| 27-09-2019 18:01
Moez ben Ali incarne la culture politique de son mentor basée sur les mensonges, la tartuferie et l absurdité. Le loup garou préparé par l entourage du palais et le président défunt souffrant a fait fonctionner des machines et des lobbies qui ont vite trouvé les courtisans et les flagorneurs dans les partis qui se ressemblent idéologiquement et des personnes soit- disant indépendantes mais uniquement dans le cercle restreint de ceux qui se ressemblent s assemblent. Les nouveaux gouvernants doivent ordonner un inventaire et un audit des décisions prises illégalement par leurs prédécesseurs ayant pollué la situation politique, sociale et économique dans le pays surtout la gestion en catimini de la maladie de feu BCE. Heureusement pour les tunisiens qu une bonne partie des politicards de la place a été balayée ou attend de l être par les urnes. Malgré leur défaite, ils ont des projets pour nuire à nouveaux aux tunisiens qui ont trop souffert du déficit de leadership et de gouvernance qui a prévalu depuis 2011 à ce jour. Il y a des vérités et n est plus permis de s emporter contre ces vérités. Youssef chahed étant jeune doit faire un recul et s auto- évaluer. Abdelkrim Zbidi a servi la dictature de Ben Ali puis sous tous les gouvernements depuis 2011, il a 70 ans et la déprime et la sénilité se sentent en lui. Il ne peut être qu un suiveur. Tous les deux ont perdu la crédibilité même aux yeux de leurs proches sachant qu ils ont pioché tous les deux dans l électorat incertaine du RCD encadrée par les profiteurs et les acteurs des intrigues et des complots. En conclusion, il faut qu ils s adaptent à cette nouvelle situation résultant des données imposées par la volonté populaire.
