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En photos - Journée de colère des enseignants du secondaire
19/12/2018 | 13:13
1 min
En photos - Journée de colère des enseignants du secondaire
Des centaines d’enseignants du secondaire se sont rassemblés, ce mercredi 19 décembre 2018, devant le siège du ministère de l’Education à Beb Bnet, sous la houlette de la Fédération générale de l’enseignement secondaire.
 
 
 
Lors de cette journée de colère, plusieurs slogans ont été scandés au cours du sit-in. Parmi eux : «Prélever sur les salaires, rebut de dictateur», «Ministre des circulaires, voici l’armée de la craie», «Oh Hached, le gouvernement a perdu le pays», « Nous tenons aux droits des enseignants», «L’escalade et une détermination de fer», «Culture nationale, école populaire, éducation démocratique».
 
 
 
 
Une grande partie de l’assistance portait des pancartes et banderoles affichants divers autres messages : «Non aux conditions du Fonds monétaire international», «Pour la préservation de la dignité des éducateurs», «Non à la cession, non à la dépendance, non à la privatisation de l’éducation», «Non à la privatisation, oui à l’éducation publique», «Non à la diabolisation des mouvements de protestation des enseignants et de leur militantisme», «Nos demandes sont légitimes, y répondre n’est pas une faveur», «La dignité des enseignants est au-dessus de toute autre considération», etc.
 
I.N

 

  

19/12/2018 | 13:13
1 min
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Commentaires (13)

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Yenamarre
| 20-12-2018 12:49
Les enseignants deviennent des spécialistes de l'école buissonnière !!! Le corps qui symbolise le plus ou qui est censé symboliser la rigueur, l'ordre et la discipline, s'enfonce de plus en plus dans l'anarchie... Pauvres enseignants! Vous avez subi durant des décennies réformes désastreuses sur mesures catastrophiques... Vous avez cautionné l'allègement du savoir faire et de l'esprit critique. Vous avez accepté l'augmentation de l'abrutissement et de la médiocrité. Vous vous êtes effacés pendant si longtemps qu'on se demandait si vous existiez encore! Seul acte de présence : votre goût de plus en plus prononcé pour le mercantilisme et l'aliénation du plus noble des métiers. Aujourd'hui que le pays est à genoux, vous perdez votre légendaire patience ?! Pourquoi? Est-ce pour défendre le rétablissement d'un système éducatif efficace?La "médiocratie" arrange bien vos affaires! Hier, les notables vous craignaient, les parents vous respectaient, les élèves vous admiraient. Aujourd'hui, tous vous observent avec consternation. En quelques générations depuis l'indépendance, vous avez radicalement métamorphosé l'image de la profession. Chapeau bas! Vous avez au moins réussi quelque chose...

sassi
| 20-12-2018 10:52
des enseignants non éduqués sans scrupule ni moralité ce genre d'enseignants qui doivent enseigner la morale et la bonne conduite ils les plus pourris les plus avides de materialisme qu'ils vont au diable et que BAli revien pour les mettre à leur place
oui on n'a pas besoin de liberté avec des gens qui ne savent la limite de leur liberté et le respect des autres et des valeurs de la Nation
avec cette liberté anarchiste on assiste à une horde sauvage meme de la part de soit disant cultivés

A4
| 20-12-2018 08:57
Le travail d'enseignant devient de plus en plus pénible ! Il faut en plus maintenant cogner sur les journalistes !
PE-NI-BLE !!!

Aldo
| 20-12-2018 02:53
Allez ,virez toute cette racaille , et embaucher ceux ceux qui ont vraiment besoin de bosser , ils ne savent pas la chance qui ont ces ingrats qui marchent sur la tête ,imbéciles !!.

Najib
| 19-12-2018 21:23
Il n'y en a pas ! Et mal payé , en plus ! Avec un salaire de 1500 dinars contre 18 heures de présence par semaine et 5 mois de vacance par an . Ils font pitié , les pauvres ! Il y a vraiment de quoi , protester , Faire la grève , confisquer les notes , priver les élèves de leurs examens et même revendiquer la chute du gouvernement . Don't worry , take it easy ! C'est tout simplement l'ère de la médiocrité post révolution brouétiste . Shame on Yacoubi and his stupid followres . God save Tunisia .

Trançonneuse
| 19-12-2018 17:24
Y avait-y-il une pancarte « non aux cours particuliers non déclarés au fisc »? Je ne le pense pas.

A . N .
| 19-12-2018 16:15
Elles font des Selfis pour les envoyer à leur Gourou Yaâcoubi et leur maître spirituel Gannouchi .

A . N .
| 19-12-2018 16:05
La plupart de ces agitateurs ont acheté leurs Capes , surtout en langue étrangère qu'ils l'a parlent comme une vache Espagnole .
Souvenez vous de l'émission Al Hiwar Ettonsi sur la faculté de Kerouan, il y'a beaucoup dans d'autres facs .
Bande de Nul vous êtes trop payés pour vos diplômes achetés .
Si l'éducation Nationale vous demande de refaire vos examen je suis sûre La moitié vont tomber à l'eau.

ABOUSAMAR
| 19-12-2018 15:44
Avec ces agissements et ces manifestations pour des demandes purement financières, les pro-Yaakoubi présentent une publicité gratuite et très bien étudiée pour l'enseignement privé.
A titre indicatif, certains établissements (mission française) ont entamé le second trimestre il y a plus de 15 jours et les conseils des classes du premier trimestre ont été tenus et les bulletins de notes ont été également délivrées aux parents.
Pain et Eau et ZABA no

Rationnel
| 19-12-2018 15:17
On voit que pour être digne en Tunisie on doit être plus riche. Il n'y a du respect que pour le plus riche. Les enseignants exigent des augmentations de salaire pour préserver leur dignité et sans un salaire plus élevé ils perdent leur dignité. Ce sont les 100 dinars de plus qui vont préserver la dignité. Si on a perdu sa dignité avec 1600 dinars par mois, on ne va pas la retrouver avec 1700. Les enseignant en Tunisie sont les mieux payes au monde quand on compare le salaire d'un enseignant au salaire moyen et le produit national brut par personne. Ils sont aussi les moins productifs parmi tous les pays analyses par l'OCDE. Les enseignants sont contre l'enseignement prive, mais ils et elles sont le facteur le plus déterminant pour le succès des écoles prives. A travers leur grèves, leur refus de superviser les examens, et la médiocrité de leur enseignement ils poussent les parents qui ont les moyens aux écoles privées.