Pour ERAHOUI, pour moi " kartha" car dangereux agressif, son discours est celui de la force qui n'accepte pas l'autre, c.a.d ça passe ou ça casse.
Donc, on n'est pas sortis de l'Auberge.
Le débat présidentiel, tel qu’il a été conçu dans les pays démocratiques, est une occasion pour les candidats de se présenter devant les citoyens sous leur meilleur jour.
Tout est pris en considération et au sérieux, par les spin doctor, pour que le candidat soit critiqué au minimum possible. Cela va de la coiffure à la posture, en passant par le costume. Le diable se cachant dans le détail, on est plus que pointilleux en Occident en cherchant à être le plus proche de la perfection.
Pour leur apparat, les candidats tunisiens ne sont pas tous de cet avis et on ne donne aucune importance à cet aspect, pourtant très important, puisque plusieurs (notamment parmi les femmes) fixent leur choix en fonction de la beauté et de l’élégance du candidat. « Il faut que notre président soit présentable », entend-on souvent.
Pour le deuxième jour du débat, les candidats sont loin de chercher la perfection et de chasser le moindre point. Entre les costumes plus grands que leur porteur, les vestes déboutonnées et les cravates rayées (totalement bannies de la télé théoriquement), il y avait l’embarras du choix.
Deux exceptions, Elyes Fakhfakh et Mongi Rahoui qui ont fait preuve de respect envers eux mêmes d’abord et envers les téléspectateurs ensuite. Des costumes de qualité et à leur taille qui les mettent en valeur. Plusieurs électrices sauront s’en rappeler le 15 septembre.
R.B.H
Le débat présidentiel, tel qu’il a été conçu dans les pays démocratiques, est une occasion pour les candidats de se présenter devant les citoyens sous leur meilleur jour.
Tout est pris en considération et au sérieux, par les spin doctor, pour que le candidat soit critiqué au minimum possible. Cela va de la coiffure à la posture, en passant par le costume. Le diable se cachant dans le détail, on est plus que pointilleux en Occident en cherchant à être le plus proche de la perfection.
Pour leur apparat, les candidats tunisiens ne sont pas tous de cet avis et on ne donne aucune importance à cet aspect, pourtant très important, puisque plusieurs (notamment parmi les femmes) fixent leur choix en fonction de la beauté et de l’élégance du candidat. « Il faut que notre président soit présentable », entend-on souvent.
Pour le deuxième jour du débat, les candidats sont loin de chercher la perfection et de chasser le moindre point. Entre les costumes plus grands que leur porteur, les vestes déboutonnées et les cravates rayées (totalement bannies de la télé théoriquement), il y avait l’embarras du choix.
Deux exceptions, Elyes Fakhfakh et Mongi Rahoui qui ont fait preuve de respect envers eux mêmes d’abord et envers les téléspectateurs ensuite. Des costumes de qualité et à leur taille qui les mettent en valeur. Plusieurs électrices sauront s’en rappeler le 15 septembre.
R.B.H