Le dirigeant Attayar et ancien ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières Ghazi Chaouachi a indiqué ce mardi 26 octobre 2021, lors de son passage sur la chaîne Attessia qu’il est visé personnellement par le président de la République tenant compte de sa crédibilité et de la confiance des citoyens dont il bénéficie.
Ghazi Chaouachi était présent sur le plateau pour revenir sur l’affaire évoquée par le président de la République concernant "la terre domaniale louée d’une manière suspecte à une personne proche d’un parti politique, pour un loyer de 27 mille dinars par an", et ce, dans la mesure où il était le ministre en place et qui avait signé le contrat en question.
Ghazi Chaouachi a tenu à expliquer que la somme du loyer n’est pas à discuter puisqu’elle est fixée par la loi selon des critères et des paramètres bien définis. Il a ajouté que la location des terres domaniales n’a pas de but lucratif, mais cette procédure vise à encourager l’investissement à long terme. Dans ce contexte, il a expliqué que l’étude des dossiers se faisait par le ministère de l’Agriculture et l’octroi du contrat se faisait en fonction de la nature du projet envisagé et du montant de l’investissement.
Il a précisé que cette procédure dure des années, et que l’investisseur peut prendre possession du terrain avant même la finalisation du contrat, puisque la signature par le ministère des Domaines de l’Etat est l’étape finale. "Le ministre ne peut que signer le contrat. Il ne peut refuser la conclusion du contrat puisque, logiquement, toutes les vérifications sont déjà faites et sont du ressort du ministère de l’Agriculture. En cas de refus de signature, la partie opposée peut parfaitement porter plainte et revendiquer des dommages et intérêts".
Ghazi Chaouachi a affirmé que pour ce genre d’affaires, mieux vaut réviser au lieu de se lancer dans des accusations, soulignant que si le président de la République ne s’y connait pas en économie, il s’y connaît quand même en matière de droit.
Rappelons que le président de la République, Kaïs Saïed avait reçu, hier, l'actuel ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Mohamed Rekik pour discuter d'une affaire de corruption impliquant une personne appartenant à un parti politique. S’adressant au ministre, le président de la République lui a affirmé qu’il avait déjà discuté avec le ministre de l’Intérieur à propos des biens de l’Etat : « Les biens de l’Etat appartiennent à l'État et ne peuvent être cédés aux voleurs. Je détiens le dossier d’une affaire relative à la spoliation des biens de l’Etat, mais je ne pense pas qu’il s’agit d’une seule affaire, mais d’une dizaine. La personne concernée a plusieurs affaires, pour des pots-de-vin, la mainmise sur plusieurs marchés de plusieurs gouvernorats, notamment, Béja, Manouba, Bizerte, ainsi que des affaires de chèques sans provisions. Cette personne a pu exploiter un terrain en vertu d’un contrat datant du 30 juin 2020. Ce terrain d’une superficie de 147 ha lui a été cédé à 27 mille dinars par an ».
Le président de la République a ajouté que la personne en question avait réussi à obtenir ce contrat, en versant un pot-de-vin de 80 mille dinars donné aux responsables d’une municipalité, pour pouvoir spolier, lui et son fils, les biens des Tunisiens.
S.H
La verite blesse
Vous avez faillit a votre responsablite
Avant d etre ministre vous aviez une idee des corruptions dans le pays
Qu avez vous fait?
Si cela avait été le cas de A.Moussi qui aurait malencontreusement oubliè par exemple, de payer un timbre fiscal ou un passage au péage d'une autoroute, ce traitre et vendu de chawouéchi aurait rameuté , les blackwatter, l'OTAN, les casques blancs (traitres syriens, comme l'équivalent de chez nous, du cpr, d'ettayar, d'etakatol, d'ennakba...), les papous de nouvelle guinée, etc...
Tous des bouffons, des vendus, des charognards, des traitres.
Les loups ne se mangent jamais entre eux..............
Tfouh
LE PR'?SIDENT S OCCUPE DE SON PEUPLE ET LES VERMINES COMME TOI ABOIENT ET '? LA FIN
ILS PRENNENT UNE BONNE DOUCHE '? LA MORNAGUYA
FR'?RO
TIR TAWA
Depuis le 25 juillet, combien de politicards ont fuit ou ne sont pas revenus au pays et combien de députés sont en prison ou en résidence surveillée, n'avez vous pas honte de vous affichez publiquement pour défendre l'indefendable !
Tous les politicards qui s'affichent depuis 2011 méritent jugements au moins pour avoir ruiner le pays et affamer la population.
Aucun mot ?
Bizarre ! Bizarre !
B.N n'a pas l'habitude de rater un évènement pareil !
Allez, Elmlih Yabta !
TOUS
Voleurs !
Corrompus !
Menteurs !
Oui, avec vous et vos semblables l'état cherche surtout la faillite, et pour ça, mission accomplie !
" Le président ne connait que dalle " , et vous les génies, les illuminés ? Quels étaient vos exploits pendant votre période de gestion ?
Comment signer des contrats pareils sans émettre la moindre réserve ?
Si vous êtes gérant d'une petite s.a.r.l vous êtes tenu à déclarer et à payer des impôts comme si l'état est votre principal associé, alors que les biens publics, propriétés de l'état sont dilapidés en toute insouciance !!!
C'est pour encourager l'investissement et créer l'emploi !!!
Mais quand vous assister à des débilités pareilles !!! De la part de " politichiens chevronnés ", des responsables de partis politiques et hauts responsables de l'état, nous sommes considérés comme la meilleure race des " Hi Han " !
