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BCE et Youssef Chahed s'entretiennent des moyens de lutter contre la vie chère
10/11/2017 | 14:33
1 min
BCE et Youssef Chahed s'entretiennent des moyens de lutter contre la vie chère

Le président Béji Caïd Essebsi a reçu aujourd'hui, vendredi 10 novembre 2017, le chef du gouvernement Youssef Chahed au palais de Carthage. La rencontre a porté sur le programme gouvernemental de relance et de croissance économique pour l'anée 2018 et les mesures qui devront améliorer le pouvoir d'achat du consommateur et lutter contre la vie chère.

 

BCE et Youssef Chahed ont également discuté des préparatifs de la 16e session de la haute Commission mixte tuniso-égyptienne qui se tiendra au Caire les 11 et 12 novembre courant et qui devra promouvoir le partenariat entre les deux pays dans différents domaines.

10/11/2017 | 14:33
1 min
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Commentaires (12)

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Letranger
| 12-11-2017 14:17
"... lutter contre la vie chère..."

Il faut faire baisser les prix...

CHDOULA
| 11-11-2017 08:52
Bombarder le marché central !

Beldi
| 11-11-2017 08:05
Il tapait sur la table tant qu'il s'agit de protéger le pouvoir d'achat. Il ne se référait même pas à Bourguiba.
Aujourd'hui, la donne a changé. Mr Chahed s'en remet systématiquement ou presque à BCE qui lui appartient d'après la constitution, de déterminer la politique relative à la sécurité nationale et celle à mettre en oeuvre en cas de menaces intérieures et extérieures.
Les menaces sont réelles mais personne n'en connait l'origine à ce qu'il parait. Sauf ma grand'mère! Elle est la seule qui dispose de la plénitude de sa liberté pour dénoncer acteurs et instigateurs du chaos qui s'est installé au nez et à la barbe de la puissance publique.

Nephentes
| 11-11-2017 05:46
L'évaluation de la dépréciation du pouvoir d'achat moyen en Tunisie est sujette à polémique. des chiffres contradictoires sont mis en avant.

Des sources émanant de l'INS, corroborées par des universitaires, laissent indiquer que ce pouvoir d'achat MOYEN aurait diminué d'au moins 60% depuis 2000.

Concrètement, cela signifie qu'entre 2000 et 2017, et notamment depuis la dévaluation sanglante du dinar qu'avec 100 dinars tunisiens en 200O, le consommateur tunisien pouvait remplir un panier de courses avec 100 quantité de choses,

et que 17 années plus tard, avec l'équivalent de ces 100 dinars tunisiens ( prise en compte du taux d'inflation) , le même consommateur remplira son panier de courses avec 62% de moins de ces mêmes choses.

Les pratiques spéculatives en Tunisie sont hors de contrôle depuis les années 90.Ces pratiques se sont fortement aggravées avec le désengagement de l'Etat.

Entre temps, les réseaux de spéculateurs ont réalisé une véritable intelligence économique, tous secteurs confondus, avec la complicité active de l'administration tunisienne : immobilier, denrées agricoles, électroménager, matériaux de construction, habillement , etc...

Il y a beaucoup de non-dits, du fait de l'illégalité et de la généralisation des pratiques spéculatives.

Il est plus aisé de passer d'un pays pauvre, sous-développé, à l'entrée de l'indépendance en 1956, au stade de pays en voie de développement en 1975

que de franchir le cap, bien plus difficile, de pays en voie de développement à un pays développé, TEL QU'IL AURAIT PU et DU SE FAIRE ENTRE 1985 et 2000.

La Corée du Sud, la Turquie, la MALAISIE, la CHINE sont passés de facto du stade de pays en voie de développement en pays industrialisé durant précisément cette période.

Passer de la pauvreté à la richesse exige un effort collectif, le respect des mécanismes de régulation économique et de répartition des richesses, ainsi qu'une productivité et une rigueur à toute épreuve.

Au bout de la période faste 1956-2016, la croissance tunisienne a fini naturellement par se tasser mettant en avant et en lumière les problèmes structurels:

taux d'inflation élevé, monnaie nationale surévaluée, dette publique en hausse,

déficits publics conséquents, balance commerciale en déséquilibre,

taux élevé de chômage,

appareil productif non performant et à basse valeur ajoutée,

marché parallèle et délinquance économique omniprésent
(+ 50% du PIB selon le Ministère des Finances),

confiance générale en baisse etc.

Parmi les phénomènes DE DÉLINQUANCE ECONOMIQUE on doit citer celui des pratiques spéculatives, qui ont un impact direct sur l'effondrement du pouvoir d'achat.

Par exemple, l'exportation sauvage vers le marché libyen des denrées agricoles. Le volume est très important, et en grande partie informel.

La production de pommes de terre, de tomates et de pastèques par exemple est littéralement accaparée par des réseaux d'écoulement illégal vers la Libye.

On en parle très peu.

PARCE QUE LES PLUS HAUTES SPHÈRES DE l'ETAT et des milieux d'affaires sont partie prenantes DANS LA DÉLINQUANCE ECONOMIQUE en Tunisie.

La racine du mal est là.

depuis 40 ans.

Bahri
| 10-11-2017 20:28
On dit contre la cherté de la vie et non pas contre la vie chère.

takilas
| 10-11-2017 20:08
nahdha à chargé des milices de se mettre dans les rayons des grandes surface pour dénigrer ces remarquables initiatives de la part du gouvernement, et prétendre que le prix ont augmenté.
Bien sûr ces traîtres ont été malmenés et ridiculisés par les tunisiens honnêtes, d'autant plus qu'il s'est avéré que ces milices (des seniors ou d'un certain âge) n'avaient aucun achat en main.
Voilà ce que c'est nahdha, des traîtres et des saboteurs.

Mohamed 1
| 10-11-2017 18:39
Attention ! Ne touchez pas au ventre du Tunisien.
Le ventre passe avant tout.

DHEJ
| 10-11-2017 17:54
et cest comique!

un bebe sais cela...
| 10-11-2017 16:45
arretez les greves, augmentez la productivite, dont la votre d ailleurs, ca s appele TRAVAIL,,TRABAJO..LAVORO...ARBEIT....WORK....DODO EN ARABE ...

hatem
| 10-11-2017 15:36
un trou dans l'eau