Rien ne va plus au ministère des Finances et la grogne monte. Après les derniers limogeages de trois directeurs, d’autres sont en préparation (quatre ou cinq, selon les bruits de couloirs). D’ailleurs et dans ce même cadre, un rassemblement de protestation a été organisé, lundi 29 mars 2021 devant le siège du ministère, pour dénoncer ce qui se passe et soumettre un ensemble de revendications des agents.
Selon des sources dignes de foi, le ministre de l'Economie, des Finances et du soutien à l'Investissement Ali Kooli aurait soumis quelques noms à la présidence du gouvernement pour remplacer des directeurs généraux en place, continuant de ce fait « la cabale commencée », toujours selon cette même source.
Cette dernière a précisé que les trois responsables limogés ont été notifiés et qu’ils sont actuellement en arrêt. Autre fait important et contrairement aux usages, de nouvelles nominations ont été effectuées par voie de Jort mais sans annonce des limogeages, ce qui est contraire à la loi, nous explique-t-on.
Notre interlocuteur, qui a préféré garder l’anonymat, a expliqué à Business News que l’argument du ministère selon lequel ces nominations entrent dans le cadre d’un « mouvement prévu à la tête de certaines directions générales s’inscrivant dans le cadre de l’alternance des responsabilités et le pourvoi des postes vacants » n’est pas valable, car ces hauts cadres sont des techniciens spécialisés dans des domaines particuliers et donc ne peuvent pas être mutés à des directions pour lesquelles ils n’ont pas les compétences requises. Idem pour ceux qui seront nommés à leurs postes et qui devront avoir des connaissances et un savoir-faire particulier.
Pour notre interlocuteur, ce mouvement est de la poudre aux yeux pour cacher les intentions réelles derrières ce mouvement : faire main-basse sur le ministère.
Rappelons que selon les données recueillies par Business News, le ministre subirait lui-même des pressions et que ce n’est pas lui qui est derrière le mouvement en cours dans le corps de ses directeurs généraux, mais l’ordre vient d’en haut, c'est-à-dire de la Primature.
Selon ses mêmes informations, Hichem Mechichi chercherait à placer des islamistes ou des personnes désignées par les islamistes d’Ennahdha, à des postes clés au ministère des Finances. Ennahdha chercherait ainsi à faire main basse sur le ministère des Finances. Après avoir placé les siens dans le corps des magistrats, dans la police et dans divers autres corps, on chercherait maintenant à placer des personnes loyales aux Finances. Toujours d’après ce qui circule au sein du ministère, certains noms sont déjà évoqués pour occuper un ou plusieurs de ces postes et, parmi ces noms, se trouverait des parents par alliance du député Noureddine Bhiri.
Imen NOUIRA
Si le personnel de tout ce ministère était uni , ferme et solidaire , il aurait bloqué la machine et renversé la table sur la tête de cet ectoplasme de Kooli , qui déjà , quand il était au lycée , était mou du genou et porteur de couffin comme jamais !
Y-a- qu'à voir ses résultats récents , 5 jours de salamalek à Doha à faire de la lèche , pour in fine revenir les bras ballants !
Un vrai succès !
Le pire , c'est cette docilité surement hérité de son poltron de patron , à satisfaire aux désirs et aux demandes de Ghannouchi ( qui deviennent des ordres ) , pour placer ses pions dans tous les rouages de l'état , au détriment de cet état lui-même , de sa souveraineté et de ses contribuables !
Et dire que le Méchichi nous bassinait il y a quelques mois , avec son gouvernement d'aucun parti , pour finir par un parti pris !
Ce gouvernement n'a donc aucune fierté ni dignité , il collabore avec les destructeurs de l'état civil Tunisien , car on sait très bien où la secte veut aller et son objectif à moyen et long terme , puisque des pans entiers tombent , et le chef de la bande trouve que la Tunisie est sur la bonne voie !
Nous avons donc des pions , qui placent d'autres pions .... pour satisfaire un agenda particulier !
Et pendant ce temps , les Tunisiens regardent , laissent faire , jusqu'au jour où on les mettra dehors de leur propre pays !
Si un ministre ne peux pas changer son équipe n'a que rester chez lui!
On n'oubliera pas ça de sitôt.
Quoi de plus normal venant d'un pecnot, entouré d'une nuée de conseillers, aussi ploucs que leur chef.
Il faut être réaliste. Quand on voit la masse des zoulous ayant porté ce zombie au poste suprême, l'âge du fer n'a eu d'autre choix, que de s'éclipser pour céder sa place à celui de la pierre NON taillée.
On ne peut exiger d'un bourricot, les performances d'un cheval de course.
Mchétte el bled.
L'ensemble des khouroutou qui ne cessent de déferler depuis le maudit coup d'état de 2011 ont totalement anéanti l'espoir de millions de patriotes Tunisiens.
Y a pas à chier, un bagla-liha demeurera à jamais un bagla-liha, même s'il se parait des plus belles étoffes.
Kalek, c'est un expert en droit constitutionnel.
Un stall est, et restera à jamais un stall.