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(*) C'est plus élégant qu'un vugaire audit !
(**) Ou, en variante, par le FMI __dont l'inscription dans la Constitution fermerait ainsi le bec à tous ceux qui s'opposent à ses ingérences !
Il est probable que le prix du carburant sera augmenté les prochains jours pour sauvegarder les équilibres budgétaires à travers la maitrise de l’inflation, le déficit commercial et le glissement du dinar, a estimé ce lundi 4 mars 2019 le directeur exécutif de l'Institut arabe des chefs d'entreprise (IACE) Majdi Hassen dans une déclaration à Express FM.
M. Hassen a ainsi expliqué que «le contrôle du déficit budgétaire ne peut se faire qu’en baissant les dépenses de compensation, notamment pour les carburants via une hausse des prix à la pompe les prochains jours».
Et d’ajouter : «On prévoit dans le budget des mesures d’ajustement périodique lorsque le prix du baril de pétrole augmente. Or, le budget a été fait sur l’hypothèse d’un prix de baril de 75 dollars et le prix actuel est de 66 dollars, donc on a encore de la marge. Sauf que la prochaine augmentation se fera pour préserver nos engagements, en termes de déficit budgétaire. D’ailleurs, c’est pour cette raison que la visite du Fonds monétaire international (FMI) a été retardée, idem pour le déblocage de la 5ème revue du crédit accordée à la Tunisie et d’un montant de 255 millions de dollars, et ceci jusqu’à ce que la vision se clarifie par rapport à la maitrise du déficit budgétaire».
S’adressant aux personnes qui considèrent que ceux sont des consignes de l’organisation financière : « Si l’aide du FMI s’arrête, les résultats seront catastrophiques pour la Tunisie ! ».
I.N
Il est probable que le prix du carburant sera augmenté les prochains jours pour sauvegarder les équilibres budgétaires à travers la maitrise de l’inflation, le déficit commercial et le glissement du dinar, a estimé ce lundi 4 mars 2019 le directeur exécutif de l'Institut arabe des chefs d'entreprise (IACE) Majdi Hassen dans une déclaration à Express FM.
M. Hassen a ainsi expliqué que «le contrôle du déficit budgétaire ne peut se faire qu’en baissant les dépenses de compensation, notamment pour les carburants via une hausse des prix à la pompe les prochains jours».
Et d’ajouter : «On prévoit dans le budget des mesures d’ajustement périodique lorsque le prix du baril de pétrole augmente. Or, le budget a été fait sur l’hypothèse d’un prix de baril de 75 dollars et le prix actuel est de 66 dollars, donc on a encore de la marge. Sauf que la prochaine augmentation se fera pour préserver nos engagements, en termes de déficit budgétaire. D’ailleurs, c’est pour cette raison que la visite du Fonds monétaire international (FMI) a été retardée, idem pour le déblocage de la 5ème revue du crédit accordée à la Tunisie et d’un montant de 255 millions de dollars, et ceci jusqu’à ce que la vision se clarifie par rapport à la maitrise du déficit budgétaire».
S’adressant aux personnes qui considèrent que ceux sont des consignes de l’organisation financière : « Si l’aide du FMI s’arrête, les résultats seront catastrophiques pour la Tunisie ! ».
I.N