L’envoyé spécial de l’agence de presse Reuters Tarek Amara, du bureau de Tunis, a été expulsé, aujourd’hui, dimanche 31 mars 2019, par les autorités algériennes, selon plusieurs médias algériens.
Le journaliste tunisien en mission pour assurer la couverture des manifestations en Algérie pour son agence, a été accusé par les autorités algériennes de faute professionnelle grave. En effet, le journaliste Tarek Amara évoquait « des tirs en balles en caoutchouc » en parlant d’une discussion « avec un officier de police croisé sur le terrain » qui lui aurait confié que « le nombre de manifestants est d’un million pour la journée du 29 mars à Alger », sauf qu’il a été démenti par la direction générale de la police nationale (DGSN) : « La DGSN dément toute information diffusée par les médias algériens ou étrangers relative au nombre de manifestants présents lors de la manifestation du 29 mars à Alger ».
L’envoyé spécial de l’agence de presse Reuters Tarek Amara, du bureau de Tunis, a été expulsé, aujourd’hui, dimanche 31 mars 2019, par les autorités algériennes, selon plusieurs médias algériens.
Le journaliste tunisien en mission pour assurer la couverture des manifestations en Algérie pour son agence, a été accusé par les autorités algériennes de faute professionnelle grave. En effet, le journaliste Tarek Amara évoquait « des tirs en balles en caoutchouc » en parlant d’une discussion « avec un officier de police croisé sur le terrain » qui lui aurait confié que « le nombre de manifestants est d’un million pour la journée du 29 mars à Alger », sauf qu’il a été démenti par la direction générale de la police nationale (DGSN) : « La DGSN dément toute information diffusée par les médias algériens ou étrangers relative au nombre de manifestants présents lors de la manifestation du 29 mars à Alger ».
Ils veulent dèmolir l'Algerie comme ils l'ont fait avec la Syrie , la Libye ...heureusement que l'Egypte a eu son heros et la Tunisie son peuple . On n'est jamais trahi que par les siens ....