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L'ouverture d'un bureau de change est désormais possible
03/01/2018 | 18:03
1 min
L'ouverture d'un bureau de change est désormais possible

 

Le décret gouvernemental relatif à la création des bureaux de change a été promulgué, aujourd’hui, mercredi 3 janvier 2018.

 

Cette mesure permettra l’orientation des opérations de change effectuées illégalement vers les circuits légaux. Elle permettra, également de soutenir les efforts de l’Etat dans lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

 

En vertu de ce décret, le change manuel ne sera plus limité aux banques. En effet, les dispositions de la loi 54 autorisent l’exercice du change manuel à travers l’ouverture d’un bureau de change par toute personne physique de nationalité tunisienne, n’ayant pas d’antécédent judiciaire et n’ayant pas fait faillite.

Elle doit, également, avoir la compétence professionnelle lui permettant d’exercer cette activité, après avoir obtenu une autorisation préalable de la Banque centrale de Tunisie.

 

Le décret gouvernemental a fixé le seuil minimum de la caution bancaire pour l’exercice de l’activité de change manuel à 50 mille dinars, et ce, conformément aux dispositions de l’article 54 de ladite loi. D’autre part, le texte de loi indique que toute personne voulant pratiquer cette activité devra être titulaire d’une licence, ou d’un diplôme équivalent dans une filière financière, ainsi que d’un diplôme de formation délivré par l’Académie des Banques et Finances.

 

S.H

03/01/2018 | 18:03
1 min
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Commentaires (11)

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Nour.nme
| 03-02-2019 14:45
Quel budget faut-il pour ouvrire un bureau de change?

Bechir bechir N'ai à BORHAN TeTeM observator Tounsi toujours Abdel tati aldo Leila Ben Salem
| 16-10-2018 21:25
Salut , j'ai un déplome technicien supérieur en comptabilité et finance est ce je peux ouvrir la bax d'echange avec lui Ouvrire un bureau d'échange, gerer un bureau d'échange et deUn décret autorisant la création de bureaux de change...!
C'est une bonne initiative mais malheureusement les critères et les conditions exigés relèvent du parcours du combattant, de l'impossible.
Il faut être forcément bien placé, bien pistonné et surtout foncièrement et financièrement bien loti.
Autrement dit, la porte est d'emblée bien verrouillée à tout candidat qui n'est pas banquier, qui n'est pas diplômé d'études bancaires et financières et démuni d'un carnet d'adresses bien fourni.
De toute façon, un simple decret ne peut empêcher le business des devises de continuer à fleurir en faisant le bonheur de tous les intervenants dans ce fabuleux et juteux marché noir.
D'ailleurs, personne ne peut nier le rôle équilibriste que jouent le système D, le marché parallèle et informel que les tunisiens ont épousé sans retenue ni modération comme un sport national.
C'est bien de penser à sauver notre patient national, ce dinar devenu presqu'un chiffon de papier vulgairement mal traité.
Mais pourquoi ne pas prendre le taureau par les cornes en faisant de prime abord un vrai ménage dans notre système bancaire (cette vache à lait agonisante) qui s'est transformé en un parasite économique.
Je pense que chercher, à tout prix, à recaser ceux qui sont dans l'illégalité vers la légalité est une erreur.

L'objectif c'est avant toute chose de libéraliser un marché qui est tenu d'une main de fer par les banques. A Paris, à Istanbul, etc... il existe des bureaux de change indépendant dans des places touristiques.

Les exigences que vous critiquez tant sont - pour moi - de bon sens. Un bureau doit répondre à des contraintes particulières et doit surtout être solvable. Il s'agit d'un établissement financier et il est normal qu'il apporte des garanties à la BCT. C'est en quelques sorte le capital social de cette petite entreprise.

L'exigence du diplôme ne me choque pas non plus. Elle vise à éviter que ça parte dans tout les sens et que tous le monde et n'importe qui puisse ouvrir un bureau de change. Il me semble que personne n'irait dans une pharmacie tenue par une personne n'ayant pas une qualification... Il en est de même ici.

Pour ce qui est du paiement en devise, j'y suis farouchement opposé. La monnaie est un symbole de la souveraineté nationale. Seul le dinar a court légal en Tunisie et il n'y a pas lieu de permettre le paiement dans une autre monnaie. Je sais que quelques pays ont cette pratique (ex : la République Dominicaine) mais en général, se sont des pays dont la monnaie est très très faible. Je ne vous parle pas d'un ratio de 1 pour 3 mais plutôt de 1 pour 650....

Diviser un prix par 3, ça reste à la porté de n'importe quel touriste allemand. Le dinar est faible mais pas encore à ce point......."ainsi que d'un diplôme de formation délivré par l'Académie des Banques et Finances."

la durée et le coût de ce diplôme.les boutiques de tout genre ils pratique ça sauf le hammam n'a pas poncé à ce mettre lui aussi il faut vous réveiller et passer en force ci non Bay Bay la tunsie Cette loi devait permettre à réintégrer dans la formalité ceux, et ils sont nombreux, qui opèrent aujourd'hui dans le marché parallel. Pensez- vous que la plupart d'entre eux possèdent un diplôme universitaire? Encore une loi mal pensée!toujours des conditions absurde a la tunisienne,un diplômé chômeur avec 50.000dt comme caution bancaire,hors l'investissement pour le box du change ,ce commerce ne connaîtra jamais le succès.en plus le taux de change sera réglementer par la BCT,ne laissant q'une petite marge aux cambiste,par contre le change en noir qui alimente le commerce illégal rapporte beaucoup plus, nos immigrer de Djerba et aux sahel,font leurs change aux noir ça leurs rapporte actuellement 3250/3350 l'euro !Les terrains seront en Russie , pourquoi le Qatar ? Ou alors je dois pleurer en tant que tunisien , Allah la yarhimlek adhem ya ibn el kelb ( il se connait .les tunisiens aussi attendent le jour voulu , le tremp fera une fête en attendant la grande fête a son honneur , imbecile qu il est ce président de merde. Vive les américains mais que faire d'un tremp aussi minable et de culture générale égale à 0Il faut permettre aux grands magasins et aux hotels d accepter les paiements libelles en devises et par cartes bancaires...la Turquie a optee pour ce systeme de paiement en devises dans tous les commerces,meme les bus touristiques.....le rendement est excellent et le touriste depense beaucoup plus,car il compare directement avec les prix chez lui,la difference est frappante pour un allemand et l insite a depenser plus..

