Quels cons ces putains de Colonialistes français.
Un mois avant la fin de l’année 2017, un nouveau record de déficit commercial est atteint ! En 2014, le déficit avait atteint un record -13.635,9 MD pour l’ensemble de l’année. Le déficit de la balance commerciale pour les 11 premiers mois de 2017 a atteint 14.362,4 MD fin novembre 2017 contre 11.628 MD fin novembre 2016 à, avec un taux de couverture en baisse passant de 69,4% à 68,3%. Il s’est aggravé de 2.734,4 millions de dinars (MD) par rapport à une année auparavant, soit une augmentation de 23,51%.
Le déficit de la balance énergétique s’est établi, quant à lui, à 3.829,4 MD (26,7% du total du déficit) contre 2.662,3 MD durant les 11 premiers mois de l’année 2016.
Les exportations ont augmenté de 17,3%, évoluant de 26.394,6 MD en novembre 2016 à MD 30.971,3 en novembre 2017. Les importations ont atteint, pour leur part, 45.333,7 MD contre 38.022,6 MD pour cette même période en hausse de 19,2%.
La Tunisie a enregistré un déficit, pour le mois de mai, notamment avec la Chine (-3.997,4 MD), l’Italie (-1.882,7 MD), la Turquie (-1661,5 MD), la Russie (-1.058,1 MD) et dans une moindre mesure l’Algérie (-654,1 MD). En revanche, le solde de la balance commerciale a enregistré un excédant avec le premier partenaire du pays la France (+2.737,6 MD), la Libye (771,8 MD) et le Royaume-Uni (184,8 MD).
I.N
Commentaires (8)
Commenterbon bref...
Quels cons ces putains de Colonialistes français.
Déficit commetcial
14 milliards, une broutille qui laisse perplexe
à bas les théories économiques
@ el manchou
Il faut bien que KFC, Pizza Hut ... rapatrient leurs dividendes en devises
Immobilisme et lenteur en situation d'urgence
Le problème est que le chef du gouvernement dépend de trop personnes à orientations différentes et même contradictoires, composant ce qu'on appelle l'accord de Carthage.
La Tunisie a opté pour un système de gouvernement qui nécessite pour sa mise en oeuvre un accord supplémentaire entre parties à intérêts divergents.
Le chef du gouvernement doit en plus être constamment sur ses gardes, regarder tout le temps par-dessus ses épaules, de peur de voir son action entravée par les adversaires ou même les partisans.
Tous ces facteurs font que les décisions, si jamais elles sont prises, prennent trop de temps à être appliquées, ou bien même ne jamais être activées dans les faits.
L'action économique devait être la priorité dès octobre 2011. Après les trois ans de grand n'importe quoi, en guise de plan d'action énergique et salvateur, la nouvelle constitution a consacré la dilution des responsabilités.
Pain béni pour les amateurs de palabres et des manoeuvres politiciennes.
Au pays du commerce de la parole!
la balance pique du nez comme celle de la justice!