Pour son jour de repos, le chef du gouvernement, Youssef Chahed a choisi de prendre part, en ce dimanche 22 avril 2018, à la campagne électorale de la liste de Nidaa Tounes à Carthage.
En tenue décontractée et affichant un large sourire au visage, le chef du gouvernement semble vouloir couper court aux rumeurs selon lesquelles ses relations avec son parti ne sont pas au beau fixe. Sans doute une manière aussi de vouloir donner aux Tunisiens l'image d'un chef qui maîtrise et qui ne semble pas perturbé par les crises par lesquelles passe son gouvernement. Une campagne dans la campagne en somme.
S.H
En photos : Youssef Chahed prend part à la campagne de Nidaa
Pour son jour de repos, le chef du gouvernement, Youssef Chahed a choisi de prendre part, en ce dimanche 22 avril 2018, à la campagne électorale de la liste de Nidaa Tounes à Carthage.
En tenue décontractée et affichant un large sourire au visage, le chef du gouvernement semble vouloir couper court aux rumeurs selon lesquelles ses relations avec son parti ne sont pas au beau fixe. Sans doute une manière aussi de vouloir donner aux Tunisiens l'image d'un chef qui maîtrise et qui ne semble pas perturbé par les crises par lesquelles passe son gouvernement. Une campagne dans la campagne en somme.
C'est un parti fini, cuit de père en fils.
Plus rien ne pourra le sauver,meme pas yussufqui est brûlé .
Ce n'est pas etonnant vu que ce parti a trahit ces électeurs
c est pas vrai il n a rien a faire le chef du gouvernement il trouve le temps a participer a une compagne electorale alors que le pays est dans la merde MERDE ALORS
...Y.Chahed garde le sourire alors que le ciel est en train de lui tomber sur la tête! Sauf que E.Macron incarne l'emblème de la France: le coq qui chante les pieds dans la merde, ce qui n'est pas le cas de la Tunisie !
Même s'il y a désaccord sur de nombreux points, il garde la tête froide. Il ne quitte pas le parti vecteur et résout les problèmes en interne.
Ainsi, il aura également respecté la volonté expresse d'union des électeurs encore traumatisés par la catastrophe nommée troïka.
Un parti fort est nécessaire pour faire au moins jeu égal avec une nahdha affaiblie, mais très disciplinée.
Nahdha ne fera qu'une bouchée des partitounets qui poussent ici et là.
Sans les ambitions démesurées et les divisions, nida serait maintenant le premier parti incontestable du pays et n'aurait recours à aucun autre parti pour gouverner.
Mais ses dirigeants ont cédé à la guerre du pouvoir, tandis qu'une partie de ses électeurs n'a pas su se montrer patiente et n'a pas trouvé mieux que de l'affaiblir, renforçant ainsi son principal adversaire.
