Said présente les jeunes de la révolution comme Marzouki comme Abbou comme le Mraihi comme Saif aussi Assafi Said bref RBH toutes les personnes qui tu dénigre depuis des années....
Compris ou pas compris ya journaliste
C’était à la veille du silence électoral, Imed Daïmi sortait crier son mépris pour tous ceux qui propagent de faux sondages. Il affirmait haut et fort que son candidat Moncef Marzouki allait gagner, parce que leurs propres sondages démontraient qu’il montait.
Plus tôt dans cette journée du 13 septembre, Moncef Marzouki a déclaré, avec tout le mépris du monde, qu’il était prêt à écouter la proposition des islamistes si jamais Abdelfattah Mourou acceptait de se retirer en sa faveur. C’était sa réponse à l’invitation d’Ennahdha pour qu’il cède au profit du candidat islamiste. Moncef Marzouki était profondément convaincu qu’il était mieux classé que Abdelfattah Mourou et que c’est à ce dernier de retirer sa candidature à son profit. Il est allé jusqu’à dire que son score de 2014 (1,3 million de voix) n’était pas obtenu grâce à Ennahdha.
Dimanche 15 septembre 2019, les résultats des sondages sortie des urnes tombaient et Moncef Marzouki apparaissait en bas de l’échelle. Bien en bas et bien loin de Abdelfattah Mourou classé troisième avec 11%. Moncef Marzouki, lui, se classe à la onzième position derrière Abir Moussi qu’il a toujours dénigré, de Lotfi Mraïhi et même de Mohamed Abbou et du tout nouveau-né dans la politique Seïf Eddine Makhlouf.
Force est pourtant de rappeler que Mohamed Abbou est issu du CPR, de la même famille que Marzouki, et que Makhlouf, tout aussi révolutionnaire, est un évadé fiscal, exactement comme Nabil Karoui que tout le monde qualifie de mafieux.
R.B.H
C’était à la veille du silence électoral, Imed Daïmi sortait crier son mépris pour tous ceux qui propagent de faux sondages. Il affirmait haut et fort que son candidat Moncef Marzouki allait gagner, parce que leurs propres sondages démontraient qu’il montait.
Plus tôt dans cette journée du 13 septembre, Moncef Marzouki a déclaré, avec tout le mépris du monde, qu’il était prêt à écouter la proposition des islamistes si jamais Abdelfattah Mourou acceptait de se retirer en sa faveur. C’était sa réponse à l’invitation d’Ennahdha pour qu’il cède au profit du candidat islamiste. Moncef Marzouki était profondément convaincu qu’il était mieux classé que Abdelfattah Mourou et que c’est à ce dernier de retirer sa candidature à son profit. Il est allé jusqu’à dire que son score de 2014 (1,3 million de voix) n’était pas obtenu grâce à Ennahdha.
Dimanche 15 septembre 2019, les résultats des sondages sortie des urnes tombaient et Moncef Marzouki apparaissait en bas de l’échelle. Bien en bas et bien loin de Abdelfattah Mourou classé troisième avec 11%. Moncef Marzouki, lui, se classe à la onzième position derrière Abir Moussi qu’il a toujours dénigré, de Lotfi Mraïhi et même de Mohamed Abbou et du tout nouveau-né dans la politique Seïf Eddine Makhlouf.
Force est pourtant de rappeler que Mohamed Abbou est issu du CPR, de la même famille que Marzouki, et que Makhlouf, tout aussi révolutionnaire, est un évadé fiscal, exactement comme Nabil Karoui que tout le monde qualifie de mafieux.
R.B.H