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Abassi : Aucun lien entre les augmentations des salaires et la hausse du taux directeur
20/02/2019 | 17:53
1 min
Abassi : Aucun lien entre les augmentations des salaires et la hausse du taux directeur

 

Le gouverneur de la BCT, Marouen Abassi a nié, ce mercredi 20 février 2019, dans une déclaration à Mosaïque Fm, tout lien entre les augmentations des salaires et la décision de la hausse du taux directeur, assurant que cette décision n’aura pas d’impact sur la stabilité financière et bancaire.

 

Marouen Abassi a précisé que la BCT n’a pas augmenté le taux de 25 ou 50 points puisque les expériences précédentes ont démontré que cela n’a pas d’impact clair sur l’économie. Il a, également, indiqué que le taux d’inflation demeure élevé malgré une légère baisse, chose qui explique la décision d’augmenter le taux directeur.

 

S.H

20/02/2019 | 17:53
1 min
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Commentaires (8)

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Microbio
| 21-02-2019 17:48
Le lobby des RCDistes conserve sa FORTUNE principalement en devises étrangères et surtout la monnaie tunisienne en espèces. Juste un changement des billets de 50 dinars pourra faire trembler la terre en Tunisie.
Les patriotes tunisiens, doivent et peuvent démander SANS cesse le changement des billets de la monnaie tunisienne le plus rapidement possible!

Depuis 8 ans, je n'ai jamais entendu parler de la nécessité de changer les billets de banque dans les médias tunisiens! apparemment ça n´a été pas une thème pour les médias ou les soit disant volutionnaires !?

OUI RABBI T3EN TUNES ALA A3DAIHE!

LE TUNISIEN
| 21-02-2019 09:18
Ils n'ont pas des couilles pour attaquer les barons des marches paralleles, la BCT a voulu changer les billets de 50dt mais le lobbie a resisté à ce changement!, les pauvres s'appauvries et les riches s'enrichies.

Crow
| 21-02-2019 09:06
Il vient d'effacer d'un coup le potentiel impact des hausses de salaires...des mois de négociations et de blocage balayés par un revers de la main...et qu'on ne me dise pas que la BCT est indépendante..et bla bl bla

abir
| 21-02-2019 01:24
Tout ce qui est cru ou valorisé par un individu peut être utilisé par des gens sans scrupules pour manipuler et exploiter cette personne. Les politiciens sont de telles personnes, qui utiliseront tous les moyens à leur disposition ou toute faiblesse, croyance, désir ou désir perçu de la part de l'électorat pour défendre leur propre cause. La religion n'est que l'une de ces croyances qui est utilisée comme un moyen de manipulation de l'homme politique.
la Tunisie semble se diriger tout droit vers l'abîme.. Ce que nous devons chercher à atteindre dans le monde musulman, c'est un '?tat neutre et non interventionniste qui gère les différences au sein de la société ....
Evidemment séparer la religion de l'état serait un grand pas en avant de tous pays musulman. ......

Ils prétendent vouloir sauver la Tunisie !!!
| 20-02-2019 23:03
Les prétendants, économistes, financiers et syndicats poussent le pays vers la faillite.
En effet:
La dévaluation du Dinar n'a atteint aucun objectif escompté. Les importations ont plutôt continué à augmenter et les exportations n'ont pas cessé de baisser. Ce sont les indicateurs économiques qui le prouvent.
L'augmentation du taux directeur de la BCT à plusieurs reprises n'a pas eu un effet positif sur l'économie. C'est le revers de la politique attendue qui s'est manifesté. La production n'a pas repris, la confiance dans l'économie s'est effritée et plusieurs secteurs économiques créateurs d'emploi se sont marginalisés. Par ailleurs, les prix n'ont pas baissé, mais continuent à augmenter, ce qui est la résultantes des politiques mises en place.
Part ailleurs, les syndicalistes, se croyant intelligents en réclamant des augmentations successives des salaires pour compenser les augmentations de prix, oublient qu'ils sont en train de pousser la la Tunisie vers une spirale inflationniste de laquelle ils ne peuvent être que perdants d'une manière intrinsèque. Au fond, toute augmentation de salaires qui ne soit pas une résultante d'une augmentation de la productivité ne peut être que néfaste pour le pays et pour les salariés.
Alors, comment nous en sortir ?
Une évidence est que :
- Ennahdha a pompé le pays de différentes manières, à savoir:
l'injection de 300 000 salariés ou plus dans la fonction publique avec l'impact qui en a résulté au niveau de la masse salariale et de la productivité de l'administration,
le pompage de plusieurs ressources publiques pour compenser leurs adhérents,
l'affectation de différents avantages à leurs adhérents
Faut-il que les tunisiens et leurs responsables comprennent que les ressources qui ont été prélevées par Ennahdha sont au détriment du reste de la population et qu'il y a eu une redistribution du pouvoir d'achat des tunisiens, au détriment de la frange qui n'est pas nahdhaoui et que
de la sorte nous sommes dans l'obligation de nous retrouver avec un pouvoir d'achat qui a baissé. Les tunisiens sont dans l'obligation d'accepter que leur pouvoir d'achat ne sera plus comme avant et ce, avec ou sans la volonté des syndicats.
Les syndicats, en voulant rattraper leur "feu" pouvoir d'achat n'arrêtent pas d'appeler aux grèves, ce qui a pour incidence de réduire davantage la production et c'est une autre forme de pompage et d'appauvrissement du pays et de son économie.
Les tunisiens et les responsables de ce pays, ne prenant pas en considération ces phénomènes d'appauvrissement explicites du pays, continuent à mener une politique laxiste en laissant l'économie se comporter d'une manière libérale en permettant aux tunisiens d'importer ce que bon leur semble alors que nos ressources en devises sèchent et que la Tunisie regorge de produits qui ne sont pas nécessairement utiles pour les tunisiens.tunisiens. Regardons autour de nous, le nombre de produits qu'on aurait pu éviter de les importer sans que ça touche aux besoins réels des gens. La TUNISIE EST DEVENUE PAR AILLEURS, AU TITRE DU LIB'?RALISME, UNE POUBELLE DE PRODUITS CHINOIS, TURCS... QUI SONT NOCIFS AUSSI BIEN POUR LA POCHE DU TUNISIEN QUE POUR SA SANTE.
Soyons conscients de ces enjeux et préparons des politiques adéquates pour sortir la tunisie de son marasme plutôt que de laisser le pays s'enfoncer de jour en jour en prétendant, par des politiques classiques, sauver le pays.
Cette politique n'est pas celle qui peut être préconisée par la Banque Mondiale ou le FMI. Ses experts ne sont pas habitués à des situations comme celles de la Tunisie. La Tunisie étant réellement un cas exceptionnel, faut-il lui trouder des remèdes exceptionnels.
Faut-il un réveil des économistes et des responsables tunisiens !!!!!

