
Le ministère de la Santé a annoncé, samedi 5 décembre 2020, une série de limogeages à la suite du décès tragique survenu le 3 décembre courant d’un résident à l’hôpital de Jendouba.
Le ministre de la Santé, Faouzi Mahdi a décidé de limoger :
- Le directeur général des structures sanitaires publiques
-Le directeur général du centre des études techniques de maintenance biomédicale et hospitalière
-Le président de la commission médicale à l’hôpital régional de Jendouba et la suspension de l'activité de la commission
-La directrice de l'hôpital régional de Jendouba par intérim
-La chargée de la maintenance de l'hôpital, en attendant les résultats des enquêtes
Le ministre a décidé également de charger une équipe présidée par le chef de cabinet du ministre de la Santé de diriger la direction régionale de la santé de Jendouba et l'hôpital régional. Il a aussi chargé une équipe de différentes parties prenantes de surveiller et évaluer les mesures de sécurité dans les hôpitaux publics. Le but étant de combler les lacunes afin de garantir la sécurité des patients et des employés de l'hôpital.
Le ministère s'engage à faire preuve de transparence dans l'annonce des résultats du travail de ladite équipe et le suivi de la mise en œuvre des décisions, a-t-on indiqué dans le communiqué. Il a été décidé de doubler les allocations consacrées à la maintenance des hôpitaux dans le budget pour l'exercice 2021. Celles-ci devraient être orientées principalement vers l'amélioration des conditions de sécurité, selon le ministère.
I.M.



Le vaccin de grippe est introuvable, tout les âgés dans notre cité (et autres) sont restés sans vaccin, alors qu'ils étaient habitués de le trouver aisément chaque année.
Prière de prendre les mesure nécessaire pour empêcher les possibles dérives en adoptants des solutions comme des points de vente contrôlés, ou des autorisations pour âgés seulement, par carte d'identité, etc...
Sinon on saura trouver des petites quantités depuis l'étranger pour quelques personnes, en cas ou cette pays continuerai à être un prison pour le peuple , et leurs denier l'accès aux services de base, même quand ils sont payants.
Merci.
PS: Je ne vais pas commenter l'article. Seulement je dit que ces actions sont suite à un décès (d'un Jeune + Médecin + à Jendouba) et non pas suite d'un constat (déjà connu) faite par le ministère, et que la situation était la même un jour avant le décès et le jour du décès, et sera la même demain... Vous me comprenez bien chers tunisiens ? Mais d'accord pour les limogeages !
Le climat qui règne dans nos hôpitaux pousse certains médecins et chefs de services à chercher à partir ailleurs et pour les remplacer ça sera difficile de trouver des gens d'expérience et qui possèdent l'abnégation et la fibre sociale nécessaires pour travailler dans le domaine de la santé publiques.
On attend toujours ...
L'étude sur "l'Hôpital de demain" faite sous la coordination de l'ITES témoigne en faveur de nos cadres medecins hospitaliers dont certains ont été peut-être limogés par le CDG qui ne comprend rien à rien. Il ne fait que singer d'ancien Grand President en ne prenant que les mauvaises pratiques.
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://www.ites.tn/uploads/publications/files/4580fe61af3cb5a37bb4d06c72cb5286.pdf&ved=2ahUKEwja7KSC67jtAhUp4YUKHYa1BtwQFjAKegQIBxAB&usg=AOvVaw3mD0HUola6N3ogBqRsW6AX
pour le reste c'est le systeme qui est defaillant . c'est le systeme qu'il faut changer : Gouvernance- marché public- normes se securité - formation - controle periodique - certification- gestion des risques. etc ....;
pour le cas d'espece ou est le bureau de controle des assenceurs ou sont les procedures ....
c'est de cela que le ministere et tous les departement concernés se doivent d'examiner et pas uniquement dans le secteur de la santé. il y a les universités; les foyers; les administrations etc....
Merci d'éclairer les lecteurs.
Mais ces responsables limogés quels diplômes détiennent-ils ?
La seule obsession des nahdhas originaires du sud ( Gabes ou Mednine) accepteraient un recrutement, quoique pour la forme et sans expérience ni compétence, que seulement à Tunis et rien qu'à Tunis, même si le compétents tunisois, ou même du nord de la Tunisie, soient en chômage et vivent dans la nécessité, surtout on voit que les sudistes vivent en nababs à Tunis et ce dans travailler sauf de se balader dans leurs véhicules neufs à Tunis à longueur de journée.
D'ailleurs nahdha doit certainement que cette sinécure est méritée pour ces sudistes puisqu'ils ont voté nahdha en contrepartie de cette corruption donnant-donnant.
De rappeler que les élections qui se sont déroulées en Tunisie après 2011 sont toutes manipulées et manigancé et ce nettement plus que les élections avant 2011, et la cour des comptes à d'ailleurs apportée toutes les preuves contre nahdha ou qalb tounis, mais que les députés de nahdha continuent à improviser des circonstances atténuantes à toutes ces arnaques flagrantes avec des mises en scène caricaturales.
Des malhonnêtes.