de ses grands soutiens, voire des plus fervents comme c’est le cas de la ministre de la Culture et du gouverneur de Monastir. Ne s’arrêtant pas au limogeage sans explication, Kaïs Saïed a pris malin plaisir en humiliant les gouverneurs et en leur donnant des leçons publiquement, sans les nommer toutefois.
Ce n’est pas une première, loin de là. Kaïs Saïed adore agir en « chef tout puissant », comme si l’autorité se résume, à ses yeux, à humilier les subordonnés.
Le chef de l’État semble ignorer que cette stratégie archaïque et moyenâgeuse a montré ses limites et ses dangers depuis des décennies, peut-être des siècles.
Dès sa prise totale de l’ensemble des pouvoirs, au lendemain du 25 juillet 2021, Kaïs Saïed s’est mis à dos une partie du peuple, fervent de démocratie et de l’opposition. En jetant, tour à tour, ses adversaires politiques en prison et en les persécutant, à force d’interdictions de voyage et d’assignations à domicile, il a montré qu’il entendait gouverner seul avec ceux qui lui ont fait preuve de loyauté et de soumission.
Il croit sincèrement qu’il a l’appui du peuple, mais ce dernier l’a superbement désavoué au cours des différentes élections qu’il a organisées. Les taux de participation ont été toujours incroyablement bas, battant des records historiques. La grogne gagne du terrain à cause de l’inflation à deux chiffres, de la croissance du taux de chômage et des pénuries de plusieurs denrées alimentaires.
Malgré tous ces éléments factuels, Kaïs Saïed continuait à gouverner tranquillement grâce à l’indéniable soutien de l’armée et de ceux à qui il a offert des postes de gouverneurs et de ministres.
Cette position risque d’être fragilisée cependant, car ces soutiens ne sont pas infaillibles éternellement.
Il y a comme une relation de confiance entre le supérieur et le subordonné et cette relation de confiance ne saurait exister s’il n’y a pas de respect de part et d’autre.
À ce jour, Business News décompte pas moins de 74 limogeages effectués par Kaïs Saïed, en majorité humiliants. Certains, ou plusieurs, ont appris leur limogeage par voie de presse.
Certains, comme l’ancienne cheffe du gouvernement Najla Bouden ou l’ancienne cheffe de cabinet Nadia Akacha, se sont pliées en quatre pour exécuter ses ordres et appliquer sa politique.
Si la première a été froidement limogée sans ménagement, la seconde s’est retrouvée poursuivie dans plusieurs affaires judiciaires infâmantes, risquant carrément la peine capitale, ce qui l’a poussée à aller se réfugier à l’étranger.
Certes, plusieurs de ces hauts cadres de l’État méritent le limogeage, tant ils sont incompétents, mais il est toujours bon de rappeler que le péché originel revient à Kaïs Saïed puisque c’est lui-même qui les a nommés sur les seules bases de la loyauté et de la soumission.
Naturellement, quand on n’a que ces deux « qualités » dans son CV, auxquelles on ajoute l’opportunisme, on ne peut briller par la suite par une quelconque compétence et efficacité. Kaïs Saïed l’apprendra à ses dépens au vu des résultats désastreux des différents départements.
Plutôt que de faire une autocritique et de réviser sa politique de recrutement, Kaïs Saïed fait de telle sorte de rejeter la faute sur ses ministres et ses gouverneurs. En les limogeant froidement et en les humiliant publiquement, il dit au peuple : « ce n’est pas de ma faute, c’est de la leur, ils sont incompétents ».
Le revers de la médaille de cette politique est que plus personne ne va vouloir travailler avec lui et de rompre la confiance avec ceux qui travaillent déjà.
Comment travailler avec quelqu’un qui traite ainsi ses subordonnés les plus loyaux et les plus soumis ?
Déjà, de prime abord, les personnes vraiment calées dans leur domaine refusent d’exercer et de faire profiter de leurs compétences un régime putschiste et une dictature naissante. Ne restent que les opportunistes et les médiocres. En humiliant ces derniers, Kaïs Saïed s’isole encore davantage dans son palais de Carthage.
D’un autre côté, sur le plan international, Kaïs Saïed était déjà isolé. La Tunisie n’a plus son aura postrévolutionnaire, d’où sont parties les révolutions arabes et qui a entamé son chemin vers la vraie démocratie. Tous les partenaires traditionnels du pays ont levé le pied et cela va de la France à la Libye en passant par le Maroc qui n’a toujours pas d’ambassadeur à Tunis (ni à Rabat d’ailleurs).
