L’ancien prétendant malheureux à la Kasbah, Habib Jamli, est intervenu cet après-midi sur la chaîne qatarie, Al Jazeera, où il a imputé la responsabilité de la situation difficile dans laquelle se trouve la Tunisie à l’actuel président de la République, Kaïs Saïed, tout en lui donnant certains conseils.
L’Ex-désigné par le parti islamiste Ennahdha au poste de chef de gouvernement, a dans son propos expliqué qu’il est d’accord avec le « coup de force » effectué par le président de la République le 25 juillet dernier. Il a en effet déclaré : « Ce qui s’est passé le 25 juillet dernier a été une décision politique qu’il fallait prendre étant donné le très mauvais paysage politique qu’il y avait alors et qui a fini par bloquer le pays. Aujourd’hui, je me trouve en désaccord avec le président de la République car je voulais qu’il reste dans le cadre de la constitution de 2014. Et sur ce point, je lui ai présenté ma vision par écrit. Elle lui aurait permis de faire ses changements tout en s’en tenant à la constitution. Elle lui aurait permis de rester en cohérence avec le cheminement démocratique entrepris depuis 2011 ».
Pour M. Jamli, la vision qu’il a présentée au chef de l’Etat aurait pu éviter au pays la situation actuelle de « blocage », selon ses dires. Pour lui, actuellement, la seule voie encore exploitable est celle d’un dialogue national qui inclut tout le monde.
« Il faut que le chef de l’Etat accepte le débat et arrête cette confrontation frontale avec les juges et puis il faut dire que le chef de l'Etat nous a fait perdre vraiment beaucoup de temps. Une année entière !» a déclaré l’ancien secrétaire d’Etat à l’Agriculture.
Sur Al Jazeera, M. Jemli a aussi tiré sur ceux qui appellent à descendre dans la rue et sur ceux qui ont des liens douteux avec l’étranger. « Nous n’avons jusque-là pas vu de manifestation avec des centaines de milliers de personnes. C’est la preuve que le tunisien n’a pas la tête à la contestation » a-t-il en outre expliqué.
Durant l’émission, Habib Jemli a également critiqué « ces partis avides et corrompus », avant d’assurer qu’il est contre le chef de l’Etat aussi pour l’opacité de son projet.
« Il faut expliquer aux citoyens les prochaines étapes et aussi ce qui ne va pas avec la constitution de 2014 » a-t-il finalement rétorqué.
S.A
Il est des journalistes de qualités sérieusement chez vous.
Là ils souffrent depuis un moment.
Dommage je ne Reconnais plus BN
de retour, il lance la Turquie dans la production de drones militaires vendus $ 10 m pièce, qui s'exportent bien dans plusieurs pays dont la Russie.
voilà pourquoi, la Turquie "islamiste" n'a pas besoin de mendier au FMI.
Pauvre Jamli, héros malgré lui d'une farce subie malgré lui !!
la bonne gouvernance dépends du tactique du president et ses initiatives plus loin des conflits et d accuser les autres sans preuve '
le president kais sayed a bien débiter mais en fin de sa gestion il avait perdu son équilibre tres allergique du parti de nahda malgre que son chef de parti ne s ingere pas dans les taches du president .
Il est tard, et il faut aller se coucher !!!
"L'Ex-désigné par le parti islamiste Ennahdha au poste de chef de gouvernement"
"Habib Jemli : je voulais que Kaïs Saïed s'en tienne à la constitution de 2014"
Inutile de creuser, plus.
Et, le hold-up de juillet 2021 a aggravé le processus.
Aujourd'hui, le constat est sans appel.
Le pays est au bord de l'explosion.
Le pouvoir en place l'autocritique président Saied ne se rend pas compte de la gravité de ses erreurs et perd chaque jour davantage les manettes du pouvoir.
Au lieu d'avancer, le pays piétine voire il recule sans savoir où aller.
Le pire, l'état est géré comme un petit commerce au jour le jour.
Malheureusement, l'état est en faillite aggravé et le pouvoir fantôme et fantoche ne sait plus à quel saint se fier.
Le peuple s'impatiente et le jour " J" de la révolte s'approche à pas de géant.
