
Avant son prochain départ, le ministre de l'Education nationale Hatem Ben Salem a tenu à adresser un message de remerciement à l’ensemble de ses collaborateurs au sein du ministère, proches et moins proches, allant de son équipe aux enseignants.
Dans sa lettre de remerciement, le ministre a rappelé les efforts déployés dans un premier temps pour diminuer les tensions et unir la famille de l’éducation «grâce à la détermination de partenaires sincères», en écartant les établissements scolaires et les élèves des tractations. Il a également parlé de la deuxième étape qui a consisté à collecter, dans la limite des moyens, les fonds nécessaires pour entamer les réformes structurelles et pédagogiques nécessaires, notamment pour rendre aux concours nationaux leur valeur d’antan.
« Les traits de l’avenir de la Tunisie ne se dessinent pas dans les espaces politiques et médiatiques, mais se font aujourd’hui sur les bancs de l’école et les amphis des facultés. (…) L’école restera l’unique moyen, le plus sein et le plus fédérateur pour sauver nos enfants », a soutenu M. Ben Salem.
I.N


Pendant ces trois années précédentes, combien d'écoles, de collèges et lycées ont été fermés pour cause de mauvais état et manque d'entretien? en tant que simple citoyen je peux vous citer un grand nombre et leurs lieux même.
Est ce que le ministère a construit de nouvelles institutions éducatives j'en doute fort.
Qu'est ce que le ministère a apporté de nouveau au profit de la qualité de l'enseignement, de nos enfants toutes catégories confondues? Rien.. Niet
Ah peut être l'inscription à distance; un projet de numérisation à faire dormir debout tellement sans inefficace et aussi le "tablier vert", censé selon le même monsieur être la potion miracle pour faire évoluer les choses..
Partez et ne vous retournez surtout pas..
L'école est l'avenir pour le pays mais celle qui nous lègue est une usine à chômeurs donc de la misère.
Vous n'avez entrepris aucune réforme de fond.
Beaucoup de nos enfants quittent cette école tôt. Et ceux qui ont la chance d aller plus loin pour la majorité d'entre eux c est le chômage
au bout.
C est une école à deux vitesses .
Aujourd'hui, à quelques exceptions près,
pratiquement ceux qui ont les moyens ont une chance d'y décrocher un diplôme synonyme d emploi au bout.
L'ecole que vous leguez aux tunisiens ne peut pas être l'avenir du pays.
Arretez de lancer des slogans vides.
Vous avez vu l'état de l l'ecole dans notre pays.
A l image du reste du pays , rangée par la corruption, un encadrement corrompu , plus de 50 % des enseignants sont hors service , des méthodes pédagogiques dépassées, des programmes non adaptés dépassés.
Sur 130 000 candidats au bac , plus de 50% sont affectés à la section économique et littéraire. Devenues sections fourre-tout.
Avons nous besoin de tous ces littéraires et économistes. Le chômage les attend au bout.
Nos écoles sont classées loin derrière ceux de nos voisins africains alors que nous sommes à la porte de l'Europe.
Et vous ? qu'avez vous fait pour essayer d'y remédier ne serait ce que partiellement ?
J ai retenu que vous étiez premier de votre classe étant petit, c est vous qui l avez dit un jour soit mais vous avez échoué lamentablement dans votre mission de redresser et gérer convenablement cette école qui vous a formé.
Le jour de la rentrée scolaire des premiers enfants nés après la chute de Ben Ali ou nous avons enregistré 40 000 inscriptions de plus
Ce jour là ou lieu de crier votre joie affolé,
vous avez préconisé le retour du planning familial des années 60. Vous voulez les tuer dans l'oeuf.
Comme si les tunisiens de 2020 ressemblent à leurs aînés des 60.
Le plus important ce n est pas qu on a été premier mais de le rester .
Comme vous le voyez votre école à vous n est pas l'avenir du pays, Mr le Ministre.
Bonne retraite.
Nous avons perdu encore cinq ans pour nos enfants et le pays.
Tout se passe comme s'il y a une volonté de continuer à détruire notre ecole pour maintenir nos enfants en particulier et les tunisiens en général dans l'ignorance et le sous-développement.
Les choses sont claires.
Que ce soit UGTT, Etat , l 'administration sont devenus des instruments de destruction méthodique de l'ecole de ce pays.
Seul le peuple tunisien quand il aura atteint un certain degré de conscience pourra y mettre fin.