UGTT a une politique très claire : déclarer les grèves à partir de mercredi ...pourquoi ? si c 3 jours donc mathématiquement c la ballade de la semaine ( merc+jeudi+vendredi+week end)... et si c pour 1 jour c quand même milieu des jours de travail...tout compte fait UGTT reclame un succès de 100 % grève et notre économie accusé des pertes en milliards....à qui la faute ? aux mass média qui sont incultes en matière d'économie...

Je suis fonctionnaire et je n' ai jamais pensé que la grève est la solution aux problèmes des travailleurs mais je pense que l 'ugtt n à plus rien à proposer à ses travailleurs qui rappelle vous assurent 80/100 des impositions fiscales

c'est la seule arme qui reste à l'UGTT,la classe moyenne et aux ouvriers

La Tunisie n'est plus entre de bonnes mains. Je ne veux pas dire, qu'elle doit être dirigée par un dictateur. Le temps des dictateurs est révolu.
Mais, si le pays est endetté et fortement endetté, c'est qu'il y a des causes:

*L'Etat a aujourd'hui une Administration bureaucratique et peu efficace.Le laisser-aller règne.La corruption fait des dégâts.
*L'économie informelle grimpe et fait de ravages. L'Etat ne collecte pas suffisamment d'impôts.Beaucoup s'enrichissent par la fraude fiscale.C'est même devenu une fierté nationale, que de frauder.
*Les gouvernements du temps de cette sinistre Troïka, ont torpillé l'économie du pays, par leur incompétences et leur népostisme. Déplorable.
*Ceux qui les ont suivis, ne pouvaient que se plier à la crise. Le terrorisme reste toujours une toile de fond. A un moment donné, il a failli tuer le tourisme. Une manne de devises. Reste, cependant, que le manque d'imagination, et la bonne volonté ne sont pas toujours au rendez-vous.

Beaucoup critiquent l'UGTT....Mais réellement, ce syndicat n'y est pour rien. Après tout, il défend les salariés, que ce soit dans le secteur privé ou public. Mais, paradoxalement, il y a des salariés hypocrites -j'en ai connu-, surtout islamistes. Ces salariés, fonctionnaires et privés, profitent des revendications salariales du syndicat, mais l'insultent à la moindre occasion.Des cracheurs dans la soupe et c'est dégoûtant....

Ce gouvernement va loin, aujourd'hui...Il "fait les poches" à la classe moyenne....C'est elle qui supporte le budget de l'Etat.
A quand les "Gilets jaunes"?....Cela viendra.....

Ils sont honnête les UGTTistes, bravo, bravo, ils sont dans la bonne direction, droit vers un mur en béton armé made in "les incompétents qui dirige l'UGTT"
En Tunisie c'est la pyramide à l'envers c'est les bac moins 14 qui décident. bravo encore une fois

Bravo à la centrale syndicale. Des gens vraiment incoscient des risques qui guettent la nation.
Maintenant je comprend les raisons du 26 janvier 78. A mon avis, ils n'etait dus, non seulement, 'à l'entêtement des dirigents syndicalistes de l'époque, mais aussi à leurs ingnorances et à leurs hargnes pour avoir le pouvoir. Anarchistes bien sûre.

Economiquement la situation est évidente plus de grève plus de détérioration du pouvoir d'achat. Politiquement aussi claire, 2019 c'est votre disparition complète. Et a quand la grève suivante après le 17 Janvier ?.

Ben Ali n'est plus, faites ce que vous voulez bande de lâches...

Comme Lula, Taboubi a eu une enfance modeste et on ne peut pas trouver des informations sur son éducation. Lula a commence a travailler a l'age de 14 ans. Le slogan de Lula etait "Je veux un Brésil Décent", la justice sociale était au coeur de sa mission. Lula a réussi a réduire la pauvreté mais le Brésil a paye un très haut prix et a connu stagnation économique depuis 2010, les projets et programme de Lula ont aggrave l'endettement.

Je me rappelle les anciens commerçants djerbiens qui faisaient des sacrifices légendaires pour gagner leur vie. Cet UGTT qui était dirigée par des syndicalistes d'une certaine région de la Tunisie a.été phagocytée par des idiots des ratés de l'éducation d'une certaine région de la Tunisie qui ont la réputation d'être des paresseux .
C'est une réalité historique que personne ne peut contredire. Je dis à ceux là qu'ils ont encore la possibilité de se reprendre et de reprendre leur vrai place au sein de la société.