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Mohamed Salah Arfaoui : L’autoroute Sfax Gabès est pratiquement achevée
21/03/2018 | 10:34
1 min
Mohamed Salah Arfaoui : L’autoroute Sfax Gabès est pratiquement achevée

 

Le ministre de l’Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du territoire a affirmé lors de son passage sur Express FM ce mercredi 21 mars 2018 que l’autoroute Sfax Gabès est pratiquement achevée.

Ainsi, selon le ministre, il y a eu ouverture récemment de 47 kilomètres aux automobilistes, portant le nombre de kilomètres ouverts et accessibles à 144 kilomètres sur 155 (taille totale de l’autoroute) «  il nous reste juste 10 kilomètres à achever » a ajouté le ministre.

 

Le coût total de l’autoroute s’est élevé à 170 millions de dinars a révélé Mohamed Salah Arfaoui.

Par ailleurs, le ministre est revenu sur les causes du retard pris dans la réalisation de cette autoroute. Pour lui, ce retard est imputable à deux raisons essentiellement, à savoir les problèmes des biens privés  qu’il a fallu démolir pour construire l’autoroute, (ce qui pose le problème de l’expropriation pour intérêt général affirme le ministre), ainsi que les tensions sociales d’après 2011 qui ont entravé le bon fonctionnement des travaux.

 

Enfin, le ministre a appelé les automobilistes à ne pas dépasser la vitesse maximale prévue de 90 kilomètres/ heures, et ce pour des raisons de sécurité.

 

N.B.G

 

21/03/2018 | 10:34
1 min
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Commentaires (3)

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Famous Corona
| 22-03-2018 18:17
Ce ministre tisse dans la discrétion et l'humilité! Il a relancé les plus grands projets d'infrastructure qui ont souffert de grands ralentissement depuis 2011 dont certains sont déjà achevés et d'autres en nette progression. Toute notre reconnaissance à ce grand technocrate homme de terrain.

Abel Chater
| 22-03-2018 09:03
Les autres ne font tout le temps et le long de toute leur histoire macabre, que lyncher et intriguer contre l'avance de notre pays la Tunisie. On ne les entend qu'intriguer contre le parti d'Ennahdha, comme si le problème de la Tunisie résidait chez un seul parti politique ou chez un seul personnage décideur, comme ce fut aux temps des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Ils oublient que dans notre régime parlementaire, d'aucuns ne pourront mettre la main sur le pouvoir dans notre nouvelle démocratie. C'est pour cela d'ailleurs, que tous les résidus de l'ancien régime chassé à coups de pierres, du genre de Borhèn Bsaïes, d'Abir Moussaoui, de Mohsen Marzouk et de tant d'autres qui suffoquent sous le régime parlementaire, où ils ne pourront plus rien manigancer contre l'Etat et ses Institutions, qu'ils appellent sans la moindre honte, au retour d'un régime présidentiel, afin de pouvoir esclavager de nouveau le peuple tunisien. Même dans notre régime parlementaire, ils font tout pour hausser le président Béji Caïed Essebsi au rang du défunt dictateur déchu Bourguiba. Sauf que l'Hammam-Lifois Béji Caïd Essebsi, s'avère un descendant de nature, d'une noble famille, qui n'a besoin ni d'applaudissements, ni de Pharaonisation, ni de déification, suivant l'adage «El-Beldi, Beldi» et «elli mè yèchbaâ milkassaâ, mè yèchbaâ mine elhiss-ha». Même le Bey lui-même, lorsqu'il avait constaté la faim sauvagement meurtrière du défunt dictateur déchu Bourguiba pour le pouvoir en 1956, il n'avait essayé aucune résistance contre sa destitution et contre le lynchage et le vol de ses biens, par Bourguiba avec sa Maîtresse Wassila Ben Ammar. Et il avait très bien fait pour ne pas finir assassiné par Bourguiba, comme le fût le cas du grand Martyr de l'indépendance de la Tunisie, Salah Ben Youssef.
Donc, pour en revenir à ce merveilleux ministre de l'Equipement, de l'Habitat et de l'Aménagement du territoire, Mohamed Salah Arfaoui, je dois m'agenouiller devant sa compétence, devant son savoir-faire, devant son patriotisme, devant son humilité des Grands et surtout devant cette nouvelle méthode qui n'est connue que dans les pays les plus avancés de ce monde, c'est de devancer l'intérêt public aux intérêts de la propagande de certains politiciens. Rappelons-nous des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, qui auraient interdit l'ouverture de ces tronçons d'autoroute, pour les présenter dans d'inaugurations solennelles en leurs 25 juillet ou 7 novembre, comme étant leurs ouvrages personnels.
Mille BRAVOS aussi à notre jeune premier Ministre Youssef Chahed, qui travaille et bosse dans un silence de connaisseurs. Il transforme nos rêves en une vérité inébranlable.
Allahou Akbar.

rz
| 21-03-2018 10:17
Des chantiers sont visibles sur toutes les routes et autoroutes nationales et ce Monsieur n'est pas étranger à tout cet effervescence. Bravo Mr le Ministre.