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Lors du sit-in du PDL, Abir Moussi appelle l'Etat à mettre un terme à la vengeance de l'IVD
11/03/2017 | 14:31
2 min
Lors du sit-in du PDL, Abir Moussi appelle l'Etat à mettre un terme à la vengeance de l'IVD

 

Le Parti destourien libre (PDL) a organisé ce samedi 11 mars 2017 un sit-in d'une heure devant le siège de l'Instance Vérité et Dignité (IVD). Il y avait une centaine de manifestants côté PDL contre une vingtaine de personnes venues soutenir l'IVD.

 

Des pancartes avec des inscriptions " Non à la réconciliation et aux négociations avec les terroristes"; "Le temps va et vient mais la Constitution demeure" ou encore "Ou est la réconciliation nationale" ont été brandies.

 

 

Dans son discours, la présidente du PDL, Abir Moussi, a déclaré : "L'IVD n'a pas le droit de diviser le peuple tunisien. Nous allons imposer la loi sur la justice transitionnelle et tous les articles qui octroient des prérogatives à l'instance, pour soi-disant défendre les intérêts de l'Etat, doivent être abrogés! Cette instance doit cesser d'avoir une mainmise. Elle doit dévoiler toutes les vérités sans omissions! " .



 

Mme Moussi a poursuivi en interrogeant : "Qui a jeté de l'acide chlorhydrique sur le peuple ?". Et d’ajouter : "Nous annonçons le commencement de la révolution constitutionnelle ! Nous ne nous tairons plus, car nous sommes un peuple de premier rang et non de deuxième rang ! N'acceptez plus d'être manipulés!".



 

Abir Moussi a aussi dénoncé les dépassements commis par l'IVD et "la vengeance qui est son seul leitmotiv". Elle a également appelé à abroger l’article 96 du code pénal entièrement car il est une épée de Damoclès brandie sur la tête des fonctionnaires tunisiens, selon ses dires.

 

I.N et K.H


 

11/03/2017 | 14:31
2 min
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Commentaires (36)

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Abel Chater
| 14-03-2017 00:10
Toujours la même méthode d'intimidation. Ils hurlèrent de pères en fils "yahya Boutbila" et "Berrouh beddèm nefdik ya Zalèm" chez les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, pour un casse-croûte ou pour une journée chômée-payée. Aujourd'hui, les pancartes de "Ben Ali 2014" sont les mêmes, sauf que les visages sont plus miséreux jusqu'à se soustraire à la connaissance par le revers de main. Vingt, trente jusqu'à cinquante dinars, ne couvrent plus les frais de la honte d'appartenir aux "Azlèms", dans cette deuxième République démocratique de Tunisie, où la liberté du Tunisien est impossible à vendre aux résidus des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Tout ce théâtre à deux sous troués, ne fait qu'humilier davantage ces esclaves des dictateurs, qui pensent pouvoir intimider ou influencer la Justice tunisienne.
Qu'ils sachent que les crimes de la dictature ne seront jamais prescrits, même dans un siècle. Qu'ils paient donc le tribut dû à ce pauvre peuple tunisien et qu'ils s'estiment heureux pour l'avoir échappé belle. Dans les autres révolutions populaires, ils les auraient mis au mur et au poteau.
"Yahya Boutbila", "Ben Ali 2014", "Ben Ali Rayssounè wettajammaâ hizbounè", "yahya Raysse Echoôba".
Où est le carton avec du sucre, thé, tomates concentrées, makaronie et deux kilos de farines, qu'on m'a promis pour hurler de la sorte?

EL OUAFI
| 12-03-2017 18:30
Vivre avec le passé on risque de devenir une obsession, et on n'avancera plus,mais en tenir compte et en tirer les conclusions, pour pouvoir corriger les erreurs commises par ce passé.
Si on s'obstine constamment,à rabâcher, les vieilles rengaines inutilement, c'est une perte de temps !
Ces oisifs et (oisives) des saboteurs de la bonne marche de nos institutions, notre jeune démocratie,et elle en souffre énormément, on se permet de les comparer à des irresponsables du même type que ceux qui complotent du côté de chaanbi, à visage découvert.
Certes il y'a des lacunes il faut s'atteler à les aplanir et ne pas semer le désordre et le chaos dans le pays,il est urgent de retrousser ses manches et se remettre le plus rapidement possible au boulot.
manifester c'est un droit mais ne tomber pas dans le ridicule messieurs dames.(Manai)

bnku
| 12-03-2017 13:52
Et si on avait distribué tout l'argent qu'a dépensé cette IVD pendant les six ans aux parents des gens qui ont été soit disant sauvagement traités par la police et la justice pendant Ben Ali, ces gens là seraient plus heureux et auraient oublié les mauvaix traitements au temps de Ben Ali. A moins que l'IVD est en train de leur promettre qu'ils vont toucher beaucoup d'argent s'ils acceptent de venir dire à la télévision ce qu'ils ont subi comme injustice au temps de Ben Ali.Les dégâts qu'a connu le peuple unisien après la révolution sont de loin supérieurs aux injustices commises au temps de Ben Ali(vu du côté de l'IVD et des opposants à Ben Ali qui aujourd'hui ont montré qu'ils sont plus avide du pouvoir que du bien du peuple)

leonidas
| 12-03-2017 13:05
Abir moussi et ses acolytes me rappelle la fameuse bibliothèque de ben Ali. Des livres factices qui cachent de l'argent volé. La forme t est mais le fonds ***.

