
Le porte-parole de la cour d’Appel de Tunis, Habib Torkhani a annoncé, dans une déclaration à Mosaïque FM, ce mardi 16 janvier 2024, que le procureur de la République avait ordonné l’ouverture de trois nouvelles informations judiciaires contre la présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi.
Habib Torkhani a précisé que les deux premières plaintes ont été déposées par le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie). La première plainte est relative à une vidéo datant du 26 janvier 2023 où la présidente du parti avait accusé l’instance d’avoir falsifié les résultats des élections et la seconde concerne une vidéo datant du 27 janvier 2023, au cours de laquelle Abir Moussi avait indiqué que l’instance serait sur le point de falsifier les élections.
Par ailleurs, le porte-parole de la cour d’Appel a ajouté que la troisième plainte avait été déposée par l’UGTT en date du 27 janvier 2023. Les faits concernent un rassemblement des partisans du PDL devant le siège de la centrale syndicale et l’entrave du travail.
Les avocats d’Abir Moussi avaient déjà indiqué qu’une nouvelle affaire serait évoquée contre elle. Ils avaient affirmé qu’il s’agissait d’une plainte déposée par l’Isie conformément aux dispositions du décret 54.
Abir Moussi a été arrêtée le 3 octobre et placée en détention après l’émission d’un mandat de dépôt à son encontre. Elle est accusée d’atteinte à la sureté de l’État conformément aux dispositions de l’article 72 du Code pénal.
Les demandes de libération déposées par la défense ont été rejetées et la politicienne demeure en détention.
S.H

Allah yomhil wè lè yohmil.
Les élections n'ont dans ce pays aucun sens et la démocratie aucune chance tant que l'armée et le MI peuvent à tout moment être utilisées par X ou Y pour dissoudre parlement, instances et réécrire la constitution. Le régime sera pire avec la constitution de Saied si jamais une autre personne le remplace au somme. Les pouvoirs qu'il s'est offert seront meurtriers s'ils tombent dans les mains d'un vrai dictateur.
Enfin l'ISIE détruit toute crédibilité de neutralité en s'attaquant aux opposants et aux partis, de même pour l'UGTT qui se laisse utiliser dans la campagne pour faire taire toute voix dissidente.
ISIE et UGTT peuvent retirer leurs plaintes si elles ne veulent pas être complices.
Quand à khriji et Cie ils méritent plus que la prison étant des terroristes et traîtres. Ils méritent la peine capitale.
Mais là on a à faire à une dictature digne de la fripperie côté Baba Khadra, une dictature meskine, au firmament de l'incompétence et qui esquinte notre pays au jour le jour.
J'ajouterai que moi qui ait combattu Ben Ali, j'ajouterai que Ben Ali que je haissait était au moins un Dictateur éclairé, plein de bon sens et surtout de COMPETENCES économique et social, et qui a développé le pays, malgré sa famille de rapaces.
Là on a à faire à une dictature bas de gamme qui entraîne ce pays dans le fin fond d'un trou ; bref, on se fait en***** les yeux ouverts.
#SAYEB ABIR MOUSSI YA KAZI
Comment la libérer ensuite? alors qu'elle pourrait se venger une fois au pouvoir?
Et quelle fierté d'aller aux élections avec ses propres lois, sa propres constitutions, avec des journalistes en prison et l'opposition en prison... quelle belle victoire et quelle fierté ...
#free_abirmoussi
Cette rescapée de la purge de la révolution "charrette" a forcément des dossiers douteux qu'il faut monter absolument à la surface.
Il est même vivement suggéré à toutes ses anciennes victimes (avocats, politiques, populace,...) de porter plainte et demander réparation.
Il est temps que cette ancienne sbire de la dictature de la destourie de rendre compte.
Il est aussi urgent de jeter un '?il vigilant sur le financement de son parti et toutes ses dépenses ( liées aux campagnes électorales) et ce, depuis 2011.
Pour mémoire :
Maître Abir Moussi n'a jamais été au pouvoir.

