Ou ça verse dans l'intérêt des groupes du khanjisme ou ça casse.
Voilà à quoi s'attendre avec la secte du GOUROU dans toutes les institutions de la République tant que le peuple d'ignares (nombreux malheureusement) continue à voter pour Innakba.
Le président du Conseil municipal de Sousse, Taoufik Laâribi a confirmé, lors de son passage sur les ondes de Jawhara FM ce 27 mai 2019, sa démission de la mairie de Sousse indiquant qu’il signera le document cet après-midi.
Laâribi a, dans ce sens, souligné qu’avoir 14 différentes idéologies au sein d’un même conseil municipal n’était pas « facile » relevant que la crise qui secoue la mairie de Sousse est, en grande partie, « d’ordre politique ».
Le conseiller et président de la commission des affaires administratives à la municipalité de Sousse, Safouane Farroukh avait annoncé, le 24 mai courant, la démission de Taoufik Laâribi suite à des pressions notamment de la part des conseillers d’Ennahdha et d’Attayar suite à un désaccord à propos la répartition des commissions municipales.
Ces pressions ont été démenties par Ennahdha qui a nié toute volonté de perturber le travail du conseil et de cibler son président. Les conseillers ont, quant à eux, souligné que le différend les opposant au maire n’a rien de personnel et qu’il porte essentiellement sur la redistribution des commissions qui devrait assurer la représentativité.
B.L
Le président du Conseil municipal de Sousse, Taoufik Laâribi a confirmé, lors de son passage sur les ondes de Jawhara FM ce 27 mai 2019, sa démission de la mairie de Sousse indiquant qu’il signera le document cet après-midi.
Laâribi a, dans ce sens, souligné qu’avoir 14 différentes idéologies au sein d’un même conseil municipal n’était pas « facile » relevant que la crise qui secoue la mairie de Sousse est, en grande partie, « d’ordre politique ».
Le conseiller et président de la commission des affaires administratives à la municipalité de Sousse, Safouane Farroukh avait annoncé, le 24 mai courant, la démission de Taoufik Laâribi suite à des pressions notamment de la part des conseillers d’Ennahdha et d’Attayar suite à un désaccord à propos la répartition des commissions municipales.
Ces pressions ont été démenties par Ennahdha qui a nié toute volonté de perturber le travail du conseil et de cibler son président. Les conseillers ont, quant à eux, souligné que le différend les opposant au maire n’a rien de personnel et qu’il porte essentiellement sur la redistribution des commissions qui devrait assurer la représentativité.
B.L