Bechir Boujdai, membre du bureau exécutif national de l'Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica) a été l’invité de Hamza Belloumi dans la Matinale de jeudi 8 octobre 2020, sur les ondes de Shems FM. Il est revenu sur la situation des entreprises du secteur privé ainsi que les mesures annoncées par le gouvernement au profit de ce secteur sinistré de la crise Covid-19.
Réagissant aux interrogations de certaines parties sur une éventuelle possibilité d’appliquer les nouveaux horaires du secteur public aux entreprises privées, il a souligné que le secteur privé était basé sur le gain et la productivité.
“On est payé pour les heures de travail et non pour celles passées à la maison. Nous ne pouvons encourager la fainéantise (...) Il faut arrêter avec le populisme et oeuvrer à sauver l’économie du pays”, a-t-il soutenu.
Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a annoncé, samedi dernier, un ensemble de mesures afin de ralentir la propagation de la pandémie Covid-19 en Tunisie, notamment de nouveaux horaires administratifs pour le secteur public. Les fonctionnaires travaillent depuis mardi 6 octobre en séances uniques et sur deux groupes pour assurer la continuité des services.
Bechir Boujdai a rappelé que les petites et moyennes entreprises passaient par une période très difficile depuis fin 2019. Une situation qui s’est aggravée avec l’éclatement de la crise sanitaire en Tunisie en février.
“Le secteur privé a perdu des centaines de PME : 35% de ces structures sont menacées de disparaître”, a-t-il signalé précisant que les mesures annoncées par le gouvernement Fakhfakh au profit des entreprises du privé sont restées au stade de promesse.
“La relation entre les entreprises et les banques, leurs fournisseurs, l’administration … a été ébranlée. Le taux de recouvrement est très bas et le gouvernement ne fait plus confiance au moyens de paiement tels que les chèques et les traites”, a-t-il ajouté.
Au sujet de l’octroi des autorisations de circulation pour les travailleurs de nuit - compte tenu du couvre-feu décrété sur le Grand-Tunis et qui entre en vigueur à partir de ce soir -, Bechir Boujdai a affirmé qu’elles seraient octroyées par les employeurs à leurs salariés.
Les gouverneurs étaient en charge de l’octroi des autorisations de circulation pendant la période de confinement.
En ce qui concerne les mesures à appliquer, il a avancé que chaque employeur était responsable de son entreprise.
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N.J.
"Nous ne pouvons encourager la FAINéANTISE (...) Il faut arrêter avec le POPULISME et oeuvrer à sauver l'économie du pays'?'
Qui sont ceux qui usent, abusent et "ré-abusent" du POPULISME depuis 2011.
Je suppose que vous l'avez deviné.
La réponse est à la portée d'un gamin de maternelle !!!!
Il s'agit là des éternelles pleurnicheuses, d'ex-bandits de grands chemins, de gangsters confirmés et de terroristes, fraichement reconvertis dans la politique.
Il s'agit des bras cassés du chlékistan, ceux qui n'ont jamais rien fichu de leur vie, hormis parasiter et sucer goulument le sang de ceux qui se brisent l'échine à longueur de journée pour nourrir leur petite famille.
Il s'agit de la coalition des hyènes chameliers imposteurs traitres de la nnakba , des chacals d'ettayar, des vautours d'el kharama, des corbeaux de klébes tounis, et enfin d'une myriade de pickpockets indépendants, capables de vous ôter votre slip, le temps d'un seul battement de paupières
L'ensemble de ces fléaux, useront de tout ce que la maudite constitution de 2014 leur permettra de faire.
Le sort de la société civile est le dernier de leurs soucis.
La pagaille et l'anarchie prime sur tout le reste.
C'est leur raison de vivre.
Leur train de vie de profiteurs et d'opportunistes en dépend.
Mr Béchir Boujdai a raison à 10000000%.
L'état n'a pas à intervenir au sein des entreprises privées.
Il n'a qu'à s'occuper de ces centaines de milliers de fonctionnaires fainéants et improductifs, partisans invétérés du moindre effort.
