La SEULE qui le dit vertement, sans détouyr, est Abir Moussi, depuis des années.
Nabil Karoui l'a rejoins par son communiqué rédigé en prison cette semaine.
Tout le reste c'est du bla bla bla bla
« Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, la révolution de 2011 était purement sociale. Et le fait déclencheur était en 2008 avec la révolte du bassin minier de Gafsa. Malheureusement, les politiques économiques entreprises après la révolution n’ont pas réglé le problème du chômage », a indiqué l’expert économique Habib Karaouli.
L’invité de Wassim Ben Larbi a également indiqué, lors de son passage ce vendredi 4 octobre 2019 sur « Expresso » sur Express FM, qu’en ce moment, il y a un problème d’adéquation de l’offre politique et économique avec les attentes sociales. Il a également estimé que les précédentes élections ont été une occasion pour blâmer et exclure les adversaires politiques.
« Nous avons raté une occasion historique et nous n’avons pas de vision sur la Tunisie dans les dix prochaines années. D’autant plus que nous avons aujourd’hui 226 partis politiques. Et normalement, ces partis doivent couvrir toutes les attentes économiques et sociales. Or, ce n’est pas le cas. Les listes indépendantes pour les législatives sont plus nombreuses que celles des partis », a-t-il aussi déclaré.
Habib Karaouli a, par ailleurs, pointé du doigt l’absence d’un mouvement politique ayant un corpus idéologique axé sur l’écologie et sur la sauvegarde de l’environnement.
E.B.A.
« Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, la révolution de 2011 était purement sociale. Et le fait déclencheur était en 2008 avec la révolte du bassin minier de Gafsa. Malheureusement, les politiques économiques entreprises après la révolution n’ont pas réglé le problème du chômage », a indiqué l’expert économique Habib Karaouli.
L’invité de Wassim Ben Larbi a également indiqué, lors de son passage ce vendredi 4 octobre 2019 sur « Expresso » sur Express FM, qu’en ce moment, il y a un problème d’adéquation de l’offre politique et économique avec les attentes sociales. Il a également estimé que les précédentes élections ont été une occasion pour blâmer et exclure les adversaires politiques.
« Nous avons raté une occasion historique et nous n’avons pas de vision sur la Tunisie dans les dix prochaines années. D’autant plus que nous avons aujourd’hui 226 partis politiques. Et normalement, ces partis doivent couvrir toutes les attentes économiques et sociales. Or, ce n’est pas le cas. Les listes indépendantes pour les législatives sont plus nombreuses que celles des partis », a-t-il aussi déclaré.
Habib Karaouli a, par ailleurs, pointé du doigt l’absence d’un mouvement politique ayant un corpus idéologique axé sur l’écologie et sur la sauvegarde de l’environnement.
E.B.A.