| 28-08-2019 22:07
On fait toujours ce que veut l'européen. On ne sait pas lui dire non, on recherche son amitié comme un honneur.
Le groupe Carte, ni aucun autre Groupe tunisien n'avait intéret à faciliter la sortie de Paribas de la Tunisie.
Non seulement Carte perd de l'argent (BNP-Paribas n'allait pas partir si l'affaire était rentable), mais toute la place financière perd, en laissant se retirer un des derniers logos bancaires mondialement connus, encore présent en Tunisie (Citibank est presque déjà parti).
La suite sera comme pour l'hotellerie des 20 dernières années : L'absence des grands noms du secteur a suscité la méfiance ( 100% justifiée) de la clientèle haut de gamme.
Les investisseurs internationaux se poseront beaucoup des questions avant de (ne pas) se lancer dans un pays ou le secteur bancaire est sans références.
Après, on pourra toujours, à la tunisienne, prétendre gratuitement le contraire, ça ne produira rien.
Le groupe Carte, ni aucun autre Groupe tunisien n'avait intéret à faciliter la sortie de Paribas de la Tunisie.
Non seulement Carte perd de l'argent (BNP-Paribas n'allait pas partir si l'affaire était rentable), mais toute la place financière perd, en laissant se retirer un des derniers logos bancaires mondialement connus, encore présent en Tunisie (Citibank est presque déjà parti).
La suite sera comme pour l'hotellerie des 20 dernières années : L'absence des grands noms du secteur a suscité la méfiance ( 100% justifiée) de la clientèle haut de gamme.
Les investisseurs internationaux se poseront beaucoup des questions avant de (ne pas) se lancer dans un pays ou le secteur bancaire est sans références.
Après, on pourra toujours, à la tunisienne, prétendre gratuitement le contraire, ça ne produira rien.