Si l’on exclut les régimes autoritaires algérien et égyptien, Kaïs Saïed n’est soutenu que par l’Italie de Giorgia Meloni qui a poussé Ursula von der Leyen à aider le président tunisien afin de contrer l’émigration clandestine vers l’Europe. Une aide qui a coûté cher aux deux dames, épinglées cette semaine par un nombre de députés qui accusent la commission européenne de financer les dictatures.
En résumé, Kaïs Saïed est isolé sur le plan international et en difficulté sur le plan national. Le peuple a boycotté ses élections et l’opposition est jetée en prison. Il ne lui restait que ses serviteurs opportunistes, mais il est en train de perdre ces derniers puisqu’il est en train d’humilier les plus zélés d’entre eux.
Raouf Ben Hédi

Un *** n'a que du vent à vendre et kais le *** nous a vendu beaucoup trop de vent, faut que ca s'arrête pour le bien du pays et de nos enfants.
Très clairement les dynamiques économiques du pays sont BLOQUEES.
Les mesures du gouvernement en matière économique sont débiles indécentes clairement irresponsables. Les autorités s'enlisent dans des conneries toxiques qui bloquent les forces vives du pays.
D'abord les chiffres sont faussés : l'inflation réelle par exemple est à deux chiffres, le taux de chômage des jeunes dépasse les certainement les 40%. Toutes les données fournies par l'INS depuis 2021 sont bidonnées.
Deux exemples de dérives débiles et indécentes honteuses :
le projet des entreprises citoyennes est une clownerie malsaine AUCUN PROJET N'EST RENTABLE. Il faut arrêter immédiatement ces débilités pour s'occuper des vrais problèmes.
le recours silencieux et massif a la planche a billet avec la création d'une masse monétaire considérable sans aucune contre partie réelle EST CRIMINEL.
Donc clairement il faut absolument penser a une alternative dans le domaine des orientations socio-économiques.
Triste bilan qui va encore nous coûter très cher pour des générations
Essafaa7 Isis d'Egypte veut bloquer l´exode vers l'Europe pour uniquement 6 milliards d'euros et la Tunisie Sachafounienne se contente de 150 millions d´ euros.
Il était clair dès le départ qu'en tant que combattant solitaire sans parti politique, vous n'arriveriez à rien et vous ne pouviez que tout perdre.
Le bonhomme je l'ai approché 3 fois de très très près (à moins de 1 mètre) alors qu'il était président et j'ai eu tout le loisir de l'écouter parler et de le voir devant moi.
es histoires étaient insipides, vides de sens, prononcées avec une rigidité terriblement bizarre.
J'avais compris sans ambages que le Monsieur est aussi banal qu'un gardien d'immeuble, pas trop méchant, juste il raconte des "histoires", des histoires et d'autres histoires, comme ça, des histoires...je l'ai même vu esquisser un rire en face de moi...alors je me suis dit : kaies saied est un homme banal, très banal, qui ne mérite pas une fin désobligeante., même s'il avait 12 gardes du corps autour de lui.
je me suis dit qu'il serait plus tranquille et en PAIX dans son café ; la politique et le sort d'un pays et de millions de gens, c'est pas pour lui ; tout le monde ensuite avait dit la même chose (je ne peux pas vous dire qui étaient ce "monde").
Je jouerais volontier une partie de chqobba avec lui dans son café de Mnihla, avec plaisir, mais juste une partie à 21 points, c'est tout.
kaies saied est un sacré accident de l'histoire de la Tunisie.
Un type banal qui s'est accaparé du pouvoir.
Il doit assumer s'il ne quitte pas le pouvoir, d'av*oir joué avec un pays tout entier, et un peuple à l'agonie, qui fouille désormais dans les poubelles.
maintenant, quand un type "banal" voit tous les fastes du pouvoir autour de lui, ces réceptions, ces gens qui se mettent à 4 pattes pour le servir, il est normal que la moutarde lui monte au nez, surtout si la culture générale lui fait défaut (à part ses références des arabes de 1000 ans en arrière, sa seule "culture générale").
en conclusion : un monsieur très banal qui détient le pouvoir absolu avec 12 millions d'âmes sous sa botte...ça l'excite...et je me suis dit quand il voit tous ces fastes du pouvoir autour de lui, TOUS les jours...j'ai peur qu'il ne quittera JAMAIS le pouvoir.
