
Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a accordé ce soir du mercredi 3 juin 2015, une interview exclusive à la chaîne ARTE dans le cadre de l’émission 28, durant laquelle il a répondu aux différentes questions posées par les journalistes Elisabeth Quin et Vincent Giret (Le Monde).
Revenant sur l’attaque du Bardo, Béji Caïd Essebsi a estimé que c’était un coup dur ayant frappé la culture, le tourisme et le choix de la Tunisie d’être un pays libre, précisant que les personnes qui ont été arrêtées après cet attentat sont impliquées, preuves à l’appui, dans cette affaire. Et d’ajouter que la grande porte du terrorisme reste la frontière libyenne.
Réagissant au fait que la Tunisie soit également un exportateur de terroristes, le président de la République a estimé que le chômage et le désespoir ont fait de certains jeunes tunisiens une proie facile pour cette idéologie extrémiste.
Dans un autre contexte, le chef de l’Etat a salué la promesse faite par le président français, François Hollande, consistant à convertir une partie de la dette tunisienne : « nous sommes partis en France, non pas pour demander quoi que ce soit, mais notre visite s’inscrivait, plutôt, dans le cadre de nos relations de partenariat », a-t-il souligné.
Interrogé sur la question des réformes exigées par certains bailleurs de fonds et qui tardent à être réalisées, BCE a affirmé que la Tunisie a accompli 50% des réformes imposées, ajoutant que le reste est en cours d’examen par l’Assemblée des représentants du peuple. D’autre part, il a indiqué que le président américain Barak Obama s’est engagé à soutenir la Tunisie, affirmant qu’ils sont en train d’avancer à chaque rencontre.
Pour conclure et s’adressant au G7, M. Caïd Essebsi a considéré que le combat contre le terrorisme doit passer par une action collective. «Nul n’est à l’abri », a-t-il affirmé, avant d’ajouter que la Tunisie peut proposer un modèle de gouvernance mais qu’elle a toujours besoin de soutien.
Sarra HLAOUI
Le tout pour cacher que ce beldi a vendu Kadhafi a l'OTAN lorsqu'il se rendait à Doha pendant l'été 2011 en compagnie d'un ministre de la défense « toubib » avec lunettes rectangulaires de scientifique, et un général bananier dont la tête me rappelle la série « Khalti Kamoucha », surtout que ce même général est persuadé que la Tunisie est protégée par des marabouts.
Je déclare la Tunisie protégée par l'OTAN plutôt, après sa trahison odieuse de Kadhafi encerclé à Syrte par des islamistes et leur Gourou Bernard Henry Levi, pendant que les drones d'un faux noir Africain nommé Obama et les mirages 2000 d'un sal sioniste véreux nommé Dassault commandé par une autre sioniste au nez crochu nommé Sarkozy, tournoyaient au-dessus de cette ville détruite.
Ma question à BCE est simple :
Ce fils raté et au sourire stupide qui vous a accompagné lors de votre rencontre de cet émir Al Thani dégoutant, a-t-il obtenu l'emploi dont vous rêviez ?
Ce fils au sourire idiot a-t-il obtenu des contacts et autres opportunités d'affaires comme ce fut le cas pour NCH et sa négroïde de fille ?
Avez-vous songé à postuler un rôle d'acteur à Hollywood vous qui imitez si bien, sauf le courtage et l'intégrité, ce Bourguiba qui de son vivant vous aurait exécuté comme il le fit pour le commandant Méherzi ?
Ayez le courage de me répondre Monsieur le Président et je jure sur mon honneur de flic qui vous méprise que je dévoilerai mon identité avec copie de la carte d'identité nationale faxée a Business News, avant de me rendre au palais de Carthage et de pisser sur votre pelouse tout en brandissant un panneau ou y seront imprimées les photos de Nasser, Bourguiba, Ben Ali, Kadhafi, Saddam Hussein, et Ben Bella.
Ce club des grands hommes dont vous ne serez jamais membre.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Monsieur,
Votre réponse est une réponse farfelue et impulsive, voire même superficielle.
La femme parce qu'elle est une mère ou une future mère est le repère moral de toute société civilisée. Les femmes contrairement aux hommes sont en général clémentes et font preuve de compassion et non de cruauté.
Les femmes au pouvoir n'aiment pas l'injustice ni la cruauté.
Une femme aurait moins tendance qu'un homme à torturer ou à exécuter.
La femme Tunisienne de la pre-independnace a fait preuve de surpassement en finesse intellectuelle, en patriotisme, et même en héroïsme.
Il n'en est pas de même pour les femmes Tunisiennes des nouvelles générations, celles qui ont bénéficié de décennies d'éducation gratuite sous les régimes nationalistes de Bourguiba et de Ben Ali.
La femme Tunisienne contemporaine, mis à part celle qui a fait partie de l'élite au pouvoir, représente un échec puisqu'elle lutte contre un système social qui lui a justement octroyé des droits qui n'existent pas dans les autres pays Arabes.
