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Sahbi Ben Fredj : Le rejet de la pétition concernant la reprise des relations avec la Syrie est prémédité !
20/07/2017 | 14:53
1 min
Sahbi Ben Fredj : Le rejet de la pétition concernant la reprise des relations avec la Syrie est prémédité !

Le député Al Horra, Sahbi Ben Fredj, a affirmé, ce jeudi 20 juillet 2017, que le vote de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), rejetant le projet de pétition demandant le rétablissement des relations diplomatiques avec la Syrie, comporte des défaillances.

 

Il a ajouté, dans un post publié sur les réseaux sociaux, que nombreux députés ont préféré déserter la commission « pour ne pas avoir à voter » et que sur les 109 députés dont la présence est obligatoire pour initier le vote, seuls 100 étaient présents.

 

« Cela n’a pas empêché le président de l’Assemblée de précipiter le vote pour que le projet soit rejeté, dans un acte prémédité » a souligné Sahbi Ben Fredj.

 

M.B.Z

20/07/2017 | 14:53
1 min
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Commentaires (11)

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Abel Chater
| 21-07-2017 18:53
Ceux qui imposent Aux Arabes des dictateurs assassins de leurs propres peuples, comme le Saffah d'Égypte Sissi ou le Saffah de Syrie Bachar Assad et encore tant d'autres, n'appartiennent pas aux amis des peuples arabes. Leur avis et leur hypocrisie n'intéresse personne. Le grand problème des pauvres peuples arabes, c'est qu'ils luttent non seulement contre les dictateurs, leurs familles et leurs Harkis, comme ce Ben Frèjj & Co., mais qu'ils ont des pays entiers d'Occidentaux plus une Russie de sangsues, qui les terrorisent sans trêve et qui classent pour "terroristes" ceux qui s'opposent à leurs bombardements aveugles sur les pauvres peuples arabes, jusqu'à anéantir des villes entière soi-disant sous protection du patrimoine de l'ONU.
Aucun Arabe ne cherche plus cette logique du bon et du mauvais, du moment qu'ils nous trompent en flagrant délit. Eux, ils ne permettent à aucun président de leurs Républiques de perdurer, mais avec nous, ils osent même ouvrir une discussion d'évaluation de présidents de républiques arabes de père en fils et d'une mort à une autre mort, n'ayant plus un seul iota de légitimité républicaine. Les Russes nous disent protéger la "légalité" de «leur président» Bachar Assad et les juifs occupants de la Palestine, nous disent que Sissi est pour eux, encore meilleur que Moubarak.
Par la suite, ils prétendent combattre le "terrorisme islamiste".
Mais les mathématiques sont une science exacte qui ne pourra être manipulée par personne. Les injustices des sangsues ne veulent pas cesser contre les peuples arabes et le "terrorisme" qu'ils prétendent combattre, les a déjà vaincus par sa brutalité et par sa logique de n'avoir plus rien à perdre. Mourir chez soi ou ailleurs, la mort est kifkif. Un cercle vicieux de fous à lier.

Saber12
| 21-07-2017 13:21
Soyons prudents concernant ce sujet.
Attendons d'abord ce que vont décider la France et les États unis au sujet de la Syrie avant de se précipiter pour des politiciennes intérieures à prendre des initiatives mal préparées.
Ceci n'en remets en rien la souveraineté de la Tunisie,mais il faut prendre en compte l'avis de nos importants partenaires en matière d'échanges économiques et de stratégie sécuritaire.

Watani
| 21-07-2017 13:13
Hafez el assad est resté au pouvoir 30ans Bachar est au pouvoir depuis 2000 et a Été qualifié de dictateur après 2008. Il Était Gentil avant et est devenu le Méchant après ?!?!?!?! Il faut baisser le pantalon pour etre qualifié de gentil et soumis cad bien Dressé.

Benoît
| 21-07-2017 12:51
Jusqu'à 2008 Bachar Assad etait reçu avec les honneurs et le tapis rouge à ses pieds en Europe. Suite à un Refus de sa part concernant le passage du gazoduc tour a Basculé contre lui (un documentaire a Été présenté à la TV par une chaîne française) il n'est pas plus sanguinaire et dictateur que. Erdogan ou Netanyahu ou..... la liste est bien longue. Soyons clair, Réaliste et Objectif. Il n'est pas JUSTE de juger quelqu'un sans connaître la Vérité . Un beau pays la Syrie est détruit et on s'attache à des mensonges comme ce fut le cas de l'Irak. C'est malheureux.

Abel Chater
| 21-07-2017 10:29
Que va-t-il dire à son ami le Saffah Bachar Assad, après lui avoir promis de bêtifier le peuple tunisien et ses représentants à l'ARP?
Lui, Sahbi Ben Frèjj le Chimique, soutenu par les "Azlèms" ennemis de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, comment pourrait-il à l'avenir effacer une telle honte?

Farouk
| 21-07-2017 08:57
Comment peut on reprendre des relations diplomatiques avec la Syrie dont son president Assad avec son comportement sanguinaire a fait perdre la vie a 350 000 personnes,et a ce jour la boucherie suit son cours.On ne peut pas cautionner ce genre de regime.
Nous avons fait partir un president(Ben ali)n' ayant presque rien fait, et certain lecteur souhaite des relations avec les dirigeants syriens????

Slaheddine
| 21-07-2017 08:20
Faute grave aux conséquences multiples !

Mohamed Obey
| 21-07-2017 07:01
Ce rejet est criminel et ne sert que l'agenda des ennemis des pays arabes. Les pays arabes doivent aujourd'hui, et non demain, annoncer la mort de leur Ligue des Pays Arabes comme ils doivent fixer la date de l'enterrement et le jour du Fark. Parce que les membres de cette Ligue n'ont servi qu'à exécuter la sale besogne de faire du mal aux autres membres: Qatar contre plusieurs pays arabes; l'Arabie Saoudite contre tous les pays arabes; le Soudan contre ses parties séparées de lui; et sur ce plan local tunisien, des députés à l'agenda louche et suspect, votent contre le retour des bonnes relations avec un pays tourmenté par une guerre injuste contre son peuple et ses territoires. Qui nous est plus proche, la Syrie ou Israël? la Syrie ou Washington? la Syrie ou la Turquie? C'est éc'urant ce qui se passe! Quelle honte!!

Ameur k
| 20-07-2017 16:26
Bravo et bon courage .continuez a vous battre pour voos convictions patrioes et citoyenne malgre les coups bas ...vous aurez guain de cause ..
La syrie sera bientot libre de tout integrisme..

kameleon78
| 20-07-2017 15:39
Ce n'est que partie remise, cela ne peut pas durer indéfiniment la brouille avec la Syrie, il viendra une opportunité où les députés voteront la reprise des relations diplomatiques. Normalement c'est une prérogative de l'exécutif et non de l'ARP.