
L’historien et activiste Adel Ltifi a commenté la situation politique en Tunisie, relevant que la personne qui a tiré son épingle du jeu n’est autre que le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi. Dans un post sur sa page Facebook, Adel Ltifi a indiqué que les échecs de l’actuel régime ont fait oublier les méfaits commis sous l’ère des islamistes.
« L’histoire des monopoleurs a fait oublier le dossier de l’embrigadement des jeunes et leur envoi vers les zones de conflit, l’histoire de complot a fait oublier les assassinats et l’appareil secret, le mirage de la conciliation pénale a fait oublier la corruption et les indemnisations, l’échec même au niveau de la disponibilité des bananes a fait oublier la destruction passée ».
Pour l’historien, il s’agit de « médiocrités qui tirent leur légitimité de leurs échecs mutuels ». Adel Ltifi a estimé que c’est une insulte pour la Tunisie et son Histoire, qu’un Kaïs Saïed et qu’un Rached Ghannouchi s’y disputent le pouvoir.
I.L

Quand au locataire de Carthage, il se place dans le même registre, la trajectoire l'idiologie les convictions sont les mêmes, à une différence notable, le talent et l'intelligence ne sont pas ses qualités. on a un démineur, un destructeur, un casseur pathologique, certes braves et honnête dans un monde ancien ,mais aujourd'hui il a un passif qui ne diffère pas des autres gouvernants.
Arrêtez votre cirque!
Il y en a marre de ces réflexions débiles.
Qu'ils nous parlent un peu des crimes de leurs deux dictateurs déchus, au lieu de ne faire que s'attaquer à leurs victimes.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr
C la prison qui l'attend
Il ne faut pas comparer KS a ce voleur de ghanouchi
A bon entendeur salut
Et ce maniganceur ghanouchi à un honable nationaliste et patriote.
Grande est la différence entre ciel et terre.
Une petite recommandation à B.N : Cherchez nous un statut du grand scientifique et activiste ADEL EL ELMI .
Ces "historiens" de "Guèflè etsir" de l'école de "El-Moujahid el-akbar", ont massacré l'histoire de la Tunisie contemporaine. Ils se cultivent autour d'une partie de Chkobba et escroquent leur salaire à l'Etat, jusqu'à avoir mis l'économie tunisienne à genoux.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.