je dis la vérité
| 20-02-2019 21:12
Depuis 2011, la Tunisie est mal gouvernée.
Les islamo-conservateurs s'installent pour longtemps et les électeurs n'ont pas compris,que le pays plonge dans le désastre.
L'électorat des islamistes est composé de personnes fortement "idéoligisées" par l'islam. Pour elles, l'islam est la solution pour tout. Pour l'économie et le social. Or, les dirigeants d'Ennahda sont nuls en politique économique, mais manipulent fortement la population.

Nous sommes en l'an 8 de la révolution de la brouette et rien de bon ne s'annonce :
*Chômage persistant.
*Glissement dangereux du dinar
*Pouvoir d'achat se dégradant à cause de l'inflation.
*Précarité des classes pauvres
Le gouvernement Chahed patauge et embobine les sujets tunisiens, sur la dérive du pays.
Le pays s'endette et le FMI est à nos trousses. Le FMI n'a pas pour nous 36 000 solutions. Il nous impose l'austérité. Que faire ?
C'est simple. Il faut d'abord que le peuple tunisien se réveille. Laissons les électeurs des khwanjias de côté. Ceux-ci ne voteront que pour ce mouvement. Après tout, ils ne sont quelques centaines de milliers d'électeurs potentiels. Et, les autres? C'est à dire 80 %.
C'est de ceux-là que je parle. Il faut pour sauver le pays, faire comme le Portugal. Elire un parlement de gauche.
Seul un grand parti de gauche peut sauver le pays.
Ces nouveaux élus vont dénoncer les accord avec le FMI.Cesser le paiement de la dette extérieure et demander tout de suite, qu'elle soit ré-échelonnée. Il faut tout de suite booster la consommation intérieure. Réduire le taux directeur de la BCT et le ramener à un taux d'environ 3%. Il faut aussi barrer la route aux importations inutiles de biens de consommation. Augmenter l'importation de biens d'équipements . Il faut améliorer la santé du citoyen. Equiper les hôpitaux. Lutter contre la pénurie des médicaments. Bien payer le corps de la santé publique et l'encourager à rester dans le pays. Il faut entamer de grands travaux, gérés par l'Etat. Il faut renforcer la capacité des sociétés nationales, seules pourvoyeuses de main-d'oeuvre de masse.
Nationaliser les sociétés d'importation de voitures et de produits d'équipements.Lutter contre l'enrichissement sans cause (spéculation immobilière).
L'Etat doit lutter par tous moyens contre la fraude fiscale, le blanchiment d'argent et la contre-bande.

Si la situation actuelle perdure, nous verrons des années sombres et même des troubles sociaux.

Moustache
| 20-02-2019 20:04
Dans un contexte ou les banques ne font aucune concurrence, puisque ce sont de grandes familles qui ont des part dans plusieurs d'entre elle et donc n'ont aucun intérêt a baisser le prix des prestations. Les banques se partagent tout un gâteau en endettant les gens encore et toujours, rien de nouveau ...

MAIS, le gouvernement est actionnaire dans plusieurs de ces banques, et mine de rien, en augmentant le taux directeur et donc le TMM, elle reprendra indirectement un pourcentage des augmentations attribuées aux fonctionnaires malgré elle!

Ceux qui vont payé ce sont ceux qui ne sont pas fonctionnaires puisque l'impact sur le crédit c'est eux qui le ressentiront, les fonctionnaires vont juste se retrouver avec une augmentation plus faible que prévu,

Mais bon! on ne peut pas leur en vouloir, avec leur salaire de misère, ce sont paradoxalement eux les premier "consommateurs de crédit"

Vous avez remarqué que seules les banques se réjouissent de ses augmentations et vont à tour de rôle nous pondre des communiqués pour vanter les bien fait de la décision de ce bouffon de abassi (l'expert du market time) et l'impact net positif sur le PNB :)

D'ailleurs Abassi dans son point de presse, personne ne lui a posé la question, il a tout seule évoqué qu'il n'y a pas eu de concertation avec le gouvernement! C'est ca ye marooo, prend nous pour toi!

Quand je pense qu'à l'étranger, la ou leur banque centrale travail pour le citoyen et non les banques, les hausses du taux directeur se fait au quart de point pour ne pas impacter les ménages ... hawo erjel!

veritas
| 20-02-2019 18:06
Le Mensonge est la meilleur des convictions chez les muz surtout .