Le suivi du plan d’action mis en place pour restaurer l’état du réseau télécom dans le gouvernorat de Nabeul suite aux pluies diluviennes qui ont inondé la région, a fait l’objet d’une réunion tenue ce lundi 24 septembre 2018.
Etaient présents le ministre des Technologies de la Communication et de l'Economie Numérique Anouar Maârouf ainsi que des représentants des opérateurs télécoms (Tunisie Telecom, Orange Tunisie et Ooredoo) ainsi que de l'Office national de la télédiffusion (ONT) et de l’Agence tunisienne d'internet (ATI).
La réunion a été consacrée à la prise des mesures nécessaires et préventives pour se préparer à la saison hivernale afin d'assurer la continuité du travail et la prestation de services avec la qualité requise.
I.N
Les opérateurs sur le pied de guerre pour la remise en état du réseau télécom à Nabeul
Le suivi du plan d’action mis en place pour restaurer l’état du réseau télécom dans le gouvernorat de Nabeul suite aux pluies diluviennes qui ont inondé la région, a fait l’objet d’une réunion tenue ce lundi 24 septembre 2018.
Etaient présents le ministre des Technologies de la Communication et de l'Economie Numérique Anouar Maârouf ainsi que des représentants des opérateurs télécoms (Tunisie Telecom, Orange Tunisie et Ooredoo) ainsi que de l'Office national de la télédiffusion (ONT) et de l’Agence tunisienne d'internet (ATI).
La réunion a été consacrée à la prise des mesures nécessaires et préventives pour se préparer à la saison hivernale afin d'assurer la continuité du travail et la prestation de services avec la qualité requise.
Ce ministre nahdhaoui qui ronronne n'a pas trouvé mieux que le malheur des gens pour redorer son blason et être sous les projecteurs.
Les opérateurs connaissent leur métier en pareille occasion et n'ont pas besoin d'instructions.
Introduction: certes nous sommes impuissants face aux catastrophes naturelles, par contre nous pourrions limiter les dégâts par la non-exposition des enjeux socio-économiques,des vies humaines et de nos habitations aux pluies torrentielles et aux inondations, en laissant les axes d'écoulement des pluies torrentielles et de leurs lieux d'accumulation libres.
En Bavière, on fait utilisation des évidences suivantes
1) la meilleure lutte contre les pluies torrentielles est de leur laisser les axes d'écoulement et leurs lieux d'accumulation libre (sans aucun obstacle et sans habitations).
2) la réduction des risques commence par la non-exposition des enjeux socio-économiques aux pluies torrentielles (grâce à l'historique des axes d'écoulement et d'accumulation).
3) Beaucoup de territoires sont exposés au risque d'inondation pluvial parce qu'ils se sont développés de façon inadaptée dans les axes d'écoulement et dans les lieux d'accumulation des pluies torrentielles.
Je donne un exemple: La chine a fait l'évacuation quasi complète de plusieurs villes et villages qui se trouvaient dans des lieux d'accumulation d'eau pluviale et ceci afin de construire le barrage des Trois-Gorges. ===> En Tunisie on n'a pas d'autres choix: Il faut faire l'évacuation quasi complète de certains lieux qui se trouvent dans des espaces d'accumulation. Il faut éviter de construire ou de reconstruire les enjeux socio-économiques (les grands centres de télécommunications et nos centrales électriques destinées à la production d'électricité) sur les axes d'écoulement des pluies torrentielles et de leurs lieux d'accumulation!
Il est temps de réaliser une cartographie des axes d'écoulement des pluies torrentielles et des zones de leur accumulation afin de délimiter les zones inconstructibles.
J'insiste, il s'agit seulement de limiter les dégâts, car contre la catastrophes naturelles nous sommes impuissants! ==> ainsi je me pose la question s'il serait possible de maîtriser partiellement les pluies torrentielles et de les canaliser avant d'arriver au point critique où plus aucun contrôle n'est possible? ==> Il nous faut une stratégie qui utilise la répétitivité des axes d'écoulement des pluies torrentielles et des zones de leur accumulation. Il nous faut ainsi réserver des espaces d'accumulation à la gestion partielle des pluies torrentielles qui devraient être multifonctionnels puisque ils ne seront pas utilisés en continuité!
je suis convaincu que nous pourrions limiter les dégâts liés aux pluies torrentielles avec très peu de financement et d'infrastructure, si on acceptait de laisser certains espaces libres où la nature pourrait se "défouler" librement! ça fonctionne en Bavière et ça devrait fonctionner aussi en Tunisie!
@Mr. Anouar Maârouf, prière de réduire les risques à venir par la non-exposition des enjeux socio-économiques aux pluies torrentielles (grâce à l'historique des axes d'écoulement et d'accumulation). Il faut éviter les lieux qui sont exposés aux risques d'inondation pluviale pour la reconstruction de nos centres de télécommunications!