" Et je suis personnellement visé par le président " !
Le président n'a aucun droit de vous accuser, vous êtes une catastrophe ambulante !
Et puis, le soutien de Ghazi Chaouachi à Ennahdha est plus que douteux quand on sait que cet individu préside le parti Attayar, parti connu pour son opposition à Ennahdha,
Et enfin, te voilà Mr Chaouachi, avec l'aide d'Ennahdha, tu t'enrichis sur le dos des tunisiens, et sur les plateaux de télévision tu te permets de donner des leçons au Président Said.
Quand on mélange la démocratie avec la corruption, on trouve des anciens ministres, qui ont juré de ne pas trahir leur pays.
Selon '?lisabeth Mouilleau qui a consacré sa thèse à l'administration coloniale en Tunisie, la constitution et construction de cette capture date d'une loi votée par le parlement français en 1882.
Cette loi disposait que tout propriétaire, occupant de biens fonciers qui ne pouvait justifier d'un titre à cet effet est exproprié.
Les biens dont alors mis à disposition de colons venus de France pour en user à leur profit.
Le contexte français d'alors favorisait la projection au sein de "l'empire" de gens qu'on voulait éloigner, à la manière des communards ou de résistants algériens qu'on expédia jusqu'en Nouvelle Calédonie......
L'indépendance conquise, c'est une manne entre les mains de fonctionnaires qui échoit au nouvel '?tat chargé de l'administrer.
La tentative de gestion en coopérative de Ben Salah vit se lever une opposition des nouveaux latifundieros locaux.
Les choses reprirent leur cours "normal" et naquirent des propriétés immenses et de nouveaux ou les mêmes hobereaux.
J'ai connu d'expérience vive, les domaines et vus de mes yeux s'y établir de nouvelles propriétés échouant dans l'escarcelle de chanceux venus de je ne sais quel coin du pays ou encore de fidèles du pouvoir qui ont, depuis, bâti des fortunes et conquis de nouveaux espaces.
La déforestation grâce aux moyens techniques et les machines capables de rendre dociles des terrains jusqu'alors rebelles.
Des gens ont accès encore de nos jours par des usages peu légaux à la location ou tout simplement à l'usage à titre gracieux durant cinq ans. Et, après....
Tout cela me fait songer qu'au fond presque rien n'a changé pour l'habitant des campagnes dépourvu de moyens, d'entregent ou d'accès aux "décideurs".
Je laisse à chacun le soin d'attribuer le qualificatif qui convient à ce paysage de pratiques peu loyales.
Car, on aurait pu imaginer qu'avec la fin des colons, on redistribuât les terres après une enquête en bonne due forme afin de restaurer les propriétaires légitimes dans leurs biens.
Mais, ceci est une autre affaire.
Mais, ils sentirons de loin comme des putois !
Sur cette histoire, Saied semble avoir raison de demander d'enquêter.
Se sentait il coupable ?
Là est toute la question !
Toutefois ce comportement nous rappelle certains comportements de ceux qui essayent soit de dévier les attentions ou d'impressionner.
Bizarre !
Quoiqu'il en soit nous savons que ghanouchi a déjà parlé de ce sujet relatif à la distribution des terres domaniales dans un ses médiocres "discours" à la coupole Menzah même ya bougualb lors de l'une de ses folies de grandeur et avec son argent qui coulait à flots et lorsqu'il se permettait d'organiser des week-end royals à Hammamet pour ses propagandes de cirque.
Pauvre Tunisie qu'est-ce qu'elle a vécu comme désastres et banditismes.
Prenons par exemple les terres de grandes cultures composées chacune de dizaines voire de centaines d'hectares et qui en la labourant et en la semant de blé ou de farine entre autre semence par intermittence, elle rapportera sans grande peine des revenus intéressants tout en étant confortablement assis dans un fauteuil chez-soi ou même allongé dans une piscine en Espagne après avoir acquis une résidence luxueuse à Tunis ou à l'étranger.
De rappeler que les terres de grandes cultures étaient acquises par les riches propriétaires qui s'achètent ces types de terres pour fructifier leurs fortunes, suite à des économies et à des efforts considérables de génération en génération pour devenir propriétaire, car à la différence d'autres cultures qui demandent un suivi et un travail quasi quotidien, ces terres rapportent mieux que d'avoir un immeuble dont les appartements sont destinés à la location ne demandant qu'un seul vis-à-vis (ou gérant) pour percevoir mensuellement (en général) les revenus de ces locations.
En Tunisie, il ne s'agit pas d'économiser pendant des dizaines d'années, voire des siècles, pour devenir riche propriétaire, il suffit de s'adresser à un parti politique ou au ministre qu'il charge d'une opération ne demandant qu'un simple signature d'un contrat fantoche, pour devenir riche.
Donc d'offrir ces terres domaniales à des particuliers est un cadeau inouï, que le bénéficiaire ne peut que remercier l'intermédiaire qui a intervenu auprès du ministère des terres domaniales, et le récompenser de son geste même par une promesse de vote lors des législatives et des municipales entre autres.
Ces terres domaniales sont supposées être gérées par l'état lui-même d'après des recrutements adéquats comme dans une société étatique ayant un statut et un organigramme et non de jeter ces terres à tord et à travers à des particuliers et qui n'ont jamais été rentables pour l'état tunisien mais plutôt qui constituent un fardeau et des manques à gagner énormes voire des déficits qui se chiffres actuellement par des milliards.