Le bureau politique du parti Afek Tounes, a exprimé, ce lundi 9 mai 2022, son refus d’un retour à une démocratie boiteuse, malade et illusoire, d’avant 25-Juillet.
Il a précisé qu’il refuse également la dictature et le monopole du pouvoir, rejetant ainsi l'approche unilatérale et autoritaire adoptée par le président de la République, Kaïs Saïed, dans sa voie de « réforme ».
« Cette voie est concrétisée par le simulacre de référendum qu’il veut engager pour une constitution préparée à l'avance et des élections pour la forme qui établissent son Etat. Il a transformé le choc du 25 juillet en une grande déception et une trahison des attentes des Tunisiens » a ajouté Afek Tounes dans son communiqué.
Le parti rejette toute politisation des institutions de l’Etat et tout moyen de se servir des institutions sécuritaire et militaire pour adresser des messages politiques et pour des nominations improvisées basées sur la loyauté, le népotisme et la lutte des clans.
« Non à l’échec économique et social que nie le gouvernement actuel prétendant même des réussites alors que le pays traverse une crise qui s’approfondit de jour en jour » a-t-il conclu.
M.B.Z
Dites-leur s'il vous plaît, que le président Kaïs Saïed, ne leur laisse plus que la fameuse phrase de Tarèk Ibnou Ziad, lorsqu'il a brûlé ses propres bateaux :"al-bahrou wèraâkom, wel-aâdou èmèmèkom, wèlayssè lèkom minè al-mafarri siwè al-kitèl" ou (la mer derrière et l'ennemi devant vous. Vous n'avez plus de choix pour survivre, que par la lutte).
Donc, que ces clowns qui osent encore prétendre le moindre choix entre l'avant et l'après putsch du 25 juillet dernier, qu'ils réalisent que la Tunisie est perdue entre les mains des ennemis de la démocratie et de la liberté tant prônées par les peuples arabes. Un Quintett du mal qui gangrène les pays arabes. Ces juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine et leurs Harkis, la France des Lévy, les Emirats hébraïques, les Scieoudiens monchariques et les génocidaires de Rabiaa, les Saffah de Sissi.
Ou lutter tous ensemble pour libérer notre Patrie la Tunisie et restituer l'indépendance de la transition démocratique de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, ou pleurer par des larmes de sang, toutes nos prochaines générations qu'on trahit maintenant, en flagrant délit.
Allah yostir Tounes.
Je suis un simple Ammar Bezzouir Tunisien qui n´aime pas la politique !