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Youssef Chahed rencontre des investisseurs chinois à Pékin
05/09/2018 | 08:54
1 min
Youssef Chahed rencontre des investisseurs chinois à Pékin

Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, s’est réunit, ce mercredi 5 septembre 2018 à Pékin, avec plusieurs investisseurs chinois.

 

 

Le sujet de la réunion fut principalement l’investissement en Tunisie. Plusieurs investisseurs importants étaient présents lors de cette rencontre dont «China Development Fund» représentant les institutions financières et les caisses d’investissement chinoises, des sociétés spécialisées dans le domaine de la technologie de la communication et des informations tel que «INSPUR», «China Communication Construction Company» pour ce qui est du développement de l’infrastructure et «Power China International Group » pour ce qui est des énergies renouvelables.

 

 

Rappelons que Youssef Chahed prend part au Forum Chine-Afrique à Pékin depuis le 3 septembre 2018. Une occasion regroupant 54 présidents et chefs de gouvernements et plus de 1000 acteurs économiques chinois et africain.

 F.J

 

05/09/2018 | 08:54
1 min
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Commentaires (4)

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DHEJ
| 05-09-2018 16:09
Secrétaire d'?tat chargé des affaires économiques



Léon
| 05-09-2018 10:25
La Chine est un pays aux valeurs et principes inébranlables et à l'Histoire plusieurs fois millénaire. Les Chinois ont travaillé très dur pour deux francs trois sous et ont attendu très longtemps avant de voir naître le moindre syndicalisme (et attendent peut-être encore). Tout comme le Japon des années 70 d'ailleurs, et très vraisemblablement tout comme la Corée.
Ils ont attendu d'être au sommet de l'économie mondiale et de soumettre financièrement les états unis avant de jubiler. Les Trumpiens ne peuvent plus rien contre eux car ils leur sont infiniment redevables (financièrement parlant).
Nous autres pays de traitres, faisons passer la charrue avant les boeufs. En bon gueux-démocrates on a une Ugtt qui veut des augmentations et des droits avant même que l'économie se redresse. Que dis-je? Avant même que l'économie n'existe!
Bref, on est en train de partager une part de gâteau que nous n'avons même pas encore cuisiné ni acheté.
Le pays est à plat à cause d'une organisation syndicaliste, jadis militante (du temps de la colonisation) et devenue la pire des institutions. celle qui mène aux emprunts et à la colonisation. Elle se fout éperdument de l'état du pays et demande, en réalité, à partager les emprunts du FMI pour ses administrés. Quoi de pire comme trahison? Je vous laisse imaginer ce qu'ils en auraient fait en Chine. Mais que voulez-vous? La démocratie promise par les merdolutionnaires ne peut pas faire marche-arrière, même s'il nous en coutera notre souveraineté.
La Tunisie est aujourd'hui vendue par ses responsables. J'ai une amitié sans réserves pour la Chine; mais je crains fort que dans l'état actuel de notre pays, ce type de négociations de la dernière chance ne soit qu'une dernière tentative des merdolutionnaires pour sauver leur propre égo, encore une fois, au prix de l'intérêt et de la souveraineté de leur pays.
Que peut négocier une banque en faillite devant la banque Rotchild? Swad Sa3dha? Ou pour être plus clair, sa vente pure et simple.
Une tentative de désespoir de la part de nos chers hommes politiques et des putschistes traitres qui les appuient dans cette entreprise nécrophage.
Les rapports avec la Chine seront des rapports d'un tout autre ordre que nos rapports antécédents, et le vide diplomatique depuis le 14 maudit ne peut en avoir conscience. Ce vide qui a conduit à couper les relations avec la Syrie (non mais je rêve!) ou à délivrer Baghdadi Mahmoudi à ses tortionnaires (quelle honte historique!).
Le néo-colonialisme atlantiste que j'ai toujours condamné est certes destructeur, mais nous pouvons toujours leur dire qu'ils n'avaient pas à se mêler de la Tunisie de Ben Ali et venir nous arroser d'une démocratie hypocrite cachant d'autres visées et d'autres objectifs, via leurs chaines de télévisions et leur appui à la merdolution.
Mais que pouvez-vous dire à la Chine qui a toujours respecté notre souveraineté, le jour où vous ne pourrez pas payer?
J'aime la Chine mais j'aurais aimé discuter avec eux dans d'autres conditions que nos conditions actuelles de pays en banqueroute et qui demande indirectement à la première puissance financière du monde, d'insuffler de l'argent dans son économie. Les états sont des monstres froids disait un célèbre homme politique. Leur intérêt prime.
Peut-être vous mettront-ils au travail: chose bénéfique en tous les cas. Cela vous fera passer les envies syndicalistes et démocrates qui vous habitent.
Bande de traitres qui nous gouvernent directement ou par procuration, quand décideriez de lever vos sales mains de notre pays et de laisser les Patriotes gouverner.
L'urgence est imminente, vous ne le comprenez pas? Introniser les vrais "symboles" parmi anciens dirigeants; ou bien la fin pure et simple du pays.

Dhou'L 3akli yachqa finné3imi bi3aklihi
Wa dhou'L Jahalati Fil chaqawati yan3amou.

A bon entendeur.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Serviteur de son pays. Résistant Souverainiste.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Open-Sky
| 05-09-2018 09:56
Bon courage monsieur le premier ministre, vous faites un excellent travail et vous avez visé bon en allant prospecter en Chine pour encourager les hommes d'affaire de ce pays à investir chez nous.
Pendant ce temps là, les chiens errants appellent à la gréve générale et à votre destitution : n'en tenez surtout pas compte et continuez sur votre lancée car la majorité des Tuns sont avec vous

Zohra
| 05-09-2018 09:44
« Vivre une expérience, un destin, c'est l'accepter pleinement. Or on ne vivra pas ce destin, le sachant absurde, si on ne fait pas tout pour maintenir devant soi cet absurde mis à jour par la conscience... Vivre, c'est faire vivre l'absurde. Le faire vivre, c'est avant tout le regarder... L'une des seules positions philosophiques cohérentes, c'est ainsi la révolte. Elle est un confrontement perpétuel de l'homme et de sa propre obscurité. Elle remet le monde en question à chacune de ses secondes... Elle n'est pas aspiration, elle est sans espoir. Cette révolte n'est que l'assurance d'un destin écrasant, moins la résignation qui devrait l'accompagner ». C'est ainsi que Camus oppose à l'esprit du suicidé (qui, d'une certaine façon, consent à l'absurde) celui du condamné à mort qui est en même temps conscience et refus de la mort (voir épilogue de L'Etranger). Selon lui c'est cette révolte qui confère à la vie son prix et sa grandeur, exalte l'intelligence et l'orgueil de l'homme aux prises avec une réalité qui le dépasse, et l'invite à tout épuiser et à s'épuiser, car il sait que « dans cette conscience et dans cette révolte au jour le jour, il témoigne de sa seule vérité qui est le défi ».