Voilà ce qui arrive quand on met du n'importe quoi pour la destinée de nos enfants et de notre pays.
ça vous apprendra bande d'abrutis.
-1ere qualité d'un bon chef d'état, FEDERATEUR, KS est diviseur
-2eme qualité, propos et programme clairs, pas plus confus que lui
-pragmatique, ayant le sens du dialogue....no comment
Dans tout les cas c'est au peuple de le décider qui doit gouverner, pas les commentateurs et encore moins kais le charlatan.
Il faut de vrai élections.
On a été en souffrance pendant 10 ans grâce aux bipèdes incultes islamistes à front taché ( une espèce en voie de disparition et heureusement), mais depuis l'avènement du charlatan islamiste qui n'est rien d'autre qu'un accident de l'histoire, on vit un cauchemar et il n'a pas fini de nous couler le charlatan.
Attendons la suite qui ne saurait tarder vu la situation du pays catastrophique et qui commence à ressembler à Gaza et on va bientôt demander des parachutages d'aide nous aussi si ça continue '?'
Seul dans un coin il se retrouvera
Sa bande de laudateurs se dispersera
La garde rapprochée disparaîtra
Dziri vers l'autre côté regardera
Riadh tel un Judas le trahira
Et Khallouli le niera
L'heure des comptes sonnera
Et au peuple il s'expliquera
Quand la roue tournera
Vous n'êtes bri à rien du tout, hordes d'affamés congénitaux, les g3ar, les parvenus.
La seule chose qui vous préoccupe, c'est le contenu de vos poches et votre bien-être, mais uniquement le vôtre.
Votre après moi, le déluge, finira tôt ou tard par vous expédier aux limbes de l'enfer, les traitres, les rkhass !!!!
i7'mdou Rabbi et khaffou minnou avant qu'il ne vous terrasse une fois pour toute !!!!
Son slogan préféré "le peuple veut" est vide de sens quand ce peuple s'abstient massivement lors d'élections organisées à sa sauce politicienne. Car le peuple désespère de plus en plus d'obtenir ce qu'il veut réellement: une vie digne de ce nom et non le minimum vital pour survivre. On peut aisément parier que ce peuple votera massivement avec ses pieds lors de la prochaine présidentielle surtout si les principaux opposants sont privés de candidature par le fait du prince.
Oh que oui, Ikhlass Latif. Ne serait-ce pas celle qui avait remporté le prix Pulitzer, il y a peu de temps de cela.
Je suis estomaqué !!!
Business News est l'un des tous derniers médias encore libre.
Business News écrit en français (la partie arabe n'est pas très suivie) et c'est une des raisons que le pouvoir dictatorial ne s'y est pas encore vraiment penché...Mais ça ne saurait tarder...car le Diktatour, avec l'ivresse et l'isoloment du pouvoir TOTAL ne supportera plus AUCUNE critique à son égard.
Courage Business News et ses valeureuses/vakeuerux journalistes. Courage Nizar Bahloul. Ne lâchez RIEN à ce pouvoir Destructeur de notre pays. RIEN je vous dis.
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram
Bonne soirée Mr le défenseur de la liberté d'expression
Le peuple est à bout de souffle, aigri et blasé sans aucun espoir. Aucune issue à cette chute sans fin. Entre stupeurs et tremblements... La Tunisie passera des décennies à attendre Godot.
Je suis de constater la déchéance de mon pays chéri. Des centaines de milliers sont morts pour le libérer de la colonisation et pour le bâtir pour enfinir là, à un régime arbitraire instable représenté par une seule personne qui n'a de compte à rendre à personne. Cette situation est inacceptable.
C'est vraiment si bas!
Puis c'est quoi cette histoire de 150 millions euro?
Vous le faites passer pour un dictateur qu s'smuse à limoger Les responsables à tort et à Travers mais ce n'est pas le cas.
Puis l'arret.
En réalité tous les acteurs économiques et institutionnels du pays sont à l'arrêt. Figés, au bon vouloir et à la merci des pulsions névrotiques du président et de son équipe.
Aucune initiative digne de ce nom; tout est dans l'expectative; On se méfie les uns des autres on s'observe on ne se concerte plus on n'échange plus les informations a valeur ajoutée; même les plus hauts fonctionnaires adoptent une langue de bois tragi-comique.
