| 19-03-2018 16:38
Qui aurait cru pour une seule seconde, que le merveilleux Magistrat, ancien ministre de l'Intérieur Nèjm Gharsalli, l'un des meilleurs politiciens post-révolution du 14 janvier 2011, en compétence, en honnêteté, en patriotisme et en crédibilité, se trouve poursuivi par la Justice tunisienne, alors que Mohsen Marzouk, très bien connu par ses intrigues, par ses amitiés avec Chafik Jarraya et avec tous les autres «micmaqueurs» de l'ancienne république dictatoriale, jusqu'à avoir fait son voyage insolite chez le putschiste libyen Hafter, que ce même Mohsen Marzouk, jouit encore de l'impunité.