| 27-09-2018 08:34
Que notre Justice tunisienne prenne leçon de notre Valeureuse armée nationale, qui ne s'est immiscée dans aucun conflit politique du pays. Elle se concentre uniquement sur la protection et la sécurité du pays et de son peuple.
Il n'est pas du rôle de la Justice tunisienne de s'occuper de ce que disent ou écrivent les citoyens tunisiens. Ce que les uns voient du mal, les autres le voient du bien nécessaire à la survie du dynamisme démocratique. Les anciennes lois despotiques, qui ont été rédigées et préparées sur mesure pour la protection des dictateurs, de leurs proches et de leurs "Azlèms", ne sont aujourd'hui que des couteaux plantés dans le dos de la vraie démocratie. Le protecteur du troupeau, ne pourra être charcutier à la fois, qui tire profit d'un autre côté, en vendant la viande de l'une ou de l'autre des bêtes sous sa protection.
Le monde entier regarde vers la Tunisie et prépare des dossiers détaillés, pour les utiliser comme thèses, à appliquer par ceux qui en voudraient se débarrasser de la dictature et du despotisme de leur système politique, juridique et sécuritaire.
Lors de la réunification des deux Allemagnes de l'Est et de l'Ouest, d'octobre 1989 à octobre 1990, des intellectuels du monde entier travaillaient dans le mutisme en coopération avec l'ONU et les ONG, pour documenter tout ce qui se passait dans les deux Allemagnes. La Corée du Sud avait mobilisé toute une armée d'intellectuels, qui pr »éparaient des documents sur tout ce qui se passait lors de cette transition de réunification. Et elle l'utilise aujourd'hui à la lettre pour la préparation de son éventuelle prochaine réunification avec la Corée du Nord.
Donc, que nos jeunes Magistrats soient à la hauteur de cette responsabilité universellement historique, que le monde entier la suit et la poursuit avec intérêt, en se documentant pour toute l'histoire humaine et pour l'espoir des autres peuples arabes et tiers-mondistes. Leur échec, ne sera pas un échec pour la Tunisie seulement. Il sera la mort éternelle pour la démocratie dans le monde despotique d'aujourd'hui. Une trahison impardonnable contre l'histoire humaine. Et qu'aucun Magistrat tunisien, ne pense être en dehors des projecteurs de l'histoire, ni qu'il n'y pense être immunisé contre le Châtiment Divin ou d'y penser le moindre, que ses éventuelles «injustices» ne soient pas documentées chez les ONG, jusqu'à l'intérieur des tiroirs de l'ONU. Une débilité qui ne pourra appartenir à un diplômé en droit. Il y a des journalistes et des intellectuels qui cherchent à être emprisonnés, afin de documenter les injustices dont témoignent quelques incarcérés. Un militantisme d'usage dans le milieu international.
Vive la Justice tunisienne à égalité avec notre armée nationale et nos forces de sécurité, qui protègent notre deuxième République démocratique tunisienne arabe et musulmane de régime parlementaire.
Il n'est pas du rôle de la Justice tunisienne de s'occuper de ce que disent ou écrivent les citoyens tunisiens. Ce que les uns voient du mal, les autres le voient du bien nécessaire à la survie du dynamisme démocratique. Les anciennes lois despotiques, qui ont été rédigées et préparées sur mesure pour la protection des dictateurs, de leurs proches et de leurs "Azlèms", ne sont aujourd'hui que des couteaux plantés dans le dos de la vraie démocratie. Le protecteur du troupeau, ne pourra être charcutier à la fois, qui tire profit d'un autre côté, en vendant la viande de l'une ou de l'autre des bêtes sous sa protection.
Le monde entier regarde vers la Tunisie et prépare des dossiers détaillés, pour les utiliser comme thèses, à appliquer par ceux qui en voudraient se débarrasser de la dictature et du despotisme de leur système politique, juridique et sécuritaire.
Lors de la réunification des deux Allemagnes de l'Est et de l'Ouest, d'octobre 1989 à octobre 1990, des intellectuels du monde entier travaillaient dans le mutisme en coopération avec l'ONU et les ONG, pour documenter tout ce qui se passait dans les deux Allemagnes. La Corée du Sud avait mobilisé toute une armée d'intellectuels, qui pr »éparaient des documents sur tout ce qui se passait lors de cette transition de réunification. Et elle l'utilise aujourd'hui à la lettre pour la préparation de son éventuelle prochaine réunification avec la Corée du Nord.
Donc, que nos jeunes Magistrats soient à la hauteur de cette responsabilité universellement historique, que le monde entier la suit et la poursuit avec intérêt, en se documentant pour toute l'histoire humaine et pour l'espoir des autres peuples arabes et tiers-mondistes. Leur échec, ne sera pas un échec pour la Tunisie seulement. Il sera la mort éternelle pour la démocratie dans le monde despotique d'aujourd'hui. Une trahison impardonnable contre l'histoire humaine. Et qu'aucun Magistrat tunisien, ne pense être en dehors des projecteurs de l'histoire, ni qu'il n'y pense être immunisé contre le Châtiment Divin ou d'y penser le moindre, que ses éventuelles «injustices» ne soient pas documentées chez les ONG, jusqu'à l'intérieur des tiroirs de l'ONU. Une débilité qui ne pourra appartenir à un diplômé en droit. Il y a des journalistes et des intellectuels qui cherchent à être emprisonnés, afin de documenter les injustices dont témoignent quelques incarcérés. Un militantisme d'usage dans le milieu international.
Vive la Justice tunisienne à égalité avec notre armée nationale et nos forces de sécurité, qui protègent notre deuxième République démocratique tunisienne arabe et musulmane de régime parlementaire.