La délation est partout. L'ubuesque règne : un banquier en charge de l'étude de viabilité de certains projets d'entreprises dites citoyennes laissait entendre récemment que les crédits seront accordés même si d'évidence AUCUN des projets "soumis" n'avait la moindre chance d'etre rentable ni à court ni à moyen terme ni d'içi 200 ans.
En l'absence d'orientations stratégiques crédibles cohérentes le blocage des institutions administratives est radical et généralisé : on bâcle les dossiers on se fonde sur des analyses débilo-comiques à l'emporte-pièce que même des étudiants de première année refuseraient.
Pire encore on fausse les données de manière à ce qu'elles cadrent avec la "vision" présidentielle.
et cerise sur le gâteau ce sont certains conseillers à la présidence qui phagocytent littéralement les projets ministériels proposés de manière à se positionner avantageusement. En trompant délibérément le Président qui aujourd'hui plus que jamais a besoin d'être secoué de comprendre mieux vaut tard que jamais les véritables dynamiques socio-écoomiques à l'oeuvre et surtout les causes racines des problèmes -immenses- que rencontre le pays.
On atteint ainsi l'obscene
Personnellement, je soupscone fortement des lobbies étrangers d avoirbpartixpier à cette situation
Il a toujours été comme ça. Certains hommes sont très prévisible. Je vous l'ai toujours dit ... Rien de neuf sous le soleil.
Vivement les élections.
Yekhdem wallah ychid darou
Ma themmach chkoun 3amil mzia
Hommra fil wijeh walla gossa fil 9alb
Hommra fil
C'est perdu. Ceux qui prônent un système démocratique sont complètement à coté de la plaque en ce moment. On se dirige vers un cataclysme mondial avec de nombreux lobbyistes qui vont essayer de s'introduire.. encore une fois.
Est-on libres? Partiellement, et c'est tout ce que la population a besoin en ce moment. Ceux qui disent que la populace en demande plus, fument du bon tapis vert.
Pas la peine d avoir un système de gouvernance à la hauteur de notre peuple et de ses enjeux, le plus important c est le cataclysme mondial à venir?
Un dépressif se suicide
Un état affronte le futur
Ce n est pas la même approche
C'est une jmé3a de bgar, paumés, qui ne savent plus où est le nord et où est le sud.
Le résultat chaotique de leur pseudo-intifada de 2011 les a complètement mis à la masse.
De l'état de jouhélè, soubhane Rabbi, ils sont tous devenus des experts en microéconomie, en macroéconomie et en sciences politiques, alors qu'ils ne savent même pas se brosser les dents correctement !!
Allez tous vous rendormir, peuple de fainéants, de bras cassés et assidus adeptes de la loukma el bérreda, et laisser ce monsieur, ce patriote sans peur ni reproche, se battre contre une innombrable armada de chacals et d'enfoirés mis au régime sec, depuis leur magistrale mise sur la touche, un certain mois de juillet béni.
Cé8ya tayiba, les filles !!!
Ecrit par A4 - Tunis, le 11 Mars 2024
Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve:
J'étais le roi de la république
Un vrai roi qui a trouvé la fève
Dans un grand gâteau au basilic
J'étais là, dominant et très fier
D'avoir battu l'ancien roitelet
Malgré ses man'?uvres meurtrières
Et ses coups bas jamais égalés
Il faut vous dire que pour le battre
J'ai dû opter pour la bonne tactique
Tous mes discours étaient verdâtres
Tous mes propos étaient archaïques
Toute ma campagne explicative
Promettait un retour en arrière
Au temps bénit des coopératives
Contre les affreux hommes d'affaires
J'ai promis de fermer les usines
Qui nous exploitent en toutes saisons
D'arrêter les magouilles et combines
Et bâtir de nouvelles prisons
J'ai promis et répété sans cesse
Dans mes discours et allocutions
D'insérer le droit à la paresse
Dans ma future constitution
Une nouvelle taillée sur mesure
Suivant mes désirs et ambitions
Une nouvelle qui rend la vie dure
A ces traîtres de l'opposition
Rien qu'avec mon article premier
J'enverrai en taule tous ces fêlés
Toutes ces ordures, tous ces fumiers
Et à leur tête l'ancien roitelet
C'est ainsi que je serai fidèle
A toutes nos coutumes et traditions
Je vous le dis même si c'est cruel:
Nous n'aimons que la démolition
Mais malheur, c'est la déconfiture
Mon vieux réveil a soudain sonné
Pour me priver de ma dictature
Où toutes les bouches seraient bâillonnées !
