Business news , svp, essayez de rapporter les faits et ne vousfiez pas.aux info de Facebook.
Ce que vous avez rapporté comme des informations sont tout simplement des fake news!!!!
Le secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement secondaire, Fakhri Smiti a indiqué dans un statut Facebook publié, ce jeudi 24 octobre 2019, que la directrice du lycée secondaire Cité Riadh à Sousse, ainsi que la proviseure ont été limogées parce qu’elles ont tenu à rédiger un rapport relevant la "triche" de la fille d’un député à l’épreuve du baccalauréat, session de juin 2019.
Fakhri Smiti a ajouté que la délégation régionale de l’éducation de Sousse a présenté une demande au ministère de l’Education pour l'éviction de la directrice et de la proviseure et ce afin de "dissimuler les preuves du crime".
La note publiée par la directrice, datant du 22 octobre 2019, indique que son éviction du lycée en question est dûe au fait qu'elle a tenu à rédiger un rapport concernant une élève arrivée en retard à la salle d'examen, munie d’un téléphone portable. La décision du ministre de l'éducation stipule que la directrice a demandé à deux enseignantes présentes, alors, de quitter la salle afin de s'atteler à la rédaction du rapport, sans consulter préalablement le directeur du centre d’examen. La directrice a finalement été appelée à contacter le délégué régional de l'éducation pour son affectation à un autre établissement scolaire.
S.H
Le secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement secondaire, Fakhri Smiti a indiqué dans un statut Facebook publié, ce jeudi 24 octobre 2019, que la directrice du lycée secondaire Cité Riadh à Sousse, ainsi que la proviseure ont été limogées parce qu’elles ont tenu à rédiger un rapport relevant la "triche" de la fille d’un député à l’épreuve du baccalauréat, session de juin 2019.
Fakhri Smiti a ajouté que la délégation régionale de l’éducation de Sousse a présenté une demande au ministère de l’Education pour l'éviction de la directrice et de la proviseure et ce afin de "dissimuler les preuves du crime".
La note publiée par la directrice, datant du 22 octobre 2019, indique que son éviction du lycée en question est dûe au fait qu'elle a tenu à rédiger un rapport concernant une élève arrivée en retard à la salle d'examen, munie d’un téléphone portable. La décision du ministre de l'éducation stipule que la directrice a demandé à deux enseignantes présentes, alors, de quitter la salle afin de s'atteler à la rédaction du rapport, sans consulter préalablement le directeur du centre d’examen. La directrice a finalement été appelée à contacter le délégué régional de l'éducation pour son affectation à un autre établissement scolaire.
S.H