L'ancien membre du bloc d'Ennahdha à l'Assemblée nationale constituante et actuel maire de Bizerte, Kamel Ben Amara a affirmé que la municipalité ne procédera pas à la décoration de la région à l'occasion de la célébration de la Fête de l'Evacuation. Il a indiqué que cette décision résultait d'une pétition soumise par des habitants de la région et les acteurs de la société civile locale. Il a expliqué qu'il était dans l'obligation de se soumettre aux revendications de ces citoyens. « Il est temps de montrer Bizerte aux dirigeants du pays telle qu'elle est, pour une fois, après soixante ans de marginalisation », a-t-il déclaré.
Dans une vidéo publiée le 13 octobre 2022 sur la page de la municipalité de Bizerte, Kamel Ben Amara a indiqué que le gouverneur de Bizerte, Samir Abdellaoui avait choisi d'opérer autrement. Il a réquisitionné, selon le maire, les ressources de l'Etat et de plusieurs autres municipalités afin d'embellir la ville et de l'égayer. Kamel Ben Amara a critiqué l'attitude des autres municipalités et a considéré qu'elles auraient dû faire preuve de solidarité avec les habitants de la région. Le maire de Bizerte a appelé le gouverneur à se focaliser sur des sujets plus importants tels que la réouverture du centre de maternité de Bizerte. Il a révélé que le gouverneur refusait depuis sept mois de tenir une réunion du conseil régional. Il a qualifié l'attitude du gouverneur de tentative de passage en force et a réaffirmé son refus de se soumettre à cette décision contraire à la loi.
Kamel Ben Amara a, par la suite, expliqué que Samir Abdellaoui lui avait adressé un courrier affirmant la réquisition des employés de la mairie. Il a considéré que la demande de ce dernier était non-conforme aux dispositions du décret n° 78-50 du 26 janvier 1978, réglementant l'état d'urgence. Ce dernier indique que la réquisition n'est possible qu'en cas extrême et pour assurer l'intérêt vital de la nation et non-pas pour la décoration de la ville. Ben Amara a, aussi, expliqué qu'il n'avait pas, en sa qualité de maire de Bizerte, failli à sa mission et à ses obligations. « Je ne pense pas que la décoration de la ville fasse partie des intérêts vitaux du pays », a-t-il dit.
La municipalité de Bizerte a, quelques heures après, rendu public une correspondance adressée au gouverneur de Bizerte Samir Abdellaoui. Le document réaffirme que Kamel Ben Amara refusait de se soumettre aux instructions du gouverneur. Le texte indique clairement que la municipalité refusait de se soumettre aux menaces du gouverneur de réquisitionner les agents de cette dernière.
A noter que le gouverneur de Bizerte, Samir Abdellaoui est connu pour être l'un des fervents défenseurs du projet politique du président de la République, Kaïs Saïed. Il a été nommé à la tête du gouvernorat quelques semaines après l'annonce des mesures exceptionnelles du 25 juillet 2022.
Le gouverneur de Bizerte s'est d'ailleurs exprimé, à la date du 13 octobre 2022, sur les ondes de Mosaïque Fm. Samir Abdellaoui a affirmé que le maire de Bizerte n'a pas présenté de pétition signée par les habitants de la région. Il a assuré que la décoration portait sur l'ensemble de la ville et ne se limitait pas à la Fête de l'évacuation. Abdellaoui a, aussi, considéré que la municipalité se devait de procéder à cela.
Samir Abdellaoui a, par la suite, critiqué la publication de correspondances entre les administrations tunisiennes. Il a considéré que cet acte devait être puni et qu'il prendra une décision après consultation du ministère de l'Intérieur. Le gouverneur a expliqué qu'il disposait de plusieurs mécanismes, en plus de la réquisition, lui permettant de prendre les décisions nécessaires.
S.G
Toi, l'esclave et lèche-bottes des dictateurs, tu viens me raconter à moi, qui ai fait le tour du monde, que la misère, les injustices, la pauvreté, le complexe d'infériorité et la vierge Tunisie que ton "Bou-Petit-Cou" a transformée en une prostituée, devraient en faire une "Tunisie moderne", grâce à ses nages dans la piscine de son palais de Skanès?
