
Le bureau politique d’Afek Tounes, réuni dans la matinée de ce samedi 26 janvier 2019, dans son siège à Tunis, a dénoncé les pratiques chaotiques adoptées par ce qu'il a qualifié de "nouveau parti politique de l’Etat".
Selon le communiqué, Afek Tounes a accusé le nouveau projet politique de perturber les autres partis et de donner un faux semblant de départ en masse de ses dirigeants. "Le conseil régional d'Afek Tounes de Sousse est structuré et actif comme tous les conseils régionaux du parti", lit-on dans le même communiqué qui ajoute que "les démissions présumées ne sont rien de plus qu'une campagne de propagande qui concerne en réalité des membres dont les adhésions ont été gelées".
Rappelons que le député Hafedh Zouari a déclaré à Business News que près de 200 personnes appartenant à Afek Tounes se réunissent ce samedi à Sousse et se rendront demain, dimanche à Monastir pour assister à l'annonce du nouveau mouvement de Youssef Chahed.
O.B
Commentaires (9)
Commenterjuste une illusion qui meurt
Soyez objectifs
Brahim gardez la tête haute
Afek, rien à l'horizon
Afek n'y arrive plus et s'accroche par des avis allant à l'encontre du gouvernement.
Afek a-t-il le poids politique pour construire ? '?videmment non.
Alors que faire ?
Créer un mauvais buz.
Il n'y aura jamais plus de parti de l'Etat.
Lorsqu'on stagne dans l'échec et la faillite.
Lorsqu'on utilise des méthodes malhonnêtes, sans comprendre que la politique a horreur de la malhonnêteté.
Lorsqu'on n'accepte pas le changement.
Lorsqu'on séquestre ses propres adeptes.
Cela ne dénote que d'un amateurisme politique mortel.
Que toute la scène politique tunisienne sache, qu'il est impossible de vivre une vraie démocratie en Tunisie, avec un seul parti extrêmement fort jusqu'au rang d'un parti unique, comme c'est le cas actuel avec le parti d'Ennahdha. La vraie démocratie a horreur du parti unique. Il lui faut de deux à quatre vrais grands partis politiques, pour qu'il y ait un vrai équilibre démocratique en Tunisie. Les Tunisiens l'avaient bien compris en 2014 avec la création de Nidaa Tounes. Personne n'a prévu la mainmise des Caïd Essebsi sur ce parti ne leur appartenant que par respect à l'âge avancé de Béji Caïd Essebsi. Maintenant que la faillite de Nidaa Tounes devient plus que réelle, il nous faut un ou deux autres partis forts, qui pourraient réduire l'influence parlementaire du parti d'Ennahdha.
Le jeune Youssef Chahed a bien compris, que ce n'est vraiment pas en insultant et en intrigant contre Ennahda, qu'il pourrait sauver la démocratie tunisienne. Au contraire, ceux qui utilisent leurs méthodes talmudiques contre Ennahdha, ne bougent que dans du sable mouvant. Ils ne font que s'enfoncer davantage, pour faire hausser la valeur électorale d'Ennahdha. Ils transforment ce grand parti politique, en victime de leurs intrigues. Par cette malhonnêteté flagrante, ils procurent davantage de sympathisants et d'électeurs au profit d'Ennahdha, pour contrer la malhonnêteté politique des autres, dont a souffert la Tunisie durant les 55 années postindépendances macabres, sous les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Il est expressément requis de tous les partis politiques de la nouvelle démocratie tunisienne, de se désister de cet esprit restreint d'égoïsme personnel. Ceux qui ont créé une myriade de partis politiques bidon, dans l'unique idée de jouir du financement annuel imputé sur le budget de l'Etat, en forme de primes, ceux-là doivent comprendre qu'ils ne font que du mal à notre jeune démocratie. Des escrocs qui se prennent pour malins.
De 214 partis politiques en Tunisie, seuls 11 partis avaient participé aux dernières élections municipales. Les autres encaissent et jouissent des privilèges diplomatiques pour leurs propres personnes, lésant à la communauté et à la Patrie. Et, ce sont vraiment ceux-là qui ne font tout le temps qu'insulter le parti d'Ennahdha, dans l'idée de camoufler leur escroquerie.
Il nous faut encore au moins deux à trois autres vrais partis politiques, en concurrence légale et honnête contre le parti d'Ennahdha, pour réussir notre transition démocratique, une fois pour toutes.
Concurrencer le parti d'Ennahdha, ne veut en aucun cas l'insulter, le saboter et intriguer contre lui. Ces temps et ces méthodes de la débilité des «Destouriens» et des «RCDistes» déchus, n'appartient plus qu'à leur propre passé macabre, documenté dans les dossiers de l'IVD.
La démocratie n'est pas des insultes, du sabotage, du mensonge et des insultes. La vraie démocratie, c'est le travail et la coopération pour le bien du pays, comme c'est le cas en Allemagne, en Suisse, en Autriche et ailleurs dans les vraies démocraties de ce monde.
Les Allemands ne sabotent pas le gouvernement d'Angela Merkel, parce que son parti (Christlich Demokratische Union Deutschlands, CDU) ou «Union chrétienne-démocrate d'Allemagne» appartient à la tendance religieuse chrétienne, comme voudraient nous le faire en Tunisie quelques racailles politiques tunisiennes, contre le parti d'Ennahdha. C'est la patrie et l'ensemble de son peuple qui comptent, non pas les personnes et les partis politiques.
Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire.
Y. Brahim a la dent de lait très dure
Y. Brahim a la dent de lait très dure : il ne veut pas perdre de temps, des fois que ce nouveau parti s'avère un client trop sérieux !
Donc, mieux vaut prévenir que guérir... Et s'il ny a rien à guérir ? Fait rien, on fera comme si...
Une très bonne nouvelle
Si Yacine Brahim, Ben Jemaa et Said Aidi le rejoignent aussi (comme l'a proposé aujourd'hui monsieur Moakher) , dépassent leurs Ego et/ou leurs anciens "conflits" avec Chahed, ce sera top pour le bien de ce pays (finalement aujourd'hui c'est peut être Chahed à la tête du nouveau parti , demain ce sera un parmi eux) .
Yassine Brahim est le problème d'Afek Tounes
Tyranie