BORHAN
| 05-01-2018 11:52
Un décret autorisant la création de bureaux de change...!
C'est une bonne initiative mais malheureusement les critères et les conditions exigés relèvent du parcours du combattant, de l'impossible.
Il faut être forcément bien placé, bien pistonné et surtout foncièrement et financièrement bien loti.
Autrement dit, la porte est d'emblée bien verrouillée à tout candidat qui n'est pas banquier, qui n'est pas diplômé d'études bancaires et financières et démuni d'un carnet d'adresses bien fourni.
De toute façon, un simple decret ne peut empêcher le business des devises de continuer à fleurir en faisant le bonheur de tous les intervenants dans ce fabuleux et juteux marché noir.
D'ailleurs, personne ne peut nier le rôle équilibriste que jouent le système D, le marché parallèle et informel que les tunisiens ont épousé sans retenue ni modération comme un sport national.
C'est bien de penser à sauver notre patient national, ce dinar devenu presqu'un chiffon de papier vulgairement mal traité.
Mais pourquoi ne pas prendre le taureau par les cornes en faisant de prime abord un vrai ménage dans notre système bancaire (cette vache à lait agonisante) qui s'est transformé en un parasite économique.

TeTeM
| 04-01-2018 15:07
Je pense que chercher, à tout prix, à recaser ceux qui sont dans l'illégalité vers la légalité est une erreur.

L'objectif c'est avant toute chose de libéraliser un marché qui est tenu d'une main de fer par les banques. A Paris, à Istanbul, etc... il existe des bureaux de change indépendant dans des places touristiques.

Les exigences que vous critiquez tant sont - pour moi - de bon sens. Un bureau doit répondre à des contraintes particulières et doit surtout être solvable. Il s'agit d'un établissement financier et il est normal qu'il apporte des garanties à la BCT. C'est en quelques sorte le capital social de cette petite entreprise.

L'exigence du diplôme ne me choque pas non plus. Elle vise à éviter que ça parte dans tout les sens et que tous le monde et n'importe qui puisse ouvrir un bureau de change. Il me semble que personne n'irait dans une pharmacie tenue par une personne n'ayant pas une qualification... Il en est de même ici.

Pour ce qui est du paiement en devise, j'y suis farouchement opposé. La monnaie est un symbole de la souveraineté nationale. Seul le dinar a court légal en Tunisie et il n'y a pas lieu de permettre le paiement dans une autre monnaie. Je sais que quelques pays ont cette pratique (ex : la République Dominicaine) mais en général, se sont des pays dont la monnaie est très très faible. Je ne vous parle pas d'un ratio de 1 pour 3 mais plutôt de 1 pour 650....

Diviser un prix par 3, ça reste à la porté de n'importe quel touriste allemand. Le dinar est faible mais pas encore à ce point...

observator
| 04-01-2018 14:35
...."ainsi que d'un diplôme de formation délivré par l'Académie des Banques et Finances."

la durée et le coût de ce diplôme.

Tounsi toujours
| 04-01-2018 12:19
les boutiques de tout genre ils pratique ça sauf le hammam n'a pas poncé à ce mettre lui aussi il faut vous réveiller et passer en force ci non Bay Bay la tunsie

Abdel
| 04-01-2018 09:21
Cette loi devait permettre à réintégrer dans la formalité ceux, et ils sont nombreux, qui opèrent aujourd'hui dans le marché parallel. Pensez- vous que la plupart d'entre eux possèdent un diplôme universitaire? Encore une loi mal pensée!

tati
| 03-01-2018 21:44
toujours des conditions absurde a la tunisienne,un diplômé chômeur avec 50.000dt comme caution bancaire,hors l'investissement pour le box du change ,ce commerce ne connaîtra jamais le succès.en plus le taux de change sera réglementer par la BCT,ne laissant q'une petite marge aux cambiste,par contre le change en noir qui alimente le commerce illégal rapporte beaucoup plus, nos immigrer de Djerba et aux sahel,font leurs change aux noir ça leurs rapporte actuellement 3250/3350 l'euro !

aldo
| 03-01-2018 21:38
Les terrains seront en Russie , pourquoi le Qatar ? Ou alors je dois pleurer en tant que tunisien , Allah la yarhimlek adhem ya ibn el kelb ( il se connait .les tunisiens aussi attendent le jour voulu , le tremp fera une fête en attendant la grande fête a son honneur , imbecile qu il est ce président de merde. Vive les américains mais que faire d'un tremp aussi minable et de culture générale égale à 0

Leila Ben Salem
| 03-01-2018 18:13
Il faut permettre aux grands magasins et aux hotels d accepter les paiements libelles en devises et par cartes bancaires...la Turquie a optee pour ce systeme de paiement en devises dans tous les commerces,meme les bus touristiques.....le rendement est excellent et le touriste depense beaucoup plus,car il compare directement avec les prix chez lui,la difference est frappante pour un allemand et l insite a depenser plus..