Les camions de condensat (gaz très inflammable) de Petrofac sont une nouvelle fois pris en otage.
En effet, une partie des chômeurs diplômés, avec lesquels l’Etat a signé un accord fin septembre, est revenue à la charge et a bloqué les camions de la société les empêchant de rejoindre le bac et de quitter Kerkennah pour la centrale d’électricité de Sfax.
Pour qu’ils touchent leur rémunération du mois d’octobre, le gouverneur de Sfax a réclamé leurs fiches de présence. Ceux qui ont ramené leurs fiches ont été payés, alors que les autres ne l’ont pas été.
Ainsi et pour protester contre la décision du gouverneur de ne pas les payer à rien faire, ces personnes, qui bénéficiaient de salaires sans travailler, sont allées protester dans un premier temps devant le gouvernorat. En voyant que leurs revendications n’ont pas été écoutées, ils ont transféré à partir de jeudi dernier leur sit-in à Kerkennah où ils pouvaient bloquer les camions de Petrofac !
Des informations circulent sur le fait que le gouverneur va céder pour que la société pétrolière puisse reprendre son activité.
On rappelle que le jeudi d’avant une poigné de sans-emploi avait bloqué les camions, que le ministre des Affaires sociales est venu en personne pour les convaincre d’arrêter le blocage.
Ce blocage coûte un manque à gagner de quelque 200.000 dollars par jour dont 80% revient à l’Etat tunisien.
I.N
Commentaires (11)
CommenterRetroussons les manches
Le bâton !
Assez de blabla
Petrofac devrait également déposer plainte contre ces personnes et demander réparation du préjudice qu'elle subie!
"édllèl ykhalléf lahbèl"!
une solution: les enrôler de force dans l'armée (et pas en prison pour qu'ils ne deviennent pas des victimes), et vous verrez qu'ils tiendront la route ("el jaich yjibhom lethnéya quand ils sauront ce que c'est "el guamila, se lever le matin pour un entrainement, participer à la construction de routes ou barrages,bref servir le pays dans la discipline);
Le beurre l'argent du beurre, et la laitière voila ce qu'ils veulent, la preuve est que leurs collègues dans la même situation ont présenté leur fiche de présence, "malla tbourib"!
a la derive
Dommage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
VERMINE
C'EST FINI. C'EST PESÉ & EMBALLÉ.
UN ÉTAT QUI CÈDE à cette forme de chantage, c'est tout comme un état, qui céde aux revendications de terroristes.
Une brèche béante a été ouverte dans la plus grosse manufacture du monde de fainéants nés, la Tunisie.
Elle ne cessera pas de s'élargir.
Dorénavant chaque bouseux en manque d'inspiration, utilisera cette règle d'anarchiste pour arriver à ses fins,
avec l'aval bienveillant des membres de ceux qui ont mis le pays à genoux en le pillant avec une méthodologie chirurgicale, à savoir les mafieux de la trika.
Le régime parlementaire imposé par les chameliers traitres imposteurs, est un mode de gouvernance, taillé sur mesure par des terroristes pour protéger des terroristes.
Ces derniers auront raison du pays.