Mais aussi il doit assumer les erreurs impardonnables de certains pingouins du gouvernement précédent.
Le faux docteur mekki est un des principaux responsables de la remontée en flèche des infections par le COVID 19 au chlékistan.
Son inégalable amateurisme va nous couter les yeux de la tête.
Il devrait être traduit en justice.
Ah ? quoi ? tu vas me dire que c'est pas vrai ? qu'un citoyen ou une entreprise qui contracte un prêt a un taux magistrale jamais vu dans le monde de 7 a 10 % d'intêret ne se fait pas baiser ? en ajoutant les taxes, l'assurance, et les trafiques et tour de passe passe bancaire des honnêtes agents qui doivent "se nourrir" eux aussi ? Donc un taux d'intêret quasi de 20 % voir peut être de 40 % ?
Tu crois mon cher président de l'union patronale que la France ou l'Allemagne ou peut importe sont des nations developpés ayant des banques tueuse de developpement ?
Allez voir le taux d'intêret des banques françaises, il est dans le zero virgule.
Je ne connais pas tous les taux des banques a travers le monde, faudrait chercher pays par pays, mais je doute fort croyez moi je doute fort qu'un tel massacre économique existe ailleurs qu'en Tunisie, peut être chez les républiques bananières du no man's land africain ? Faut chercher.
Aucune autorité compétente ne peut parler au nom de la compétence économique sans avouer que les banques en Tunisie sont contre l'économie et contre le developpement.
Nos entreprises existent et travaillent malgré les banques.
Le pays arrive a fournir une croissance économique malgré les banques.
Revoir la vision bancaire n'est pas juste un bonus de prospérité, c'est une urgence et une necessité absolue, une question fondamentale, sans elle, aucune économie de developpement et d'entrepreneuriat ne se fera en Tunisie et les entreprises souffrirons toujours du moindre mal occasionné car déja souffrante et affaiblit, ne pouvant être solide avec des banques tueuses de l'économie dans leurs pays.
Bien sur tout ça ne se fait pas sous un régime éclaté, et un pouvoir distribué a tout le monde, même aux contrebandiers ennemis de la nation qui font fuir ressources et financement pour s'enrichir a leurs propres comptes sans participer a rien construire et on déconstruisant tout.
Ne se fait pas non plus sous une république assiégé par des armées étrangères.
Ne se fait pas non plus sous l'anarchie, le vol, la corruption, le viol, le meurtre, l'effondrement national, politique et économique, etc..
Faut tout revoir, toute la Tunisie est a revoir désormais.
Mais la qualifier juste de relation, c'est une relation de quoi au juste ?
Une relation amoureuse ? voyez vous mon cher Bechir Boujdai je doute fort que les banques soient amoureuses des entreprises des citoyens et de l'état.
Peut être une relation amicale ? Non... non franchement je ne vois rien d'amicale au système bancaire.
Une relation purement professionnelle teinté de mépris d'escroquerie de racket et de corruption ainsi que d'une tendance mafieuse et d'une vision anti developpement ?
Oui... oui ça semble correcte il y'a donc bel et bien une relation entre les banques et le reste de la nation.
Faudrait penser un jour a vérifier la véritable identité idéologique des banques en Tunisie.
Il se pourrait, je dis bien il se pourrait que les banques tunisiennes ne soient pas un cadeau pour la nation, bien le contraire, leurs vision et leurs comportement, ainsi que leurs entente sur le marché, a mon avis a réduit de 90 % le developpement du pays et des entreprises en Tunisie.
Aurions nous affaire a un ennemi caché depuis longtemps au sein même du territoire, camouflé et passant pratiquement inaperçu ?
Le ministre du pole économique nous répondra a cette question sur le developpement du pays et le role des banques ?
Ah non.. non non il est issu d'une banque j'ai oublié !
AH merde pas de chance, on plongera au fond de la méditerranée quoi qu'on fasse, bah voila les gars, bonne chance pour bien nager en évitant les requins.
