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Lassâad Yaâcoubi : Ce sera une année scolaire chaude !
28/08/2018 | 15:35
1 min
Lassâad Yaâcoubi : Ce sera une année scolaire chaude !

Le secrétaire général de la Fédération générale de l’enseignement secondaire, Lassâad Yaâcoubi a annoncé, lors de son passage à Houna Shems sur Shems FM ce mardi 28 août 2018, la poursuite des mouvements de protestation des enseignants en l’absence de négociations sérieuses avec le gouvernement. Ces protestations débuteront, de ce fait, quelques jours après la rentrée scolaire après les réunions de la commission administrative à ce propos.

 

Au micro de Sameh Mefteh, le syndicaliste a indiqué que toutes les séances de négociations entre la partie syndicale et la partie gouvernementale n’ont abouti à aucun résultat suite à l’inertie du gouvernement face aux revendications des enseignants.

« Tant que les revendications des enseignants ne sont pas satisfaites, la rentrée scolaire sera mouvementée. Le secteur souffre également de plusieurs problèmes d’infrastructure ainsi que d’une pénurie. Nous allons donc recourir à tous les moyens pour exercer la pression sur le gouvernement afin de réaliser une réelle réforme dans le secteur. Nous tenons à nos réclamations et nous allons défendre l’intérêt  des enseignants aussi bien que celui des élèves car c’est notre devoir. Ce sera une année scolaire chaude ! », précise Lassâad Yaâcoubi.

 

Le syndicaliste a, cependant, ajouté qu’il y a encore moyen de résoudre la crise entre le syndicat de l’enseignement et l’autorité de tutelle d’ici la rentrée scolaire. Il a affirmé, dans ce sens, qu’il tient à parvenir à un accord qui pourrait satisfaire les parties impliquées et réduire les tensions.

 

B.L

 

 

28/08/2018 | 15:35
1 min
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Commentaires (18)

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Aby
| 29-08-2018 16:44
Profite des soldes du magasin général et achète toi un ventilateur ça te rafraîchir à les neurones.

Amonna
| 29-08-2018 15:03
Cet connard qui prétend défendre l'intérêt des enseignants ne réalise pas qu' il fait du tort à nos enfants en décrétant des grèves à répétition.il ya plusieurs façons de protester sans suspendre les cours !

Portobello
| 29-08-2018 14:40
Ce n'est pas une solution si vos enfants restent à la maison. C'est vous et vos enfants qui perdrez en fin de compte. C'est même un crime envers l'avenir de vos enfants.
La solution pour vous est de prendre les choses en main et de vous organiser en associations de parents d'élèves percutantes. Organisez des manifestations pacifiques en MASSE devant le siège de l'UGTT pour mettre fin aux magouilles de ce débile Yaacoubi.
Manifester pacifiquement est votre droit constitutionnel (Article 37 de la Constitution).
Ne vous laissez pas faire. Dites que vous avez ras- le-bol de ce couard Yaacoubi et ses pareils, qui n'avaient pas le courage d'ouvrir leur bec pendant le règne de Ben Ali.
Il y a 2 millions d'élèves cette année dans le pays, donc à peu près un millions de parents d'élèves. Un nombre énorme qui a du poids et qui peut changer les choses.
L'union fait la force. Défendez l'intérêt et l'avenir de vos enfants. C'est à vous d'agirer avant qu'il ne soit trop tard.
« Inna Allah la youghair ma bi qaoumin, hatta youghairou ma bi anfoussihim ».
« Dieu ne change rien, en un peuple, tant qu'ils n'ont rien changé en eux-mêmes »

rayma
| 29-08-2018 13:58
pauvre yaacoubi chaque année on l'affiche pour mieux s'acharner sur lui. à sa place je limiterai mes sorties sur les ondes à moins qu'il soit maso

YALLATTIF
| 29-08-2018 11:20
Que nos enfants restent à la maison, perte inutile pour les frais de scolarisation ainsi que pour le carburant des parents et ou les frais de transports l'électricité et l'eau dans les établissements scolaires.
Le gouvernement doit prendre une décision ferme pour que les études se poursuivent dans les meilleures conditions si non que nos enfants restent à la maison.
SVP ne jouait pas avec l'avenir de nos élèves, ne les prenait pas comme otage l'histoire ne pardonnera pas et vous avez une responsabilisée en vers DIEU et votre nation.


DIDON
| 29-08-2018 11:17
Il faut appliquer la loi pas de salaire pour les grévistes STOP ils reviendront à leurs postes en courant
Après 3 mois de congés payés payés par le contribuable, ....le club med continue c'est scandaleux

benyaalen hanifa
| 29-08-2018 11:13
encore de nouveau ce connard. Allah yassabarna

Bab ezzira
| 29-08-2018 00:48
Quand on a pas les moyens pour satisfaire tes caprices, on va pas vendre le pays pour te faire plaisir pauvre plouc de YAAGOUBI.
Honnêtes Citoyens, Comprenez qu'il faut passer par un référendum pour corriger la meilleur constitution au mode qui a instituer le droit à la grève comme un droit constitutionnel pour un pays qui accuse un retard de quelques années lumières.
ILFAUT INTERDIRE LES GREVES DANS LE SECTEUR PUBLIC : L'Etat n'a pas le droit de faire grève et d'arrêter ses services aux citoyens : Les fonctionnaires REPRESENTENT L'ETAT et sont au service du contribuable et non le contraire : ****** c'est quoi ce chaos , y'a plus d'hommes dans ce pays ou quoi ? *** ?

Bernard
| 28-08-2018 21:23
Qualification pour traiter cet énergumène .Certe c'est un vrai imbécile , idiot , haineux , débile mental etc...., à pendre haut et court pour l'intérêt de nos enfants . c'est à IGNORER qu'il aboit comme un chien enragé.Il est M'?PRISABLE cet indigène .

lario
| 28-08-2018 19:48
Depuis 2011 et jusqu'à nos jours, aucun gouvernement n'a eu la compétence et le savoir faire de gérer le ministére de l'éducation. Yakoubi n'est qu'un simple porte parole des dizaines de milliers de professeurs, historiquement , en TUNISIE, jamais une gréve de professeurs n' a échoué, leurs doléances ne se limitent pas à l'amélioration de leur pouvoir d'achat et de leur niveau de vie qui se dégringole d'une année à une autre, tout le corps enseignant et éducatif lutte pour rendre l'école publique plus attractive et attirante et de changer en mieux la vie scolaire. L'infrastructure qui fait défaut , le matériel vétuste , les classes surchargées, les programmes qui sont dépassés par les événement, les méthodes pédagogiques stériles, la formation et l'information BOITE, des terrains sportifs inexistants ou manquants d'entrtetien et de sécurité, la mauvaise gestion des budgets et la corruption, les moyens et les outils didactiques surtout scientifiques et techniques ne se renouvellent PAS et ne suivent pas l'actualité, ect....ect... sont des marasmes que.nos gouvernants n'ont pas eu le courage de faire face et ne veulent pas s' investir et réserver un budget à la hauteur de ces défis . Souvent ils pleur nichent et se justifient par le manque de capitaux et de budgets, la réalité et la vérité sont ailleurs, et c'est aux nos seuls intégres , indépendants, et transparents experts et statisticiens de l'éducation qui ont la compétence de nous dévoiler et révéler les justes données et les réelles investigations