l'IVD =LPR
| 12-03-2017 12:29
un Etat qui veut revivre son passé lugubre ne peut plus avancer
perte du temps de l'argent et détournement des forces vives vers le désespoir

MT
| 12-03-2017 08:57
C'est la justice qui peut trancher entre des adversaire et ce n'est pas Ben Sedrine qui est plutôt une vengeresse,venimeuse, bouffeuse de l'argent sur le dos de ce peuple !Même si c'est vrai ce que les victimes racontent venu de cette (femme)Ben Sedrine qui manque de responsabilité,de honnêteté,de transparence et surtout de watanya,on ne peut pas l'accepter!Il faut une personne correcte pour s'occuper de cette instance,point barre!

Citoyen_H
| 11-03-2017 23:55

Quatre longues années, gérées par les bouseux, alternativement officiellement et officieusement, nous ont mené à une banqueroute généralisée.
Pourtant ,les ploucs, à l'époque ou ils étaient enfouis dans leurs terriers, criaient à qui voulait les entendre, qu'ils étaient les émissaires du paradis.
Quatre ans plus tard, c'est le bordel, l'anarchie, l'incivisme, le kaka généralisé, en bref l'enfer, avec comme ultime bonus, une NATION en cessation de paiement.

L'heure est venue pour Ceux qui étaient accusés de tous les maux,de mettre un terme aux exactions et la "mafia-isation" du pays, ou plutôt du bled.
Ils ont démembré notre patrie.
C'est tous des vendus, ces gardiens d'étables.
La "faim" justifie les moyens.
La Tunisie est devenue leur "business"

Cette femme a la capacité de diriger une nation, avec patriotisme.
Elle vaut cent fois plus que cette horde de femmelettes de dirigeants, qui abondent depuis 2011.
Au diable les bouseux. Ils ont démontré de quels maux ils étaient capables.
Régression, corruption, destruction et désolation........







Rifal
| 11-03-2017 22:55
Dans les pays sous-développés plus que d'autres, la politique est souvent faite de tromperie dans les discours et les actes.
Et puis, il est démontré que souvent les peuples préfèrent qu'on les trompe en les faisant rêver que de suivre les pragmatiques et les diseurs de vérités.
Les dindons de la farce ont toujours été les peuples en premier lieu que l'on divise et manipule pour mieux régner politiquement et financièrement.
Les uns s'enrichissement, se goinfrent et les autres apprennent à peiner avant les fins de mois tout en stagnant dans la vie.
Dans cet échiquier politique tunisien, tout ou presque est tromperie, chacun le sourire en face et le poignard sur le dos.
Au vu de leur tendance et discours, ce parti qui se dénomme destourien donc de Bourguiba et de la lutte pour l'indépendance, aurait été plus honnête envers les tunisiens s'il avait adopté le nom de RCDistes et défendre ainsi, en tout transparence, l'ancien système et Ben Ali compris.
Ceci dit, nous savons tous que Ben Ali, jusqu'à ce jour, finance avec l'argent spolié aux tunisiens, des partis et formations politiques, des animateurs et des plateaux télévisés, et quelques journaux tunisiens pour le blanchir.
C'est sa volonté et dans sa situation, a-t-il le choix ?
Et de toutes les façons, c'est devenu un sport national et ce commerce est florissant en beaucoup de milieux.
Compte tenu de l'absence de contrôle de financement de ces formations, la Tunisie est le pays de tous les possibles.
Entretemps, ils sont en train de l'affaiblir et lui faire perdre sa crédibilité tout en trompant le peuple.
Qui paiera la note en fin de compte ? Les citoyens bien sûr.
Navrant et pitoyable.

Bouba
| 11-03-2017 22:00
Je suis entrain de regarder en direct la maman de Zouhaier Yahyaoui, que voulez vous Mme Moussi bâillonner encore et encore, la justice doit être faite bon gré ou mal gré, Honte à vous ,Honte à vous
Vous ne méritez même pas des onsult5 parce que cela ne vous touche pas ,les torchons de cuisine ne peuvent être que de torchons

houda
| 11-03-2017 21:57
on remarque avec fieretè la presence massive de la femme aujoudhui ce qui prouve que toutes les femmes tunisiennes ont le courage de abir moussa par contre on n a remarquè aucune femme parmis la douzaine de vendus payès par ben sedrine par l argent du contribuable vive la femme tunisienne