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La Haica s’entretient avec Lotfi Charfeddine
20/06/2019 | 22:30
1 min
La Haica s’entretient avec Lotfi Charfeddine

La Haica a rendu public un communiqué, ce jeudi 20 juin 2019, que le conseil de la Haica s’est réuni avec Lotfi Charfeddine à la suite des informations concernant la cession de ses parts dans la société Production, produisant pour la chaîne Attessia.

Lotfi Charfeddine a indiqué qu’il a décidé de céder ses parts à cause des conflits grandissants avec les autres actionnaires, faisant part de sa disposition à les dépasser, s’il trouve un terrain d’entente.


Les membres du conseil de la Haica ont indiqué qu’il est nécessaire de faire preuve de responsabilité et d’engagement, concernant le respect des lois et des procédures régissant les médias audiovisuels. Ils ont assuré que ces transactions requièrent un ordre préalable de la Haica conformément aux dispositions du cahier des charges.


Pour sa part, Lotfi Charfeddine s’est engagé à respecter les lois en vigueur à ce sujet, selon le communiqué de la Haica.


S.H 

20/06/2019 | 22:30
1 min
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Commentaires (1)

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Abel Chater
| 21-06-2019 08:56
Soyons moins logique que la logique humaine elle-même. Si "Oueld Ettalièna" Sami Fahri était riche à ce point, pourquoi il ne crée pas de lui-même d'autres chaînes TV, à la manière de News Corporation de Rupert Murdoch?
Les finances de Sami Fahri échappent à l'Etat tunisien par la méthode la plus banale de ce monde. Les bras de la pieuvre Sami Fahri, exécutent leurs micmacs par le biais de sa femme et de sa s'?ur Selma, qui possédaient 45%. Son frère Souheil, possédait même le logo de la licence de diffusion.
L'enquête de Yassine Nabli, conclue, je le cite : «l'exclusivité du contrat avec la chaine El Hiwar Ettounsi et le recours à d'autres sociétés de production dans l'orbite de Cactus, présentent clairement l'image d'une société arrimée aux intérêts de Sami Fehri et de sa famille malgré sa confiscation par l'Etat tunisien. Cependant, cette fois-ci, cela ne se fait pas sur le dos de l'ERTT mais plutôt par le biais du système de confiscation des biens représenté par l'administratrice judiciaire qui a permis ce monopole et a facilité la coopération avec des sociétés de productions liées à la chaine El Hiwar Ettounsi et Sami Fehri. Le dossier Cactus Prod constitue un cas d'école de la nouvelle corruption qui prévaut dans la gestion des biens confisqués, constat soutenu par le trentième rapport de la Cour des Comptes qui a pointé du doigt de nombreuses irrégularités financières dans la gestion des biens confisqués».
Donc, le jeu trouve lieu ailleurs que chez ce «Andi mankollèk». Celui qui cherche trouve et celui qui ne veut pas chercher, ne veut rien trouver.