Khaf Allah yè Rajel et va voir l'Afrique Noire et l'Ethiopie, que Bourguiba ne parlait que de leur famine.
La "Tunisie moderne"?
Moderne où?
De par la modernité et l'efficacité de ses hôpitaux, de ses écoles, des centres de recherches de ses universités, de la rapidité et de l'équité de sa justice, de la propreté et de l'efficacité de ses moyens de transport, du bon comportement de sa police, de l'absence de corruption dans le pays ou peut-être par le gigantesque argent qu'il a dilapidé pour la construction de son mausolée, devenu une attraction touristique?
Je vois déjà les âmes de nos concitoyens noyés en méditerranée, te visiter de nuits dans tes cauchemars d'esclave des dictateurs.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Quoique l'on sait qu'il y a eu durant le proche passés de la Tunisie, plusieurs migrations de la part des pays d'extrême Asie, mis à part ceux qui ont été engagés durant la guère de l'Indochine.
Autrement aucune preuve, sauf le cirque entendu de temps à autre de dépendre des berbères ne sachant pas que cette appellation est une offense et une dégradation qui fait pitié piour un groupevrnus sue les anes et à pieds vers une jungle au nord afrique se voyant obligés de se réfugier au sahara du niger, pour être utilisés en tant que serviteurs et esclaves parla suite n'eût été la conquête arabo-islamique ; il n'y aucune autre preuve sauf celle des improvisations historiques sans fondement parquelquesoccidentaux qui regrettent le maghreb
Toutes les fêtes nationales doivent être célébrées. Je m'étonne aussi que Kaisollah donne plus d'importance à la fête de l'évacuation qu'à la fête de l'indépendance qui est passée inaperçue les deux dernières années.
Aux derniers jeux méditerranéens autour du Stade Radès, le défunt dictateur déchu Ben Ali, installa en bordure des routes, plein de «murailles» en tôle, qu'il a embellies par des affiches publicitaires, derrière lesquelles, les habitants jetaient leurs déchets ménagers.
C'est ce que le gouverneur de Bizerte voudrait imposer au Maire de la ville.
Mais le Maire lui dit «DOUILLIOU» !!!
Maintenant, le gouverneur de Bizerte va insinuer une accusation contre le Maire de Bizerte, à la manière de ce qu'a vécu l'un des Maires de Mahdia. Une nouveauté d'accusation contre les Maires, qu'ils appellent : «apologie du terrorisme», par laquelle ils emprisonnent leurs opposants parmi les Maires des communes tunisiennes.
Il n'y a pas une seule institution démocratique de la Tunisie, qui n'est pas touchée par' le satanisme du coup d'Etat du 25 juillet 2021.
Allah yostir Tounes.
C'est des hypocrites qui pensent que tout argent doit leur appartient et être destiné à leurs familles qui vivent en nababs à Paris et e même d'avoir toutes sortes de privilèges à eux seuls en Tunisie.
Nous les savions lenteurs, fourbes et voleurs.
Nous fêtons leur incompétence.
Et nous relevons en outre leur inconséquence.
Bande de sagouins, vous ne changerez jamais.
Ce qui renforce notre goût pour un paysage débarrassé de vous.
Oust ! La racaille.
De rappeler que tout à commencé avec le trairre Ali larayadh qui a boycotté la fête nationale relative à la commémoration du 9 avril.
Ce ne sont pas des tunisiens ces sudistes, venus en intrus de londres au cours du mois de janvier 2011 pour s'accaparer , en toute désinvolture, des caisses et des biens de l'état tunisien.
Si la ville est dans cet état, comme il le dit lui-même, c'est reconnaître que c'est justement conséquent à sa gestion calamiteuse de Bizerte ...
Plus débile que ces khwangias, tu meurs...
Jusqu a nouvel ordre le Gouverneur est l autorite