quand elle dit oui ils disent oui
Tahya peut TOUNES certes non quelle imposture.
Tahan surement et surtout à genou devant sainte nakba
Tahya Tounes présidé par Youssef Chahed s’est dit préoccupé «par la fréquence des menaces visant les journalistes, animateurs et chroniqueurs, des menaces qui toucheraient l’intégrité physique de certains journalistes, selon le président du Syndicat National des Journalistes Tunisiens, (SNJT), Néji Bghouri», a affirmé ce jeudi 17 octobre 2019 le parti dans un communiqué signé par le secrétaire général, Selim Azzabi.
Face à ces graves pratiques, Tahya Tounes appelle les autorités concernées à prendre toutes les mesures juridiques qui s'imposent à l'encontre de tous les responsables de ces actes. Il en a profité pour affirmer son attachement à la liberté d'expression et à la liberté de la presse, qui constituent des principes indispensables et des acquis fondamentaux de la démocratie tunisienne.
Et d’ajouter : «Bien que nous considérons que les médias ne sont pas au-dessus de la critique, Tahya Tounes rejette tout débordement vers la violence et demande à l’Assemblée des représentants du peuple élue de commencer dans les plus brefs délais dans l’installation des instances constitutionnelles indépendantes, et à leur tête l’Instance de l’audiovisuel pour qu’elle puisse jouer son rôle dans la régulation du paysage médiatique, permettant d'assurer le pluralisme, la liberté d'expression pour des médias intègres, dans le respect de la loi».
I.N
Tahya Tounes présidé par Youssef Chahed s’est dit préoccupé «par la fréquence des menaces visant les journalistes, animateurs et chroniqueurs, des menaces qui toucheraient l’intégrité physique de certains journalistes, selon le président du Syndicat National des Journalistes Tunisiens, (SNJT), Néji Bghouri», a affirmé ce jeudi 17 octobre 2019 le parti dans un communiqué signé par le secrétaire général, Selim Azzabi.
Face à ces graves pratiques, Tahya Tounes appelle les autorités concernées à prendre toutes les mesures juridiques qui s'imposent à l'encontre de tous les responsables de ces actes. Il en a profité pour affirmer son attachement à la liberté d'expression et à la liberté de la presse, qui constituent des principes indispensables et des acquis fondamentaux de la démocratie tunisienne.
Et d’ajouter : «Bien que nous considérons que les médias ne sont pas au-dessus de la critique, Tahya Tounes rejette tout débordement vers la violence et demande à l’Assemblée des représentants du peuple élue de commencer dans les plus brefs délais dans l’installation des instances constitutionnelles indépendantes, et à leur tête l’Instance de l’audiovisuel pour qu’elle puisse jouer son rôle dans la régulation du paysage médiatique, permettant d'assurer le pluralisme, la liberté d'expression pour des médias intègres, dans le respect de la loi».
I.N