
Le président de la République, Kaïs Saïed a présidé, tard dans la soirée du mercredi 8 au jeudi 9 mars 2023, le conseil des ministres annonçant la convocation des députés à la première session du Parlement et l’examen d’un projet de décret relatif à l’amendement du Code des conseils municipaux et un autre relatif à l’élection de l'Assemblée nationale des régions et des districts.
Le président de République a annoncé, également, la dissolution des conseils municipaux et leur substitution par des délégations spéciales.
Au début de son discours, le président de la République a rappelé qu’il se tenait du côté du peuple tunisien et qu’il avait toujours respecté ses promesses et ses engagements, notamment, en ce qui concerne les échéances fixées. « Il était nécessaire de faire face à plusieurs obstacles qu’ils soient naturels ou provoqués. Il y a encore du chemin à faire afin que les Tunisiens puissent vivre dans la dignité », assure-t-il.
Le chef de l’État a saisi l’occasion pour féliciter la femme tunisienne en marge de la journée internationale des droits des femmes, rappelant les combats menés par les femmes en Tunisie.
« Nous devons préserver notre patrie de la division et de la zizanie. Notre combat, que nous menons aujourd’hui avec la même détermination et la même sincérité, est un combat économique et social, pour répondre aux revendications des Tunisiens et nous ne devons pas les décevoir. La situation financière est certes difficile, bien que nous n'en soyons pas responsables. Toutefois, le moindre choix pour faire face à cette situation doit émaner de la volonté du peuple et non se faire à ses dépens. D’autre part, le combat que nous menons, conformément à la loi, contre ceux qui ont abusé du pays se poursuivra avec la même force et la même détermination, jusqu’à ce que le peuple puisse retrouver ses biens et ses droits », note-t-il.
Le président de la République a rappelé les données mentionnées dans un rapport de la Banque mondiale datant de janvier 2011, selon lesquelles 21% de l’économie tunisienne serait détenue par un groupe d’individus au pouvoir d’une manière officielle ou officieuse.
« Parmi les paradoxes, aujourd’hui, et ce n’est plus surprenant, c’est de voir à la tête des corrompus, les personnes qui prétendaient lutter contre la corruption. Aujourd'hui, ils manifestent en toute liberté et dénoncent une tyrannie. Ils manifestent sous la protection des forces de sécurité et pourtant, ils pleurnichent, comme ils avaient pris l’habitude de le faire ces derniers mois. Ils déplorent la liberté, parce que la liberté ne signifie pour eux que la corruption », indique le chef de l’État, rappelant « qu’un seul article de loi avait été vendu à 150 mille dinars lors des travaux de l’ancienne assemblée ».
Il ajoute : « Ils sont devenus la risée du peuple tunisien. Ils prétendaient être des ennemis alors qu’ils sont issus du même système… Ils veulent encore jouer les victimes, mais le théâtre les a rejetés, tout comme ses gradins ».
Le chef de l’État a réitéré ses mises en garde contre le monopole et la spéculation assurant qu’il n’y aura aucune tolérance envers ceux qui veulent affamer le peuple.
S.H
Ya ayouuuni, ah ya ayouni ih garalek...
On paye des électeurs pour "bien" voter, le secret de l'isoloir n'est pas respecté, le décompte des voix est truqué... C'est une parodie!
Partout où presque, les mêmes comme par enchantement ont installé leurs copains, et il n'est pas jusqu'aux lieux les plus reculés où les Islamistes ont raflé la mise alors que tout indique, par les coutumes, les habitudes, qu'une telle chose était inimaginable.
Comment ?
J'ai connu des gens étrangers à toute piété, loin des cercles et obédiences, devenus contre toute attente non seulement des piliers de mosquée, mais prosélytes obsèquieux avec la même verve que jadis lorsqu'ils laissaient libre cours à leurs penchants cultivant les plaisirs d'ici-bas avec gourmandise.
L'hégémonie idéologique des néfastes islamistes aura permis, même installé, cette hérésie.
Hérésie, car il est vrai que le ciel s'est alourdi, l'atmosphère bien moins respirable devenait oppressante et l'hypocrisie et la fausseté gagnaient du terrain.
Lorsque les habitudes sont atteintes avec cette violence, les comportements modifiés sous la pression insidieuse de cercles et groupes faisant régner une forme de contrôle social peu connue jusqu'alors, on peut dire qu'on a atteint au c'?ur ce qui fait l'esprit civil de cette société.
'? vrai dire, et contrairement à la propagande si répandue, nous n'avons rien gagné. On a perdu de cette nonchalance locale, de cette légèreté qui rendait la misère plus douce, et les quelques plaisirs "interdits" dont nous nous gratifiions ont foutu le camp à la même vitesse que nos espérances déçues.
Enfin, pour ceux qui auront espéré.
Pour mon compte, je me souviens que l'enchantement aura duré fort peu. Et ce qui se présentait comme une page nouvelle a vite pris les couleurs grises et noires, synonymes de retour en arrière.
Régressions à l'infini.
Voilà en quelques lignes les impressions.
C'est pour cela que dissoudre ces cabinets occultes, toutes ces officines bureaucratiques dont le bilan reste à faire pour en mesurer les dégâts.
On aura inventé des fiefferies.
Tous ceux qui en ont profité nous diront tout le bien qu'ils en pensent.
Moi, je pense aux biens qu'ils en ont retirés.
On commence à voir les résultats de travail de l'équipe de Mme Bouden
C'est des responsables très courageux qui ont acceptés la lourde tâche de sauvegarde dd la Tunisie de lq descente aux enfers suite à la destruction du pays par les envahisseurs durant la décennie noire de leurs invasion
On constate bien que la chute de l'économie a été bien stoppée et que le démarrage de la reprise est bien visible
Bon courage et ignore les malades qui continuent à détruire le pays
- Les khouanjias et leurs cercle les traîtres du front de sauvetage des khouanjias
- les supposés politiciens 0% qui parlent au nom du peuple et que ce peuple à déjà rejetés tel chebbi hamma abbou dilou etc...
- les traitres opportunistes syndicalistes qui ne pensent qu'à leurs intérêts personnels
Et ont détruit l'économie par les grèves sauvages et les blocages des lieux de productions Phosphate rt pétrole

