Le président de l’Association tunisienne des parents, Ridha Zahrouni a indiqué ce lundi 21 janvier 2019, sur les ondes de Shems FM, qu’à la suite la crise de l’enseignement secondaire qui perdure depuis 2 mois, les enfants sont dans la rue, et font même des grèves.
« C’est le droit des élèves d’exprimer leur mécontentement de la situation. Le boycott des examens leur a fait perdre la concentration. Ils angoissent d’une année blanche, et cela rend la situation plus compliquée », assure Ridha Zahrouni.
Et d’ajouter que les responsables ne sont pas conscients de la gravité de la situation, d’autant plus que les efforts de plusieurs familles vont tomber à l’eau. « Nous respectons les revendications des enseignants. Cependant, ils n’ont pas le droit de bloquer l’année scolaire. Il faut dire, aussi, que le déroulement des cours est la responsabilité du gouvernement », indique-t-il, soulignant que les parents ne disposent pas des données leur permettant de prendre position en faveur d’une partie ou d’une autre.
Le président de l’association a assuré que les élèves se sentent humiliés, et ne bénéficient pas de leurs droits.
S.H
Commentaires (21)
Commenterune stratégie diabolique qui est en train de.....................
Pathétique; Des centaines de parents ont porté plainte contre la Fédération
https://www.babnet.net/cadredetail-175507.asp
LE SILENCE DES POLITIQUES ...?
On s'en fout de savoir qui a raison. L'essentiel: les enseignants ne doivent pas prendre les enfants en otage
ATTITUDE CONCILIANTE SUSPECTE
Dixit ZABA un soir du 13 Janvier 2011
president
pour connaitre la situation dans le pays
Mr Le President arretez votre cirque et faites quelques choses pour les Tunisiens
Ils ne vont jamais vous pardonner
To Jilani
Quand un syndicaliste ne voit pas plus loin que son nez.
L'intérêt national doit primer lorsqu'il est menacé. Il faut qu'il y ait un représentant ( sorte d'instance composée de médiateurs ou d'arbibres) spécialisé dans la défense des intérêts de l'état doté de pouvoir contraignant.