Et surtout, l'exécution du programme imposé par FMI sera à mon avis l'étincelle qui embrasera tout un pays que certains cherchent à mettre à feu et sang.
Ce scénario suicidaire nous fait forcément peur et la facture sera indiscutablement bien salée.
C'est ce que je crois.
Ceux qui répètent bêtement une telle hypothèse, des plus criminelles qui puissent émaner d'un prétendu politicien, ne sont que les pires des mauvais politiciens de la Tunisie, qui encouragent la descente en enfer de toute notre Tunisie post-révolution du 14 janvier 2011 et qui n'attendent, que la mise à feu et à sang de notre Patrie tunisienne.
Même lors des manifestations contre le défunt dictateur déchu Ben Ali, entre le 17 décembre 2010 et sa fuite du 14 janvier 2011, nous n'avons vu que des costumés et des cravatés, manifester devant le ministère de l'Intérieur à l'ex-avenue Bourguiba ou à la Casbah, devant le premier ministère. Lorsque les autres centaines de milliers de jeunes manifestants, dont nous parlent ce pauvre bougre Habib Jemli et les débiles de son espèce, bougeraient et se rassembleraient par "centaines de milliers de personnes", ce ne sera plus que pour casser, pour voler, pour brûler, pour braquer, pour dérober, pour bloquer les routes et les chemins de fer et pour détruire tout le pays, de son extrême Nord à son extrême Sud, comme on l'a vécu autour du 14 janvier 2011. Ceux qui n'attendent que cette invasion bestiale par centaines de milliers de ces jeunes casseurs de la Cité Ettadhamen, des Mouroujs, des Zouhours, des Mellassines, des Cités Hélal, etc., etc., pour comprendre la colère actuelle du peuple tunisien contre tout ce viol flagrant de l'Etat tunisien par les putschistes du 25 juillet dernier, ne sont eux-mêmes que des criminels cachés derrière le fameux masque : «hakkon youradou bihi batil» ou (une vérité utilisée pour mentir).
Cette fois-ci, les jeunes casseurs ont de l'expérience. Rien ne pourra plus les arrêter. Ni les Snipers engagés par Ben Ali, ni les armes à feu de nos Sécuritaires ou de notre armée nationale. Les ennemis de la Révolution tunisienne, n'attendent en vérité que de voir les jeunes descendre casser et brûler le pays, à la manière de ce qu'ils le firent autour du 14 janvier 2011, lorsque les Sécuritaires se sauvèrent même de leurs lieux de résidence, pour aller se cacher chez des proches, où personne ne connaissait leur vraie identité.
Ne laissez plus passer ce discours criminel, qui minimise et qui banalise tous ces courageux manifestants, qui descendent dans les rues contre le coup d'Etat du 25 juillet dernier. Car, tous les criminels ennemis de l'Islam et ennemis des Révolutions arabes, n'attendent en vérité, que la mise en flammes de la Tunisie. Sauvons ce qui pourrait encore être sauvé autour de la légitimité de l'Etat tunisien et de sa Constitution légale de 2014. Le cas échéant, c'est la destruction du pays qui attend tous les Tunisiens. Ceux qui pensent encore pouvoir gouverner la Tunisie par les armes à feu des dictateurs, des despotes et des bourreaux, se trompent énormément. Même la géographie de la Tunisie, ne permet un rassemblement millionnaire à l'image de ce qui se passe au Soudan. Il n'y a qu'une seule ligne droite d'autoroute entre le Nord et le Sud de la Tunisie, de passage obligatoire par la capitale Tunis, impossible à détourner que par les montagnes.
Ne jouez pas avec le feu !!!
Allah yostir Tounes.
Non, pas d'accord :
IL était impératif de la changer - et vite.
Cela est fort de café.
Il eut mieux qu'il s'avisât d'en faire à ses amis qui ont fichu le pays dans un délabrement sans pareil et vidé les caisses tout en installant leurs pions partout en surnuméraires, gonflant à l'excès le budget de la Fonction publique.
Mais, on sait en vue de quoi et pourquoi.
Alors, vous êtes priés de nous laisser tranquille en cessant vos flagorneries, car vous ajoutez à votre vilenie.
Effrontés...