Deux Tunisiens ont été kidnappés jeudi 15 mars, par un groupe armé dans le sud-ouest du Cameroun, indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué rendu public ce lundi 19 mars 2018.
Le MAE précise, que les deux personnes étaient au Cameroun, dans le cadre d’un projet de construction routière, pris en charge par une entreprise tunisienne de travaux publics. Une cellule de crise a été mise en place au sein du ministère et des coordinations sont en cours avec les autorités camerounaises pour libérer les otages, a souligné la même source.
Deux Tunisiens ont été kidnappés jeudi 15 mars, par un groupe armé dans le sud-ouest du Cameroun, indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué rendu public ce lundi 19 mars 2018.
Le MAE précise, que les deux personnes étaient au Cameroun, dans le cadre d’un projet de construction routière, pris en charge par une entreprise tunisienne de travaux publics. Une cellule de crise a été mise en place au sein du ministère et des coordinations sont en cours avec les autorités camerounaises pour libérer les otages, a souligné la même source.
les entreprises françaises y sont installées et les asiatiques leur grignotent une part non négligeable mais qui en a voulu et en veut aux pauvres ingénieurs tunisiens ?
Les bandits sont prêts à tout pour dissuader qui que ce soit de pénétrer l'Afrique profonde et venir y gagner une croûte.
Paix à l'âme de ce pauvre ingénieur qui s'est fait lâchement exécuter.
Probablement une erreur de cible.
Ensuite, le Tunisien n'est pas rentable sur le plan enlèvement, et on ne peut pas dire que la Tunisie "terrorise les terroristes" au point de vouloir une vengeance.
Quoi que... en cas de double nationalité... non, je m'égare, restons sur l'erreur de cible et une libération rapide.
Dans nos médias, on présente toujours l'Afrique subsaharienne comme un marché d'avenir, mais on oublie de vous dire les risques sanitaires et d'insécurité encourus par les expatriés dans ces pays.
Dans ce cas précis, l'entreprise exécute son chantier dans une zone instable (Boko Haram, instabilité politique du Cameroun anglophone) en plus des coupeurs de routes armés ordinaires.
Rabi ijibhom selmine