La générique de fallouja présente notre situation aujourd'hui .
Ecoute la Raouf Ben Hédi
Ou peut être vous parlez de la pseudo société civile, des ONG...
Au final c'est le peuple qui élit sont président, pas société civile, des ONG...
PS : Je suis nullement un Pro KS, le pays est à la dérive et il est responsable à plusieurs niveaux de ce désastre, mais c'est la vérité, il est très populaire.
Si KS était sûr de sa force, pour quelles raisons mettrait il alors tous ses opposants en prison ?
A la lecture de la chronique de Mezri Haddad (2), j'ai retenu une citation attribuée au Général De Gaulle qui désigne les « veaux bons pour l'abattoir ».
J'ai bien aimé.
La réalité c'est que beaucoup savent qu'il est incompétent mais voilà, y'a personne en face et c'est voulu par la ***.
Si ks se présente à sa propre et si les élections sont tenues d'une manière transparente comme elles l'étaient avant le 25 juillet 2021, ks aura une belle raclée. Cet individu est complètement déconnecté du peuple, il ne fait que brasser du vent et constater les problèmes sans jamais proposer de solutions.
Attendons les derniers étages la chute n'en sera que plus douloureuse c'est une loi universelle et la politique n'y échappe pas il suffit de regarder l'histoire '?'
A l'âge de 20 ans, Savonarole écrit des poèmes très engagés, De Ruina Mundi (des ruines du monde), où il dénonce la vie cossue d'une partie de la société italienne, qui au XVe siècle se développe grâce à l'industrie du luxe (draps) et est frappée par les inégalités.
Il va s'opposer à une illustre famille de banquiers, les Médicis, dont l'un deux, Laurent, est chef du gouvernement oligarchique de la République de Florence. Il va même s'en prendre au pape Alexandre VI, issu de la famille des Borgia, père débauché de plusieurs enfants nés de mères différentes.
En 1492, Laurent de Médicis vit ses derniers instants. Il demande l'absolution (confession des péchés graves suivie du pardon) à Jérôme qui pose ses conditions : restitution des pillages, laisser aux florentins le choix de leur type de gouvernement.
En 1494, le roi de France Charles VIII envahie l'Italie du Nord avec une armée de 15 000 hommes. Jérôme Savonarole négocie la paix en évitant le sac de la ville, chasse la famille des Médicis et prend les rênes du pouvoir en instituant une République chrétienne et religieuse.
Il met en place des réforme sociales et politiques (modification de l'imposition, abolition de la torture, renforcements des lois contre l'usure, cour d'appel, système de secours aux pauvres'?').Sur la plan des libertés, Savonarole se montre ultraconservateur,
Florence devient un état policier, où des milices pénètrent à l'improviste chez des particuliers, vérifient que les citoyens agissent en bons chrétiens et se comportent de façon irréprochable dans leur vie privée. Le paroxysme est atteint le 7 février 1497, jour du Mardi-Gras où tableaux représentants des nus, livres non religieux, miroirs, bijoux, cosmétiques, jeux, robes sont jetés au feu dans le « bûcher des vanités », place de la Seigneurie. Le 14 mai 1497, lors d'un sermon pour fêter l'Ascension, une révolte éclate. Lassée de ce rigorisme religieux, la population rouvre tavernes, bordels, et tables de jeux. Les partisans de Savonarole, affolés, demandent à ce qu'il accomplisse un miracle en traversant les flammes « purificatrices ». Jérôme se ravise ce qui amplifie le sentiment de révolte.
Sa garde est massacrée et le pape Alexandre VI, profite de ce retournement pour prendre sa revanche, excommunie son ennemi juré et lui lance un procès en Inquisition, mené par ses amis dominicains. Accusé d'hérésie, de prophétisme, de sédition, Jérôme Savonarole passe cinquante jours en prison, et est condamné à mort.
il fait du sacré bon travail
j'apprécie toutes ses démarches salvatrices pour le pays
il ose ( et c'est une vertu et une qualité) de mettre le doigt là oû ça fait mal
pour trouver le remède
Bon après-midi.