Vous ne connaissez pas de toute évidence qui étaient les femmes de la période de pre-independance.
Le safsari contrairement au hijab, représente un symbole de dignité.
Il s'agit d'un uniforme de force, d'intelligence, et de stoïcisme.
Parce que la femme avant l'avènement de Bourguiba disposait de peu de droits et parce qu'elle pouvait être répudiée par une simple demande verbale, surtout dans des cas de présumée délits de vertu, elle s'est dotée d'une espèce de costume national en lequel elle pourrait socialement opérer en se déplaçant mais aussi en exhibant une certaine discrétion.
Il n'en est pas de même pour le hijab qui représente un complot contre notre Nation.
Le hijab est un instrument de propagande islamiste qui symbolise des sociétés colonisées par des puissances impérialo-sionistes avides de pétrole et dans lesquelles la femme ne dispose d'aucun droit. Mais il s'agit de statuts incomparables à celui de la femme Tunisienne d'avant l'indépendance puisque les femmes des pays du Golfe et d'Arabie sont aussi exécutées lors de séances de supplices en cas de délits moraux ou présumés délits moraux. Je veux bien sur parler de la lapidation.
Les Tunisiennes qui portent le hijab doivent être toutes considérées comme des représentantes de l'émir du Qatar ou du roi d'Arabie Saoudite ou de toute autre société musulmane primitive.
Il ne s'agit ni d'une mode, ni d'un droit, ni d'une liberté essentielle mais d'un complot et d'un affront aux femmes Tunisienne dignes qui sont mortes pour que Bourguiba puisse un jour les libérer.
Les femmes en hijab sont des Mata Hari odieuses et hypocrites de la Nation Tunisienne indépendante et souveraine. Celle pour laquelle nous avons tous travaillé et souffert afin qu'elle ne redevienne pas un jour colonisée.
Il en des même pour les militants des droits de l'homme qui sont en majorité des femmes Tunisiennes. Celles-ci sont commanditées par des ONG d'obédience sioniste et ont comme mission de propager l'islamisme par des campagnes tendant à prouver que les islamistes sont des êtres certes religieux, mais paisibles et qui faisaient l'objet de persécutions pendant l'ère de Ben Ali comme les Amish ou les Mormons en Allemagne a l'ère de Luther. Ce qui est bien sur un mensonge.
Je vous invite à visionner cette vidéo de propagande de la révolution Tunisienne dans laquelle un jeune fille Tunisienne vêtue d'un Khimar se positionne pour le public international comme étant un femme paisible, religieuse, et avide de paix et de liberté. Et cela quelques années avant que ce même genre de fille rejoignent le jihad en Syrie et en Irak afin de jeter des homosexuelles du haut de tours et d'enterrer des enfants Chrétiens vivants sous les yeux de leur mères Irakiennes :
https://www.youtube.com/watch?v=oMz19GjUlW8
Les droits de l'hommistes Tunisiennes ont pour simple mission de transformer la société Tunisienne en un Califat par des campagnes de protection des islamistes qui octroieront à ces agents des pays d'Arabie un temps précieux.
Et donc les militantes des droits de l'homme Tunisiennes sont des complices des islamistes.
Je vous conseille de visionner également cette vidéo des alentours du 14 Janvier 2011 dans laquelle l'on montre un de mes collègues se faire lyncher à Nabeul par des hordes de voyous et dans laquelle aussi la violence y est orchestrée par une femme en hijab qui recommande même que l'on accroche le corps de ce jeune collègue a un poteau.
Lorsque dans une société donnée, les femmes sont les pionnières de mouvements qui prônent des sociétés primitives et cruelles, ou lorsque dans cette même société, un mouvement important féminin fait campagne afin que le Président d'un pays souverain soit humilié, attaqué, ou destitué, il s'agit alors de sociétés qui sont en danger de destruction ou du moins de recolonisation.
La femme Tunisienne a joué un grand rôle dans la révolution Tunisienne et donc dans la destitution de Ben Ali, la perte de la souveraineté Tunisienne, la destruction de la Libye, et du monde Arabe.
Les femmes Tunisiennes des nouvelles générations sont dans leur ensemble et mis à part quelques exceptions, des êtres indignes et méprisables.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Monsieur,
Votre réponse est une réponse farfelue et impulsive, voire même superficielle.
La femme parce qu'elle est une mère ou une future mère est le repère moral de toute société civilisée. Les femmes contrairement aux hommes sont en général clémentes et font preuve de compassion et non de cruauté.
Les femmes au pouvoir n'aiment pas l'injustice ni la cruauté.
Une femme aurait moins tendance qu'un homme à torturer ou à exécuter.
La femme Tunisienne de la pre-independnace a fait preuve de surpassement en finesse intellectuelle, en patriotisme, et même en héroïsme.
