this is just blabla à la American Dream. Nicely brainwashed!

Based on our own Tunisian difficulties, I can't help thinking that what makes a difference between developing and less developed countries, or between achievers and losers in general, is their own capacity to project themselves onto successful scenarios...

Freedom being earned, it's up to a believer to render the glory of his or her belief!
Never should one be mislead to think that if pessimists are sometimes right, it is because of their realism. Arguably, reality is greatly shaped by one's mind relative closeness to trust or disbelief; courage or fear; success or failure ...

I am from Kairouan, and I am most impressed by those who dare to dream for Sfax. I would help if I can, or at least, I should take their endeavour as a source of emulation.
Having said that, one can never know: DEVELOPMENTAL and POLITICAL criteria - aimed to promote and strengthen newly acquired freedom and democracy in economically struggling Tunisia - can weigh heavily in the balance of the decision-makers.

So, good luck to the CNOT and to Sfax! and remember:
"If Your Dream Doesn't Scare You, It Isn't Big Enough!"

Sfax victime en premier des responsables locaux!


Quand des incompétents sont placés aux postes clé grâce aux liens familiaux et politique, la suite est connue: Sfax est une "dachra" habitée par des paysans!

Très bien explicitée ! Merci pour votre analyse.l'" habitué" doit le lire et le relire plusieurs fois afin qu'il améliore son coefficient d"honnêteté intellectuelle" .

Yarham Weldik.
Rien qu'à les voir (leur dégaine), je ne leur confierai même pas l'organisation d'une kermesse de quartier.

Ils sont tous là par pur opportunisme. Je commence à bien connaitre mes concitoyens.
La "faim" justifie les moyens.
"Akhta rassi, ou adhrab".

Qu'on le veuille ou pas, L'habit, la prestance fait le moine.
On n'est pas sorti de l'auberge, loin de là.
Les sables mouvants continuent leur oeuvre, doucement et surement.
La compétence a déserté le pays depuis l'accident de 2011.
Salutations.

Bien située ;l 'etat pourras ainsi ouvrir des chantiers et donner à cette villi port sa chance ;du travail;c 'était une ville martyr

@ same cade
Malgré l'inutilité de ma démarche dans le sens où vous confondez cause et effet, bourreau et victime, je tenterai quand même de vous répondre :
Vous dites "pour passer de Beb Jebli à Beb Diwan, il vous faut 30 mn". Ne comprenez vous pas Monsieur, que c'est la cause d'une politique volontariste d'abandonner une ville à son sort, quand on sait que chaque année le parc auto s'agrandit de 15000 véhicules sans qu'on augmente de temps en temps le réseau des routes et de l'étoffer d'ouvrages d'art ? ça s'appelle tout simplement confondre la cause et l'effet.
Vous parlez d'aménagement urbain et de beauté d'antan avec un parfait dédain de la réalité. Vous semblez mécontent de voir des immeubles pousser ? je vous met au défi de me dire quels ont été les projets d'aménagement à Sfax, ou les interventions des agences gouvernementales dédiés à l'aménagement? vous n'en trouverez pas parce qu'ils n'ont jamais existé.
Dieu merci que grâce au dynamisme de ses habitants, Sfax crée et invente chaque jour des solutions pour se loger, transporter ses élèves et se débrouiller chaque jour pour garder la tête hors de l'eau.
Sfax a accepté de s'équiper de bus en occasion ( 100 bus pour 4 millions de dinars), mais quand l'ex ministre de transport a décidé de rééditer le même coup au sahel et à Tunis, il y a eu levée de boucliers et le projet est tombé à l'eau.
Est ce qu'il est normal d'avoir un stade de 11000 places pour 1 million d'habitant ? le stade de votre ville Monsieur qui vous l'a payé ? n'est ce pas l'état ou c'est encore la faute des sfaxiens que d'avoir un petit stade ?
la meilleure c'est la fin. Je sais pas qui des hommes d'affaires a commis l'impardonnable, en prétendant que Sfax est MHAMMCHA ! quelle faute de bon goût ?! je vous invite a lire dans le lien suivant les conclusions d'une étude diligentée par le GIZ allemand :
http://www.webmanagercenter.com/actualite/economie/2015/06/17/164910/tunisie-developpement-regional-des-investissements-publics-superieurs-a-la-moyenne-nationale
Alors , je le proclame ici haut et fort que sfax et Sidi Bouzid ont été parmi les rares régions qui ont été réellement marginalisés en Tunisie.
Vous pouvez polémiquer si vous le souhaitez, mais je ne voudrai pas pousser la discussion plus loin avec vous, car il me semble sans grande chance de me tromper, que vous ne disposez pas de l'honnêteté intellectuelle minimale pour que je puisse trouver un quelconque intérêt, et sachez Monsieur que les sfaxiens sont désabusés et même blasés, car ils savent qu'ils n'ont qu'un seul choix : comptez sur eux mêmes et ne pas baisser les bras.
Pour l'histoire de Ben Ali, et des lécheurs de bottes, et sans établir des parallèles avec d'autres personnes ou d'autres régions, je les félicite, ceux qui l'ont fait de Sfax pour défendre leur bifteck face à la prédation et au crime organisé, car ils se savaient être une cible de choix pour la cupidité sans limite qui voulait priver ces hommes d'affaires du fruit de leur travail acharné.

Les membres de ce comité ont vraiment une tête de gagnants.
La Tunisie, tout dans le virtuel, comme les aciers Foulhed, 6è choix.

la Tunisie fêtera sa 5ème de califat Daesh, personne ne viendra.

Aucune chance pour Sfax face à Oran pour au moins 5 bonnes raisons :
-le volet financier pour Sfax sera -médiocre face à Oran.
-les soucis sécuritaires de la Tunisie ne vont pas aider.
-L'environnement de Sfax est totalement dévasté, par une usine à 2 km du stade municipal, qui souffle 24/24 ses oxydes de souffre et ses vapeurs de fluor et de phosphore, ainsi qu'une décharge de déchets domestiques incinérés à ciel ouvert 24/24 à 3 km du centre ville gratifiant les habitants de fumées toxiques bigarrées à la dioxine et aux furanes et chamarrées aux oxydes d'azote et aux gaz acides.
-l'infrastructure touristique est en état de décomposition avancée, avec la transformation de la vieille Médina dans les meilleurs remparts de la méditerranée, en un bidonville qui ne dit pas son nom, avec les problèmes d'hygiène et de sécurité s'y afférant, ainsi que le littoral totalement et pour longtemps détruit. Je citerai aussi à titre indicatif , le cas de la marina de Sfax qui était là ( merci la France) avant même que la moindre des marinas tunisiennes, ne voiyait le jour, mais a été condamné par un pont officiellement mobile mais immobilisé définitivement avant que le ciment de sa plaque commémorative ne trouve le temps de prendre masse et sécher (1992).
Mais les sfaxiens semblent défendre leurs projet avec l'énergie du désespoir, quitte à rêver un peu pour cette ville orpheline mal aimée, tel qu'un stade digne de cette ville, (l'actuel supportant 1 million d'habitant, est plus petit que celui de Bizerte ou de Monastir ou de Kairouan et de loin).
Pour les transports publics, n'en parlant même pas, c'est pathétique.
Bref, Sfax n'aurait de chance un jour peut être, que face à Pripiat (Tchernobyl), encore qu'il faille au moins que l'Ukraine demande à intégrer les jeux méditerranéens.