Enlevez d'abord vos oeillères pour "bien lire" !
Vu avez peut-être "lu", mais pas "bien lu" !
Ou alors vous ne savez même pas ce que "bien lu" veut dire ?
Maxula.
Connu pour ses positions extrêmes et ses attaques contre ses adversaires politiques, le membre du conseil de la Choura d’Ennahdha, Hamza Hamza, vient réitérer ses appels de meurtres.
Dans un post Facebook daté de ce mercredi 13 février 2019 et sans vérifier ses informations, l’homme politique s’est attaqué à l’avocat Mounir Ben Salha, croyant qu’il vient d’être nommé au poste de chef du cabinet du ministre des Affaires locales et de l'Environnement.
«Pourquoi toutes ces cachotteries, ramenez nous Ben Ali ce criminel en fuite et nommez le président ou ministre. Il ne manquait plus que ça, Mounir Ben Salha chef de cabinet ! La mort à Ben Ali et ses azlem! Où sont les révolutionnaires ?», a-t-il écrit.
Etant un haut dirigeant dans le parti au pouvoir, un parti qui se dit civil et pacifique, Hamza Hamza ne peut pas proférer ce genre de menaces en toute impunité, surtout que c’est devenu une habitude chez lui. Il y a quelques temps, il avait menacé l’élu Mongi Rahoui. En 2013, il avait proféré des menaces contre l’opposition et les citoyens tunisiens rassemblés en masse au Bardo en déclarant : « Ils doivent partir avant qu’ils ne soient enterrés ».
I.N
Connu pour ses positions extrêmes et ses attaques contre ses adversaires politiques, le membre du conseil de la Choura d’Ennahdha, Hamza Hamza, vient réitérer ses appels de meurtres.
Dans un post Facebook daté de ce mercredi 13 février 2019 et sans vérifier ses informations, l’homme politique s’est attaqué à l’avocat Mounir Ben Salha, croyant qu’il vient d’être nommé au poste de chef du cabinet du ministre des Affaires locales et de l'Environnement.
«Pourquoi toutes ces cachotteries, ramenez nous Ben Ali ce criminel en fuite et nommez le président ou ministre. Il ne manquait plus que ça, Mounir Ben Salha chef de cabinet ! La mort à Ben Ali et ses azlem! Où sont les révolutionnaires ?», a-t-il écrit.
Etant un haut dirigeant dans le parti au pouvoir, un parti qui se dit civil et pacifique, Hamza Hamza ne peut pas proférer ce genre de menaces en toute impunité, surtout que c’est devenu une habitude chez lui. Il y a quelques temps, il avait menacé l’élu Mongi Rahoui. En 2013, il avait proféré des menaces contre l’opposition et les citoyens tunisiens rassemblés en masse au Bardo en déclarant : « Ils doivent partir avant qu’ils ne soient enterrés ».
I.N