Dans un communiqué paru ce vendredi 20 avril 2018, le syndicat des enseignants universitaires Ijaba a décidé de maintenir la grève qui se manifeste par le refus de fournir les sujets d’examen aux étudiants.
Cette décision fait suite à l’échec des négociations entamées avec les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur.
Par ailleurs, le syndicat impute la responsabilité d’une éventuelle année blanche dans les établissements concernés aux 3 présidences.
N.B.G
Le syndicat Ijaba impute la responsabilité d’une année blanche aux 3 présidences
Dans un communiqué paru ce vendredi 20 avril 2018, le syndicat des enseignants universitaires Ijaba a décidé de maintenir la grève qui se manifeste par le refus de fournir les sujets d’examen aux étudiants.
Cette décision fait suite à l’échec des négociations entamées avec les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur.
Par ailleurs, le syndicat impute la responsabilité d’une éventuelle année blanche dans les établissements concernés aux 3 présidences.
Après des années de recherches.la conclusion a été vite trouvée:c'est la faute aux trois présidences!
'?a a dû être dur à deviner....Bravo les chercheurs.
Une question:est il normal qu'on soit professeur universitaire sans faire de la recherche?
S'il pleut sur Tunis au mois de juillet, ça sera la fautes aussi des trois présidences ! Là, pour une fois, votre Ijaba est à côté de la plaque ! A un moment où on devrait tous calmer le jeu, vous êtres en train de mettre de l'huile sur le feu. Dommage, pour une corporation composée de chercheurs... de la vérités, en principe. Réveillez-vous, il y a une opinion publique qui vous juge d'ores et déjà sévèrement. A bon entendeur...
Il certains qu'un bon nombre des enfants des enseignants seront touchés par l'année blanche sans citer les dégâts désastreux sur la suite des carrières des universitaires en Tunisie surtout vis à vis des universités à l'étranger que beaucoup espèrent intégrer.