Il n'en est pas de même pour les femmes Tunisiennes des nouvelles générations, celles qui ont bénéficié de décennies d'éducation gratuite sous les régimes nationalistes de Bourguiba et de Ben Ali.
La femme Tunisienne contemporaine, mis à part celle qui a fait partie de l'élite au pouvoir, représente un échec puisqu'elle lutte contre un système social qui lui a justement octroyé des droits qui n'existent pas dans les autres pays Arabes.
Vous ne connaissez pas de toute évidence qui étaient les femmes de la période de pre-independance.
Le safsari contrairement au hijab, représente un symbole de dignité.
Il s'agit d'un uniforme de force, d'intelligence, et de stoïcisme.
Parce que la femme avant l'avènement de Bourguiba disposait de peu de droits et parce qu'elle pouvait être répudiée par une simple demande verbale, surtout dans des cas de présumée délits de vertu, elle s'est dotée d'une espèce de costume national en lequel elle pourrait socialement opérer en se déplaçant mais aussi en exhibant une certaine discrétion.
Il n'en est pas de même pour le hijab qui représente un complot contre notre Nation.
Le hijab est un instrument de propagande islamiste qui symbolise des sociétés colonisées par des puissances impérialo-sionistes avides de pétrole et dans lesquelles la femme ne dispose d'aucun droit. Mais il s'agit de statuts incomparables à celui de la femme Tunisienne d'avant l'indépendance puisque les femmes des pays du Golfe et d'Arabie sont aussi exécutées lors de séances de supplices en cas de délits moraux ou présumés délits moraux. Je veux bien sur parler de la lapidation.
Le constat qui s'impose aujourd'hui Mr le Président, est que la transition vers la clochardisation de la Tunisie semble beaucoup plus probable. Pour la simple raison que la place publique est livrée aux voyous et aux psychopathes.
Sur ce que faire ?
Les Tunisiennes qui portent le hijab doivent être toutes considérées comme des représentantes de l'émir du Qatar ou du roi d'Arabie Saoudite ou de toute autre société musulmane primitive.
Il ne s'agit ni d'une mode, ni d'un droit, ni d'une liberté essentielle mais d'un complot et d'un affront aux femmes Tunisienne dignes qui sont mortes pour que Bourguiba puisse un jour les libérer.
Les femmes en hijab sont des Mata Hari odieuses et hypocrites de la Nation Tunisienne indépendante et souveraine. Celle pour laquelle nous avons tous travaillé et souffert afin qu'elle ne redevienne pas un jour colonisée.
Il en des même pour les militants des droits de l'homme qui sont en majorité des femmes Tunisiennes. Celles-ci sont commanditées par des ONG d'obédience sioniste et ont comme mission de propager l'islamisme par des campagnes tendant à prouver que les islamistes sont des êtres certes religieux, mais paisibles et qui faisaient l'objet de persécutions pendant l'ère de Ben Ali comme les Amish ou les Mormons en Allemagne a l'ère de Luther. Ce qui est bien sur un mensonge.
Je vous invite à visionner cette vidéo de propagande de la révolution Tunisienne dans laquelle un jeune fille Tunisienne vêtue d'un Khimar se positionne pour le public international comme étant un femme paisible, religieuse, et avide de paix et de liberté. Et cela quelques années avant que ce même genre de fille rejoignent le jihad en Syrie et en Irak afin de jeter des homosexuelles du haut de tours et d'enterrer des enfants Chrétiens vivants sous les yeux de leur mères Irakiennes :
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Les droits de l'hommistes Tunisiennes ont pour simple mission de transformer la société Tunisienne en un Califat par des campagnes de protection des islamistes qui octroieront à ces agents des pays d'Arabie un temps précieux.
Et donc les militantes des droits de l'homme Tunisiennes sont des complices des islamistes.
Je vous conseille de visionner également cette vidéo des alentours du 14 Janvier 2011 dans laquelle l'on montre un de mes collègues se faire lyncher à Nabeul par des hordes de voyous et dans laquelle aussi la violence y est orchestrée par une femme en hijab qui recommande même que l'on accroche le corps de ce jeune collègue a un poteau.
Lorsque dans une société donnée, les femmes sont les pionnières de mouvements qui prônent des sociétés primitives et cruelles, ou lorsque dans cette même société, un mouvement important féminin fait campagne afin que le Président d'un pays souverain soit humilié, attaqué, ou destitué, il s'agit alors de sociétés qui sont en danger de destruction ou du moins de recolonisation.
La femme Tunisienne a joué un grand rôle dans la révolution Tunisienne et donc dans la destitution de Ben Ali, la perte de la souveraineté Tunisienne, la destruction de la Libye, et du monde Arabe.
Les femmes Tunisiennes des nouvelles générations sont dans leur ensemble et mis à part quelques exceptions, des êtres indignes et méprisables.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.